Champ Lexical Du Regard Apparition

Commentaire 1 : L’Education sentimentale, Flaubert (1869) De « Ce fut comme une apparition… » à « … cria le sieur Arnoux, apparaissant dans le capot de l’escalier » Le récit d’un coup de foudre Frédéric Moreau, jeune provincial, part faire ses études à Paris. Sur le bateau, il rencontre (rencontre imprévue) Mme Arnoux, sans savoir, au moment où il la découvre, qu’elle est l’épouse de l’industriel bon vivant dont il vient de faire la connaissance. Il en tombe immédiatement amoureux – ce que Flaubert

Le regard dans L’éducation sentimentale de Flaubert: thématique et fonctionnement Un exposé présenté par Raja hirri Introduction. Il importe de souligner, tout d'abord, que le regard désigne le mouvement ou la direction des yeux vers un objet, et par métaphore c’est la capacité intellectuelle d’un individu à appréhender une situation. De plus, il se présente comme un instrument de connaissance capital, voire intrinsèque de la communication non verbale susceptible de nous apporter des renseignements

eux. En effet, nous pouvons remarquer tout d’abord le champ lexical de la terre : la chaîne des Alpes, sur une terrasse, la balustrade de granit rose, la grande route, aux flancs des montagnes, de la terre, au tournant de la route, sur le chemin, de la terrasse à la balustrade, l’angle de la route sur la terrasse, à la terre. Cette isotopie relève à la fois de la construction humaine mais aussi des payages naturels. D’ailleurs, le champ lexical est encadré par cette image de la nature non travaillée

tableaux a. Un face à face inégal Tous deux sont « debout » l’un en face de l’autre, Manon est capable de regarder DG et de lui parler, lui ne l’est pas : « yeux baissés », « silence » b. Un changement de position qui permet un échange verbal - Elle « s’assit », donc est plus bas que lui, symboliquement elle le met au-dessus d’elle - La position de M. permet à DG de ne pas la regarder en face « n’osant l’envisager directement» et libère sa parole. c. Un mouvement vif de Manon qui provoque

deux statuts du narrateur. D’abord, dans La vie de Marianne de Pierre de Marivaux, le narrateur est interne à l’histoire. Il emploi la première personne du singulier et devient alors son propre narrateur. «Parmi les jeunes gens dont j’attirais les regards » ligne 1, « il me semblait que celui-ci » ligne 11. A l’inverse, dans L’éducation sentimentale de Gustave Flaubert et dans Désert de Jean Marie Gustave Le Clézio, le narrateur est extérieur à l’histoire. Celui-ci emploi la troisième personne du singulier

les jeux de lumière, la nuit ≠ la lumière du cabinet. -Le cadre de l’observation est à souligner car les fenêtres forment le tableau de la scène à venir. Nemours paraît tel un chasseur, « en se glissant », « s’en approcha », « il se rangea » ≈ champ lexical de la chasse, à l’affût de sa proie. -Le point de vue interne domine, on suit la scène à travers les yeux de Nemours, mais une part d’interprétation est laissée au lecteur, « avec un trouble et une émotion qu’il est aisé de se représenter » renforce

s’intéresse qu’aux choses les plus ordinaires, qui lui vaut le surnom de « poète des objets ». Dans le poème étudié, le poète s’intéresse au pain comme indiqué dans le titre. Nous pouvons donc nous demander comment le poète renouvelle notre regard sur un aliment ordinaire. Le poème débute sur une phrase élogieuse du pain « la surface du pain est merveilleuse » avec l’adjectif « merveilleuse » qui montre cette admiration. Pour justifier cette admiration, le pain est associé au panorama

et pour finir à la réaction ambiguë de Sganarelle. Dans ces scènes, le surnaturel est symbolisé par le spectre ainsi que par la statue. Dans la scène 5, le spectre fait son apparition sous la forme d’une femme voilée. On peut dire qu’il représente ici un personnage envoyé par le Ciel, puisque l’on retrouve le champ lexical religieux avec « miséricorde », « Ciel », « péché », « repent »… Par ailleurs, le spectre s'adresse à Dom Juan en utilisant la 3ème personne, ce qui renforce l'aspect immatériel

constitue une cataphore : la description de Madame Arnoux ne survient qu'après, et on ne peux donc pas encore comprendre à quoi il se réfère. La comparaison « comme une apparition » associe la femme à quelque chose de mystérieux, de divin, ce qui pousse encore la dimension intriguante de la phrase. Par ailleurs, les apparitions et fantômes sont un des topos du romantisme3. A la ligne 2, le narrateur commence la description de Madame Arnoux. Le pronom personnel « Elle » donne l'impression qu'on

occupe le centre de ce chapitre. Elle vole la vedette à Charles. a- Apparition d'Emma : une épiphanie. (Beauté physique, élégance vestimentaire, etc.)Le portrait brossé par Charles est influencé par l'admiration du campagnard b- Ce portrait physique est conforté par la richesse des lieux : le cadre cossu de la ferme renforce le sublime de l'apparition. Charles est amoureux d'Emma. Il a eu le coup de foudre depuis la première apparition, pourtant, il se montre très naïf et surtout incapable de donner