Champ Lexical Du Temp

cheveux frisés de ses tempes, toujours défaits au sortir du lit. Excipit - Bel-Ami - Maupassant Annonce des axes Lecture méthodique I. Le sacre de Bel-Ami A) Les procédés stylistiques - Métaphore filée qui le présente comme un roi : " affolé de joie " et " un roi qu'un peuple venait acclamer ". Métaphore préparée par les jeux de mots sur son nom " Georges Du Roy "  - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin). La foule est immense. Champ lexical de la foule Elle est

C’est un mariage spectacle, qui ressemble à une parade royale, avec le côté majestueux qui la caractérise. II) Un texte emprunt d’ironie a) La profanation d’un lieu sacré             L’attitude de Duroy après son mariage et la présence du champ lexical religieux (« l’office » l.1, « la sacristie »l.2, « l’église » l.20) donne l’impression d’une profanation de l’église. En effet, il existe dans le texte une opposition entre le fait que la scène se passe dans une église et le manque de valeurs

6 : pleine lumière : « midi » B. Indications spatio-temporelles - Les indications temporelles inscrivent d’ailleurs le récit dans une chronologie, du point du jour à midi : « aube » (l.1) / « midi » (l.17). Entre les deux, plusieurs indic. temp. : « encore » (l.2) ; « première » (l.6) ; « Alors » (l.10) = soulignent l’évolution. Evolution spatiale : nombreuses indications de lieux qui dessinent un parcours. Cadre initial : « palais » (l.2) ; « eau » (l.2) ; « bois » (l.3) puis itinéraire

regardèrent, et les ailes se levèrent sans bruit. Une des phrases les plus importantes, puisque c’est celle qui décrit l’amorce de son mouvement. Son pas déclenche une succession d’autres actions... : « et... et... » INSISTANCE SUR SON POUVOIR. Champ lexical de la lumière les camps d'ombre ne quittaient pas la route du bois La narration suit une progression logique, marquée par une extension de la lumière : d'abord, la nuit domine, puis faible, inerte. apparition des premières (et de l’obscurité)

caractéristiques : les champs | |souvent associée à un autre type de texte. On y trouve des verbes |lexicaux de l’émotion, de la tristesse, de la douleur ou du regret ,| |d’état à l’imparfait ou au présent. Elle a 4 fonctions : fonct° |et les modalités exclamative et interrogative. Pour le r. tragique | |esthétique (beauté ou laideur) ; fonct° documentaire(info sur le |on retrouve les champs lexicaux de la douleur, de la mort, de la | |cadre spatio-temp d’une intrigue) ; fonct°

me figurai qu’on essayait de monter dans ma barque que je ne pouvais plus distinguer, et que la rivière, cachée par ce brouillard opaque, devait être pleine d’êtres étranges qui nageaient autour de moi. J’éprouvais un malaise horrible, j’avais les tempes serrées, mon cœur battait à m’étouffer ; et, perdant la tête, je pensais à me sauver à la nage ; puis aussitôt cette idée me fit frissonner d’épouvante. Je me vis, perdu, allant à l’aventure dans cette brume épaisse, me débattant au milieu des herbes

présence de fantastique. 1- La description A- Un cadavre Dés les premières lignes de cette extrait plane une atmosphère tendu , Laurent est « perdu dans sa contemplation inconsciente » . Ici , le cadavre de Camille y est décrit avec les champs lexicaux de la décomposition sa « chairs dissoutes » donne l’illusion de « pourriture » et son corps est en « putréfaction » , et celui de l’anatomie sa « bouche » , ses « yeux » et ses « cheveux » . Ainsi l’imparfait est utilisé dans ce passage comme

vue - style direct au moment le plus intime - le point de vue externe met en scène le couple officiel ; il traduit le regard des témoins (perspective réaliste) 3. Une scène riche en sensations : a. une cérémonie ... à voir - prépondérance du champ lexical du regard (aperçut, les yeux fixés, comtemplait...) b. ... à entendre - fond sonore / brouhaha - verbes de parole avec des nuances d'intensité c. ... à sentir - le lecteur partage les sentiments et les pensées de Du Roy 4. Le jeu des personnages

: « lui parti, j'ai retrouvé le calme. J'étais épuisé et je me suis jeté sur ma couchette ».      Cette partie est intéressante en ce qu'elle traite de deux sujets distincts : le champs lexical de la nature symbolique et la corrélation entre la vie et la mort.      A travers cette partie nous retrouvons le champs lexical d'une nature paisible dans une Algérie endormie, elle se manifeste déjà à la ligne 67 « je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage », « des bruits de campagne », « des odeurs

que les elements de la nature ne sont pas touchés pas le temps paradoxe :l’aube et ses clartes de vapeur obstruées Le temps : LE théme/champs lexical principal du poème est le temps qui est d’ailleurs présent dans le titre.Il est dans ce poème désigné soir pour le climat ou pour le temps qui passe,la durée.CE poème montre la fuite du temps,dont le champs lexical est présent dans le texte : »soleil,soir,orage,aube,nuits,jours,temps,toujours,sans cesse,chaque jours,bientôt »Ce pooème pourrait ainsi