Champ Lexical Du Feu Dans Colline

Incipit de « Aux champs », de « Les deux chaumières » à « tous les jours ». «A Octave Mirbeau. Les deux chaumières étaient côte à côte, au pied d'une colline, proches d'une petite ville de bains. Les deux paysans besognaient dur sur la terre inféconde pour élever tous leurs petits. Chaque ménage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux aînés avaient six ans et les deux cadets quinze mois environ ; les mariages et, ensuite

juste rejoindre Steph qui l’attend sur le pont. Au ligne 8, 9 et 10 nous trouvons le champs lexical de l’extérieur avec les groupes nominaux « arbres déracinés », « la chaussée défoncée », « les taches de sang rouillées sur le macadam » ou encore « les rectangles béants et carbonisés des immeubles » relève qu’ou marie s’aventurait, c’était un vrai champ de bataille. Ensuite, nous retrouvons ici le champs lexical de l’extérieur mais qui ici nous dit qu’ou habite Steph c’est plus calme qu’ou est

est disparu et on perd ses traces. Thèmes : 1. la menace 2. le sentiment de la solitude 3. l'errance de l'enfant 4. la quête de la famille 5. la nature et le contact avec les éléments naturels 6. être étranger, être d'ailleurs 7. l'ascension à la colline 8. la descente vers la mer 9. l'acquisition des nouvelles connaissances Narration : le narrateur a une connaissance abstraite. Il ne connait pas tous. Il veut rester neutre mais il s'implique dans le récit (dans notre ville). Il s'adresse à Mondo

retrouve cet univers d’avant-guerre grâce à la description agressive faite de la ville qui se rapporte notamment au champ-lexical de l’étouffement et du feu: «  les opulentes vestes brodées se balançant sur le seuil des boutiques allumaient l’œil (…) Il faisait chaud comme il ne fait chaud qu’en enfer (…) sous des feux de miroirs ardent (…) une demi-obscurité étouffante (…) parasol couleur feu ». Cette description nous fait ressentir un sentiment de claustrophobie, s’accordant parfaitement avec l’histoire

Ici, on nous annonce le meurtre : le soleil agit comme une arme qui peut « fendre la terre ». Absence de vie soulignée par le silence et l’absence d’air (3-4). Personnification « le mois d’août », mois le plus chaud, comparé à un seigneur. Champ lexical du feu. Légende qui met en valeur la puissance du soleil « le soleil l’avait rendu fou » : dans le roman, on dit que les Scorta sont tous plus ou moins fous. * Un lieu arride. L6 à 10 : anaphore « impossible de croire », insiste sur l’invraisemblance

le jeune homme est « pâle ». Il a probablement été tué à la guerre. Cette triste réalité contraste avec la description de la Nature. « C'est un trou de verdure ou chante une rivière, accrochant follement aux herbes des haillons d'argent », le champ lexical de la lumière est important : « soleil » « luit », « rayons », « argent », « lumière ». Dans ce cadre idyllique, la mort du jeune homme apparaît comme un non-sens, le lecteur se surprend à souhaiter qu'il ne soit qu'endormi. Le tableau de

Tristesse «  Peut-être que tu veilles! Pour qui?... L'enfer me fera moins souffrir » Chateaubriand, Vers trouvés sur le pont du Rhône « Vous avez capturé les sentiments d'un cœur » lettre de Alfred de Musset à George Sand «  De colline en colline en vain portant ma vue » Lamartine, L'isolement Les différents poèmes qui se trouvent dans cette anthologie correspondent chacun à l'une des quatre parties. Il y en a du même auteur car ceux-ci écrivent sur des thèmes assez variés. Les poètes

perroquets verts à têtes jaunes, des piverts empourprés, des cardinaux de feu, grimpent en circulant au haut des cyprès ... L’Atale est un roman d’amour. La jeune fille d’un chef d’une tribu indienne, Atale tombe amoureux avec « moi» en Amérique. Cette paragraphe est la prologue de cette oeuvre où l’auteur a essayé de décrire tout dans la nature américaine. Le ton de cette parti est assez lyrique, et les champs lexicaux est autour de la nature grandiose. Chateaubriand apprécie beaucoup la nature

Un fanal vert est leur regard Vers l'océan et les espaces. Des quais sonnent aux chocs de lourds fourgons ; Des tombereaux grincent comme des gonds ; Des balances de fer font choir des cubes d'ombre Et les glissent soudain en des sous-sols de feu ; Des ponts s'ouvrant par le milieu, Entre les mâts touffus dressent des gibets sombres Et des lettres de cuivre inscrivent l'univers, Immensément, par à travers Les toits, les corniches et les murailles, Face à face, comme en bataille. Et

semblait une tache de sang Parce qu'à prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir Français de préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en étaient différents Tout avait la couleur uniforme du givre A la fin février pour vos derniers moments Et c'est alors que l'un de vous dit calmement