Champ Lexical Du Regard Apparition

rencontre une femme mariée dont il tombe instantanément amoureux. On assiste à la naissance d'une passion pour une femme mariée que le jeune homme idéalise directement. Comme toujours chez Flaubert, on trouve une description qui se fait à travers le regard de Fréderic. On a donc une focalisation zéro, puisque le narrateur glisse des remarques. Gustave Flaubert (1821-1880) est un écrivain français. Ses œuvres les plus connues sont Madame Bovary (1857) Salammbo (1862) L'Education sentimentale (1869)

philosophique mais la tonalité y est différente, on y voit du tragique et du polémique: "Autant de meurtres absurdes qui équivalaient à de véritables suicides car la mort du jumeau agissant entrainait inéluctablement la mort de son jumeau pensant". Le champ lexical de la mort est présent et représente l'horreur de la guerre ici avec : "meurtres, suicides, mort". A contrario, le texte de La Bruyère issu du recueil "Les caractères" ressort d'une argumentation directe et appartient plutôt au genre de l'essai

l’opposé totale du texte de Charles Baudelaire où le lieu du récit est un milieu urbain et assourdissant. Dans son poème, Victor Hugo écrit les mots « parmi les joncs penchants » (vers 2), « dans les champs » (vers 4) et « dans les grands roseaux verts » (vers 14). Ici, le poète utilise le champ lexical de la

retranscrit de manière musicale son rapport à sa région.Présentation du texte :   Problématique : Annonce des mouvements : · Mouvement 1 (strophes 1 à 2) : évocation d’une enfance douloureuse · Mouvement 2 (strophes 3 à 5) : le regard nouveau du poète Annonce des axes :· Axe 1 : La souffrance de l’enfance· Axe 2 : Le retour aux racinesExplication linéaire :Premier mouvement :(Strophe 1) :  · Evocation du passé douloureux à travers l’allégorie de l’enfance· Captivité représentée

espérances de Mme de Rênal qui est ,par conséquent, heureuse. On le distingue grâce au champ lexical du bonheur et de la joie : « A sa grande joie » à la ligne 36, « la gaieté folle » à la ligne 20, « bonheur » à la ligne 21... On en conclut que le chagrin de ces deux personnages se transforme en une joie commune. Cette rencontre aussi surprenante pour l'un que pour l'autre les perturbe, on le constate à l'aide du champ lexical de la timidité, à la ligne 25 : « timidement », à la ligne 36 « l'air timide »

           Commentaire de l'extrait du chapitre sept de Thérèse Raquin écrit par Émile Zola    Problématique​  : comment est montrée la métamorphose de Thérèse ?    Plan​  :  I. Sous le regard de Laurent  ● Apparition  ● Le choc  II. Une nouvelle Thérèse  ● Passionnée  ● Fatale                   Ce passage extrait du chapitre 7 du roman d'Émile Zola, ​ Thérèse Raquin​ , met en  scène les deux amants avec une insistance particulière sur les impulsions physiques, ce qui  est tout à fait dans la veine du mouvement naturaliste au XIXe siècle

temporel n’est cependant pas explicité. Dans chacune de ces scènes, la rencontre passe avant tout par le regard. Dans l’extrait de Manon Lescaut, le chevalier Des Grieux est complètement ébloui dès qu’il voit Manon. Il en fait tout de suite la description : « charmante » (l 7) « fort jeune » (l 5), « moins âgée ». Le champ lexical du regard nous met dans la peau du personnage : « vîmes », « regardé », « admirer », « regardait ». Dans L’Education Sentimentale, Frederic Moreau fait également toute une

livre. QUESTION Vous étudiez précisément le champ lexical de la vue et celui de la lumière dans cet extrait. Vous dîtes les métamorphoses qui s’opèrent dans le texte. Toutes vos remarques sont illustrées par des citations du texte. LECTURE EXPLOITATION Je propose les 2 axes de lecture suivants : - A ) La danse de Lalla à travers l’étude des 2 champs lexicaux de la vision et de la lumière - B ) Les métamorphoses qui s’ensuivent A ) Les 2 champs lexicaux dominants a ) J’examine l’orientation de la

rencontre une femme mariée dont il tombe instantanément amoureux. On assiste à la naissance d'une passion pour une femme mariée que le jeune homme idéalise directement. Comme toujours chez Flaubert, on trouve une description qui se fait à travers le regard de Fréderic et le narrateur se joue avec ironie de son personnage et de sa médiocrité bien réelle, sous ses idéaux de jeunesse. On a donc une focalisation zéro, puisque le narrateur glisse des remarques. Nous verrons que nous avons ici une description

de Manon, aucun portrait morale, favorisant l’aspect physique Aussi ténue que soit l’évocation de Manon, sa présence n’est pas moins forte l.8 : si charmante = emplois de l’adverbe intensif si, donnant un caractère hyperbolique à cette apparition charmante = jolie + ensorceleuse, manon jette un sort à DG l.5 : Il en sortit….MAIS il en resta une l.6 = parrallélisme de construction, isole Manon : caractère exceptionnel de la rencontre. Manon est désignée comme unique par la comparaison