Champ Lexical Du Temp

femme aux... de...» Le tout évoque de manière claire une célébration. 2) L’énumération progresse selon un ordre bien établi : Vers 1 à 5 : début un peu désordonné (chevelure, taille...) Vers 5 à 14 : le visage et la tête (bouche, dents, langue, tempes, sourcils...) Vers 15 à 24 : les bras (des épaules aux doigts) Vers 25 à 29 : les jambes (des mollets aux pieds) LECTUTRE ANALYTIQUE LECTUTRE ANALYTIQUE Vers 30 à 50 : le tronc, avec successivement les seins, le ventre, le dos, la nuque

d'une p�riode Progr�s et libert� - Denis de Rougemont Valjean : Le dedans du d�sespoir- Victor Hugo PR�PARATION AU COMMENTAIRE LITT�RAIRE �tudier les champs lexicaux La baignoire de la princesse de Guermantes - Marcel Proust Au Bonheur des dames – �mile Zola �TUDIER LES FIGURES DE STYLE Analyser les m�taphores Temp�te : Gros temps, la nuit - Victor Hugo Rep�rer les m�tonymies et synecdoques Futilit�s - Danielle Girard Figures d’insistance : anaphores, �num�rations, hyperboles

lenteur’’(l1), cette ligne, mise en relation avec plusieurs autres, crée une scène irréelle, figer dans le temp et l’espace, cela se remarque par des incohérence “Ils ont fait jouer les pompes pendant tout le jour” (l9), cette phrase, avec le mot “jour”, montre que ce naufrage n’est pas une événement bref, rapide pour laquelle les spectateurs sont impuissant mais une scène étendue dans le temp, toute un jours, une jours de combat contre le naufrage, aussi “sombrer au milieu de l’ouragan” (l2), ce

transformation psychologique chez Meursault : « J'ai compris […] j'avais été heureux » -> Prise de conscience du bonheur qui avait été le sien : Pour la première fois il est capable d'utiliser un modalisateur affectif tel que « heureux » qui appartient au champ sémantique du bonheur. Avec le meurtre, Meursault prend conscience de ce qu'il perd. Le coup de feu est une espèce de détonateur qui permet l'éveil d'une conscience : la naissance de Meursault à lui-même et au monde. Meursault prend conscience du

l’entrée des portes, se distinguaient de la foule par un air de famille, quelles que fussent leurs différences d’âge, de toilette ou de figure. Leurs habits, mieux faits, semblaient d’un drap plus souple, et leurs cheveux, ramenés en boucles vers les tempes, lustrés par des pommades plus fines. Ils avaient le teint de la richesse, ce teint blanc que rehaussent la pâleur des porcelaines, les moires du satin, le vernis des beaux meubles, et qu’entretient dans sa santé un régime discret de nourritures exquises

trente que coûtaient ceux du soir, il lui resterait, en se contentant des déjeuners, un franc vingt centimes de boni» (lignes 21 à 24). L’importance de l’argent est soulignée dans tout l’incipit par une précision détaillée de tous les prix, le champ lexical de l’argent domine d’ailleurs particulièrement dans le 4ème paragraphe.: «trois francs quarante» (ligne 19) ; «un franc vingt centimes» (ligne 24), ... etc. Cependant, lors de l’excipit, Georges Duroy s’anoblit («le triomphe du baron Georges Du

habituel; L'intéret de ce temp c'est qu'il donne l'impression d'assister en direct à l'action, c'est un présent de narration. 5) "La main malheureuse" J'en déduis que le personnage est maladroit 6)"une brosse à gros poils, elle attaque un luisant de cuivre ou un coin de meuble. " Gn féminin singulier/GN masculin singulier/GN masculin singulier COD COD COD Ces mot appartienent au champ lexical du ménage et de l'entretien

Perez, l’ami de sa mère, soit dans son champ de vision puis qu’il disparaisse sans arrêt ponctue le récit et provoque un effet de mouvement de rapidité. On a l’impression que Perez disparait à chaque fois que Meursault pense l’atteindre. Ce qui accentue l’effet de rapidité du convoi. En outre, ma sensation d’étouffement, de chaleur que peut évidemment engendrer un malaise physique est récurrente dans ce passage. On peut d’ailleurs noter que le champ lexical de l’étouffement et de la chaleur confirme

veux verts, dénués de cils et de sourcils, pouvaient faire croire à l’inconnu que le Peseur d’or de Gérard Dow était sorti de son cadre. Une finesse d’inquisiteur, trahie par les sinuosités de ses rides et par les plis circulaires dessinés sur ses tempes, accusait une science profonde des choses de la vie. Il était impossible de tromper cet homme qui semblait avoir le don de surprendre les pensées au fond des cœurs les plus discrets. Les meurs de toutes les nations du globe et leurs sagesses se résumaient

seuil des portes, en passant le long des routes. Randel avait faim, une faim de bête, une de ces faims qui jettent les loups sur les hommes. Exténué*, il allongeait les jambes pour faire moins de pas et, la tête pesante*, le sang bourdonnant aux tempes, les yeux rouges, la bouche sèche, il serrait son bâton dans sa main avec l’envie vague de frapper à tour de bras sur le premier passant qu’il rencontrerait rentrant chez lui manger la soupe […] Depuis deux jours, il parlait haut en allongeant