Champ Lexical Du Temp

l’attirait vers lui. Un étrange sentiment de solitude l’envahit alors. Il était seul dans son épreuve, terriblement seul. Personne ne pouvait l’aider. C’était en solitaire qu’il lui fallait franchir le passage. Il ne pouvait en être autrement. Ses tempes battaient, sa tête était traversée d’ondes douloureuses. Ses épaules s’enfonçaient dans son corps. “ C’est la fin”, se dit-il encore. Il lui était impossible de faire un geste. Un moment, la douleur fut si forte qu’il crut perdre la raison et

de verre frottés Ma femme à la langue d'hostie poignardée A la langue de poupée qui ouvre et ferme les yeux A la langue de pierre incroyable Ma femme aux cils de bâtons d'écriture d'enfant Aux sourcils de bord de nid d'hirondelle Ma femme aux tempes d'ardoise de toit de serre Et de buée aux vitres Ma femme aux épaules de champagne Et de fontaine à têtes de dauphins sous la glace Ma femme aux poignets d'allumettes Ma femme aux doigts de hasard et d'as de coeur Aux doigts de foin coupé Ma

gestes d'amours exprimés pour Mme.de Marelle.(il la serrait,cette petite main.),(Leurs yeux se rencontraèrent,souriants,brillants,pleins d'amour.).Et ce souvenire (l'image de Mm.de Marelle rajustant en face de la glace les petits cheveux frisés de ses tempes,toujours défait à la sortitdu lit.) L'Ironie de l'auteur est important dans ses dernières pages ,maupassant ironise sur les sentiments de G.D débordé d'émotion suite à son triomphe (il se sentait presque croyant ),(il serait les mains

d’une réalité. Dans un premier temps, j’expliquerai la structure du poème, puis je vais continuer avec un court résumé. Dans un second temps, nous nous intéresserons à l’analyse de la laisse 137, et je vais finir en établissant les principaux champs lexicaux de la laisse. La Chanson de Roland est structurée en symétrie parce que le poème est relié autour de quatre scènes importantes qui maintiennent l’équilibre du l’histoire. Au début on découvre le crime de Ganelon puis à la fin on témoigne de

« Sa face paraissait encore ferme et rigide ; les traits s’étaient conservés, la peau avait seulement pris une teinte jaunâtre et boueuse. La tête, maigre, osseuse, l »germent tuméfiée, grimaçais ; elle se penchait un peu, les cheveux collés aux tempes, les paupières levées, montrant le globe blafard des yeux ; les lèvres tordues, tirées vers un des coins de la bouche, avaient un ricanement atroce ; un bout de la langue noirâtre dans la blancheur des dents. Cette tête, comme tannée et étirée, en

le sang des promesses . Dans cet extrait on parle de la guerre du Liban et de sa violence, c’est un registre réaliste. Comment cet extrait nous montre la violence de la guerre, et les réactions quelle suscite ? Dans un premier temp nous verrons qu’il décrit la guerre de façons réaliste malgré une certaine émotions, puis nous verrons, dans un deuxième temps, qu’il peut y avoir des réactions opposées face à cette atrocité. Premièrement, nous allons étudier en quoi c’est

Meursault Meursault a toujours fait preuve d'impassibilité, là, dès le premier paragraphe, la colère l'a envahit sans qu'il ne sache réellement pourquoi « alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi ». On remarque le champ lexical de la colère qui peint l'atmosphère dans la cellule, citons « je me suis mis à crier à plein le gosier », « je l'ai insulté », « pris par le collet », « je déversais sur lui tout le fond de mon cour avec des bondissement mêlés de joie et de colère

innocent ou ingénu, qui complète «hardiesse» qui signifie l'audace ou le courage, deux mots contraires, c'est-à-dire qu'on a une oxymore. On observe deux champs lexicaux, celui du corps humain «ses ongles », « sa main », « phalanges », « les yeux », « ses lèvres charnues », « son cou », « ses cheveux », « la tête », « crâne », « l'oreille », « les tempes », « ses pommettes », et celui des couleurs, « brillants », « pâle », « bruns », « noirs », « blanc », « rose » très utile à la description de la jeune

humaine * Disparition de la linéarité du temps Le champ d’action de Meursault était restreint jusqu'à présent. * Plu que parfait : « j’avais eu raison ». Meursault évoque un fait passé et terminé. * Répétition du verbe « avoir ». « J’avais toujours raison », « j’avais encore raison ». L’imparfait à une valeur de durée. Ce qui exprime l’acharnement de Meursault : il reste avec ses convictions. Meursault prend conscience que sa vie à un champ temporel plus large que le présent Absurde : C’est

Meursault      Meursault a toujours fait preuve d'impassibilité, là, dès le premier paragraphe, la colère l'a envahit sans qu'il ne sache réellement pourquoi « alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi ». On remarque le champ lexical de la colère qui peint l'atmosphère dans la cellule, citons « je me suis mis à crier à plein le gosier », « je l'ai insulté », « pris par le collet », « je déversais sur lui tout le fond de mon cour avec des bondissement mêlés de joie et de colère