Champ Lexical De La Mer

ouverte, d’où le titre du poème. L’auteur ne voit pas, ses yeux sont fermés. Il se base uniquement sur son ouïe pour nous décrire le paysage. « J’entends des voix. Lueurs à travers ma paupière. » (v1) Tout au long du poème, on remarque un large champ lexical du bruit : il n’y a pas un vers sans la présence d’un verbe ou d’un mot relatif aux sons et à l’ouïe. « J’entends » (v1), « Une cloche est en branle » (v2), « Cris » (v3), « gazouillent » (v4), « Georges l’appelle. », « Chants », « racle » (v5)

ne décrit pas une partie physique de l'amante mais le regard * C'est en fonction symbolique que le regard est évoquée * Utilisation de métaphore * Il s'agit d'une éloge partant de la courbe des yeux mais aussi du regard * Champ lexical très riche * Dénotation claire de la courbe * "tour" ; "courbe" ; "rond" * Symbolise la forme de l'œil * Connotation poétique * "auréole" ; "berceau" ; "rameaux" ; "astre" ; "bateau" ; "monde" * Ce sont les yeux

grands représentants. Au niveau de la forme poétique, du sujet, comme des recherches esthétiques, elle illustre totalement les théories de « l'art pour l'art » énoncées par Théophile Gauthier. 1- Le sonnet. La forme utilisée pour la description de la mer des Antilles est la forme poétique la plus contraignante: le sonnet. D'origine italienne, le sonnet est une forme fixe (ABBA – ABBA- CCD- EED) qui implique l'usage de l'alexandrin et des rimes embrassées ou suivies. La progression de la description

  Lecture analytique Châtiments de Hugo Chanson ID FDL : 321 Châtiment de Hugo (Chanson) Sommaire I) Valorisation et dépréciation • Enonciation • Champs lexicaux • Rythme II) Ré alité historique et parti pris • Réalité historique • Parti pris III) Conclusion Analyse Introduction : Victor Hugo s’exile pendant 18 ans dans les îles anglo-normandes, en raison de son opposition

naissance  de  la  passion.  Enfin,  nous  étudierons  deux  points  opposés.     Commentaire littéraire  I. Une description subjective qui transfigure la scène    1. Une situation banale    La  banalité réside  sur le  paysage décrit.  On  a  champ  lexical de la  banalité  «  même  »,  « vide », « ennui ». On a aussi la description des voyageurs qui montre  également  la  banalité.  Or,  dans  une  scène  ennuyeuse,  le  regard  de  Fréderic  se  fixe  sur  une  seule  personne.  L'activité  de 

la plupart du temps à l’extérieur. Le banquet est aussi le titre d’un livre de Platon consacré à l’amour. relevés Procédés utilisés interprétation Champ lexical de l’alimentation et plus particulièrement de l’alimentation méridionale : anti-pasti, mets, anchois, aubergines grillées, seiches, risotto.. Champ lexical L’alimentation et plus particulièrement les plats typiques de l’Italie sont au centre de cet extrait, ils deviennent personnages de cet instant. L’abondance des

d'abord, nous pouvons relevé le réseau lexical de la nature, omniprésent dans le poème : « soleil, sol » v1, « nature » v3, « forêts»v4, « cieux » v10, nous plongeant ainsi dans un pays resté intact et conservant ses beautés originelles. De plus, associé à la nature, on peut également relevé le champ lexical de l'eau : « lac » v4, « flots, Océan » v 7, « rives, fleuve »v11, qui met en avant l'importance de cet élément naturel. En effet, le Canada, bordé par la mer à vu ses colonies, notamment française

En quoi ce poème rend compte de la condition du poète ? - En quoi le détour par l’allégorie amplifie la portée du poème ? + annonce du plan : « aussi, dans un  premier temps … » I- Ce poème est un récit des persécutions subies par l’oiseau. A) Le cadre * La mer (champ lexical) est  un  cadre  important, on en  retrouve l’isotopie: mers,  navire,  hommes  d’équipages.  * Ces  termes sont placés à la rime, ce qui est un choix stratégique de Baudelaire.  * Certains éléments montrent que ce cadre est harmonieux

vers un et deux.   b.1.2 analyse du contenu D’abord, vous remarquerez qu’il y a énormément de métaphores relatives à Elsa. Ces métaphores se scindent en plusieurs champs lexicaux : le premier concerne les yeux de sa femme Elsa et le second est relatif à leur brillance. Nous envisagerons tout d’abord le champ lexical relatif aux yeux d’Elsa : dans la deuxième strophe, l’océan et le ciel puis dans la troisième strophe le verre et pour finir dans la huitième strophe la lavande. Toutes ces

asperges por le souper. Françoise li en fait préparer tous les soirs alors qu’elle sait qu’elle est alergique -> cruauté L’asperge est belle en apparence, puis elle se dégrade -> dégradé de couleur Elle reste souillée par son pied. Il y a un champ lexical de la nature, il nous ébauche un tableau ( « pignoché » ), il y a une métaphore filée de la peinture. Cela reflète aussi alors une dégradation morale du personnage. Il y a qqch de théatrale : « déguisement «  « trahir » « shakespear ». « Pot