Champ Lexical Du Regard Apparition

vous me le soutenez ; Et cependant je pars, et vous me l'ordonnez ! Paradoxe Parallélisme connecteur logique d’opposition Révèle l’incohérence de Titus vue par Bérénice troublé, aimé avec tendresse champ lexical de l’amour ≠ Champ lexical de la haine Paradoxe : l’attitude de Titus laisse Bérénice dans le doute : c’est ce qu’elle supporte le moins (cf scène 7 – vers 1480-1482) Me haïr toujours. Haïsse (vers 1335) Jamais, je le confesse, Vous

« douces » de la sifflante « s », ou « L », porteur de sens avec la phonétique dure du 1er vers. II) Met en évidence une certaine tension, qui est celui du poète A) La fascination du poète * Narrateur n’est qu’un spectateur face à cette apparition : « paralyse » « fascine »  « Méduse » souligne par le terme crispe qui s’oppose à la femme « agile ». * Réaction émotionnelle incontrôlée : comparaison a un extravagant, qui rime a avec ouragan-Met en valeur la FOLIE =>encore oppose a la femme

| Vous m'aimez, vous me le soutenez ;Et cependant je pars, et vous me l'ordonnez ! | ParadoxeParallélismeconnecteur logique d’opposition | Révèle l’incohérence de Titus vue par Bérénice | troublé, aimé avec tendresse | champ lexical de l’amour                 ≠Champ lexical de la haine | Paradoxe : l’attitude de Titus laisse Bérénice dans le doute : c’est ce qu’elle supporte le moins (cf scène 7 – vers 1480-1482) | Me haïr toujours.Haïsse  (vers 1335) | | | Jamais, je le confesse,Vous ne

personnage dans le monde vivant. De plus, le visage de Camille apparaît sur chaque image dessinée par Laurent : «portrait frappant de sa victime », « dessiner une tête sans dessiner celle du noyé », « tête de Camille » …, ce qui donne l'impression d'un regard lourd qui pèse sur Laurent. Camille est l'objet d'une démultiplication. Il apparaît sous plusieurs formes différentes, il change notamment de sexe, d'âge,(« prenaient tous les sexes et tous les âges »), de rôle (« il était tour à tour ange, vierge

apparences et la vie , parfois étrange. Le portrait : Tchartkov est un jeune peintre talentueux, mais comme pour la plupart des artistes, la vie est difficile. Un jour, en se promenant, il est intrigué par une boutique de tableaux et se met à regarder les toiles mais il il les trouve de mauvais goût. Très vite, le marchand croit avoir trouvé un client naïf et tient absolument à ce qu'il ne reparte pas les mains vides. Avant qu'il ait eu le temps de prononcer un mot, le vendeur avait déjà ficelé

Problématique  : Comment Lamartine exprime-t-il ses émotions à partir du poème ? Mouvement du texte  : strophe 1 à 5 = les rêveries du poète Strophe 6 à 9 = le temps qui passe.Les rêveries du poète · Champs lexicale de l’eau · antithèse toujours/jamais adv = montre que l’homme est impuissant face au temps · « nouveaux rivages » la métaphore filée associe et compare le temps à de l’eau· PP a valeur adj « empotés » = l’impuissance de l’homme face au temps/

parfaite » Nous pouvons noter que la perfection physique du personnage est suggérée par le champ lexical de la magnificence qui rythme les premières lignes de ce portrait : « parfaite », « admiration » (l 2), « belles personnes » (l 3). Longue proposition subordonnées circonstancielle de cause qui explique pourquoi on la regarde à elle est exceptionnelle au milieu de gens déjà exceptionnelle.Son anonymat est indirectement levé à

surtout d'insister par la montée de la gravité de ses termes, sur l'ambiance sonore quelque peu discrète et très évocatrice : les seuls soupçons sonores ne sont que gémissement. Toujours dans cet esprit sourd et pesant, nous pouvons relever le champs lexical du silence : « muette » ( v22 ), « silencieux » ( v24 ), associé à une allitération en [s] au vers 10 : « Sa joue est sans couleur et sa bouche bleuâtre », censée rappeler le « silence » ou bien l'idée sourde du « souffle » du vers 13. Une atmosphère

réflexions nées de ce bref échange de regards. Dans ce sonnet irrégulier, Baudelaire renouvelle le motif de la rencontre amoureuse ; d’une part grâce à une mise en scène originale de l’évènement et d’autre part en créant l’image d’une femme ambivalente. I. a) Baudelaire inscrit l’évènement au cœur de la ville moderne, bruyante et anonyme : « La rue assourdissante ». Dans le vers 1 le vacarme omniprésent est exprimé par deux termes appartenant au champ lexical du bruit : « assourdissante, hurlait

ce dénouement est fantastique. Tout d’abord nous avons 3 apparitions. Une première du Spectre qui apparaît en femme voilée ce qui prend une valeur symbolique. Mais avant cette valeur, cette apparition est reliée à Elvire car le Spectre a le même costume, lemême message qu’Elvire et Dom Juan croit même reconnaitre la voix de celle-ci, comme le montre sa première réplique de la scène 5 : « je crois reconnaitre cette voix. » Cette apparition peut symboliser les femmes déshonorées par Dom Juan et est