Champ Lexical Du Regard Apparition

dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Arthur Rimbaud , Le Dormeur du Val Les raisons de ce choix: Tout d'abord , j'ai étudié ce poème au collège ; il m'avait plu car on peut noter le champs lexical de la tranquillité , du sommeil . De plus , en l'étudiant de plus près , on peut noter que c'est un euphémisme de la mort . J'ai aimé la façon dont Rimbaud a narré cette situation , C'est pour cela que j'ai été amené à choisir ce poème .

la passivité d’un personnage qui laisse aller son existence dans un flux de durée qui aboutit à une dépossession de lui-meme “foule immense”… à ville 2. La ville • Errance Mouvement de la ville de Paris suggère point de vue de Frédéric (regards, déplacements…) • Solitude l. 20 à 22 quartier latin (des étudiants) suggère solitude meme si le reste: bcp de personnes è vide social de F; repliment sur lui-meme 3. Rapport de Frédéric au monde • Paralysie Promenade: impossibilité de

meurtre du chat François * tentatives d’assassinats mutuels - dénouement avec le suicide des deux mariés - situation finale : Satisfaction de Mde Raquin qui regarde immobile et savoure le suicide de Thérèse et Laurent. 3. La gestion du temps dans ce roman L’essentiel de ce roman se fait sous la forme linéaire ( = chronologiquement.). L’histoire dure six ans. Zola exprime clairement la durée ( 5 mois après

refera plus, grâce au champ lexical de la dissimulation (v. 478-480). D’autre part, Ériphile insiste sur le fait que si elle se résout à faire ce récit, c’est parce qu’elle est incapable de faire autrement, qu’elle le fait contre sa volonté (v. 479). Réflexion Le récit d’un enlèvement ● Analyser les deux mouvements de ce récit. Le récit proprement dit (v. 489-502) comporte deux mouvements fortement antithétiques : - v. 489-496 : Ériphile raconte son effroi de captive (champ lexical de la terreur) -

leur genre ont une partie historique, cependant le merveilleux a-t-il également sa place? I. Des caractéristiques épiques indéniables a) L'héroïsation du narrateur (3e pers. comme envoyé des dieux) b) Faits relatés à force de superlatifs, champ lexical de la bataille II. Le Salut, récit historique a) Données réelles et numériques précises b) Portraits et événements historiques III. Les Mémoires, Le salut et le merveilleux a) Récit relevant de l'épique, donc en toute logique merveilleux

de»' 1.35 à 37, formules restrictives, intensives qui renforcent elles aussi cet effet. Ce dénouement est donc fort contrasté, et nous en étudierons les ambiguïtés. Il UN DENOUEMENT AMBIGU A- L'image du bonheur et de la nouveauté * Le champ lexical du bonheur est largement développé : «bien heureuse», 1.21, «se frottait les mains ». «très bien, très bien. C'est parfait. Moi je l'approuve absolument», I. 30 - 31 accumulation de termes très largement positifs, répétition d'un superlatif absolu

sembler ne pas coïncider avec les noms de Charles Dickens, Dumas père ou de Balzac, qui furent feuilletonistes à leurs heures. L’histoire de ce mode de récit permet de mieux comprendre les questions d’ordre éthique et esthétique qu’il a posé dès son apparition, et qui sont toujours d’actualité. Pourquoi publier cette notion du roman-feuilleton dans les journaux ? : A cette époque, les romanciers n'avaient pas accès à des moyens efficaces de diffusion de leurs œuvres (librairies mal organisés

garçon blond » par exemple, correspond au sujet de la phrase et forme ce qu’on appelle en syntaxe un syntagme nominal, composé dans notre exemple d’un article défini, d’un nom et de deux adjectifs. Un autre niveau d’analyse est celui des unités lexicales, autrement dit, les mots constituant la phrase. Si l’on définit le mot comme une série de lettres entre deux blancs, on comptera dans notre énoncé 12 ou 13 mots selon la façon dont on conçoit l’apostrophe dans : ‘le’, ‘petit’, ‘garçon’, ‘blond’,

ignore qui est ce client : « l’inconnu ». 2.2.2. Cadre ordinaire mais lumière des bougies renforce le caractère étrange du personnage (nuit) : étude des avoués Derville et Boucard 2.2. Une entrée en scène soigneusement agencée par le regard de Derville 2.3.3. Le rôle de Derville : un portrait vu par un des personnages => découverte progressive du personnage, et évolution de sa perception => de la stupéfaction à la pitié mêlée d’admiration de la part des deux gens de loi

personnages principaux. le texte est un portrait de Don Juan, héros éponyme de la pièce. A la fin du monologue de Sganarelle, il va faire son entrée sur scène. Procédé traditionnel du théâtre classique de présenter le personnage principal avant son apparition dans la deuxième scène de la pièce. Enfin, le deuxième personnage principal, Sganarelle se présente lui même. b) Mise en place de l’intrigue. Interlocuteur de Sganarelle, valet de Done Elvire, avec qui un mariage est prévu : « tu me dis qu’il a