Champ Lexical Du Mot Pitié

filée : est développer à travers plusieurs expressions qui se rapporte au champs lexicale du comparant. Chosification/réification  : inverse de la personnification. Transformée un être vivant a un simple objet. L’allégorie : des choses imaginaires représentés par une chose réel comme la paix( la colombe). La métonymie : c’est remplacé un mot par un autre qui lui est liée par association logique. Le chiasme

Répétition, jeux de mots, calembour, déformations, recours au jargon, au parler dialectal, ;;; - Jeu sur les mots (à double sens) Le télescopage : réseaux lexicaux appartenant à des domaines différents L’association comp. ou métaphore rapprochement inattendu - Jeu sur les sons L’inversion sonore (sons ou lettres dans un mot) L’anagramme chien : niche La contrepèterie « sonnez trompettes, trompez sonnettes » La situation comique Le quiproquo : Confusion sur un personnage, il est

puis en nous montrant les caractéristiques de l'utopie et enfin en mettant en scène une société idéale. Le début du texte nous apprend que deux familles seulement ont échappé à l’épidémie qui s’est répandue parmi les Troglodytes. L'emploi du champs lexical du malheur "périrent" (l.1), "méchanceté" (l.2), "victimes" (l.2), "injustices" (l.2-3/45), "malheur" (l.4/17/46), "corruption" (l.7), "désolation générale" (l.7), "différends" (l.10), "séparés" (l.12), "indignes" (l.12/36), "se perdre" (l.20)

bien d’un jeu de mots car l’auteur joue sur la polysémie du mot « fourmis » associé à l’expression imagée « avoir des fourmis dans les jambes ». En effet, ces insectes parcourent réellement les racines et les troncs des arbres de la forêt, au sens propre.... mais l’expression est aussi à prendre au sens figuré : avoir des picotements à la suite d’une immobilité prolongée. Remarque : peut-être est-ce aussi un jeu de mots sur la polysémie du mot « oiseaux » associé à l’expression familière « lancer/donner

avoir assisté à une représentation de la pièce. Il tint le discours du pontife tout au long de l’œuvre comme mensonger, violent et indigne d’un religieux. Cette condamnation a pour corollaire la défense d’Athalie pour laquelle Voltaire éprouve de la pitié. Racine a d’ailleurs anticipé ces critiques et se justifie dans la préface de sa pièce : « On me trouvera un peu hardi d’avoir osé mettre sur la scène un prophète inspiré de Dieu et qui prédit l’avenir. » Il comprend l’écueil et il ne veut pas, à travers

quelque chose qui a crevé en moi ». On remarque le champ lexical de la colère qui peint l'atmosphère dans la cellule, citons « je me suis mis à crier à plein le gosier », « je l'ai insulté », « pris par le collet », « je déversais sur lui tout le fond de mon cour avec des bondissement mêlés de joie et de colère », un peu plus loin nous avons « j'étouffais en criant tout ceci ». Pis encore, il y a ce manque de respect, cette violence sans pitié pour cet envoyé de dieu qui tente de discuter « il

aspect mélancolique. « Coupe-gorge » évoque qu’on y risque sa vie (Camille sera assassiné, mais ailleurs) et l’idée de la mort est confirmée par la comparaison avec une « galerie souterraine », et des « lampes funéraires ». On distingue aussi un champ lexical inquiétant annonçant l’image récurrente de la fosse : « au fond », « trous », « trouent l’ombre », « au fond » (répété ), « s’enfonçaient » et « profondes ». Ces dernières notations peuvent déjà annoncer la noyade de Camille, surtout si l’on considère

: a․ Erreur de construction : annonce de l'axe oubliée, pas nette ou mélangée à la première sous-partie.b․ Axes trop vagues au lieu d'annoncer un projet de lecture ou confusion d’un axe avec une idée : ∙ " Le champ lexical du ressenti est très présent dans le texte » ∙ « Le fantastique domine le roman ; le vampire est un être surnaturel et quand on parle ou lit des choses qui font partie du fantastique, cela à tendance à nous intriguer. »

si dessus, la poétesse s’adresse tantôt aux enfants, tantôt à la femme qui est épouse, et maman, et présente dans la société… LE CHAMP LEXICAL Dans les poèmes parlant des enfants de la rue ou ceux victimes de divorce, Najia a recours aux adjectifs : responsable, (rendre) heureux, chargés de rancune, amputé, existence, enfance, pitié, injustice, torture, amertume, fosse, héritage, amer, trépas… On assiste aux thèmes de la souffrance, de la famille, de l’oubli

par cela, elle lui avoue une passion sans limites. « Adolphe, me disait-elle, pourquoi vous acharnez-vous(1) sur moi ? Quel est mon crime ? De vous aimer, de ne pouvoir exister sans vous ? Par quel pitié bizarre n’osez rompre un lien qui vous pèse, et déchirez-vous l’être malheureux près de qui votre pitié vous retirent ? Pourquoi vous me refusez-vous le triste plaisir de vous croire au moins généreux ? Pourquoi vous montrez-vous furieux et faible ? L’idée de ma douleur vous poursuit, et le spectacle