Champ Lexical Du Voyage

dès les années 1710, de nombreux ouvrages, traitant de science ou de philosophie. Son roman épistolaire, les Lettres persanes, est publié en 1721. A partir de 1726, l'écrivain quitte la magistrature pour se consacrer à la littérature et commence à voyager en Europe. De cette expérience et de son observation des différents régimes politiques, Montesquieu retire une analyse politico-philosophique : De l'esprit des lois (1748). Le retentissement de cette œuvre et l'influence qu'elle exercera sur les penseurs

à un aspect quelque peu érotique. L’odorat, dans le premier poème : « parfum », « senteurs », « je hume », « je m’enivre », le vocabulaire employé est assez soutenu. Dans le second poème : « respirer », « odorant », « odeur », « je sens », le champ lexical est plus courant, moins poétique. Les odeurs sont assez fortes et agréables dans l’ensemble : « De l'huile de coco, du musc », termes identiques dans les deux textes. Cependant, le lexique de manière générale est plus soutenu dans le poème en vers

mort. Procédés utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins. ➢ Le ton pathétique : Il déclenche un sentiment d’attendrissement et cherche parfois à émouvoir jusqu’aux larmes. Le ton pathétique inspire la pitié face à des souffrances ou des situations inhumaines. Procédés utilisés : champs lexicaux des larmes, de la douleur, nombreuses

- situation initiale heureuse : notez le champ lexical de la nature idéalisée de manière hyperbolique => nature idyllique (1ère moitié du texte jusqu’à la ligne 30 => évocation indirecte du jardin d’Eden) - situation finale inversée : champ lexical de la destruction, morts => nature dévastée - rythme plutôt rapide, récif vif / enlevé => voir le présent de narration qui donne l’impression que la scène se déroule devant nos yeux (p.ex. « il se met en voyage », « il traverse », …) + verbes d’action

de la salle à la scène on va progressivement rentrer dans l'illusion Comédien acteurs -> illusion Polysémie (plusieurs interprétations) Art magique et art théâtrale | Antithèse du champ lexical obscur/clair | Vers 1: "obscure"Vers 4 : "rayons" "jours" Vers 5 : "éclat" | Opposition entre deux champs lexicaux. Etrangeté du lieu qui associe le jour et la nuit ( clair/obscure caractéristique de la peinture baroque) | Polyptote/ chiasme | Vers 45-46 : " Répondre" – "Réponds rien" | P: Variation

érotisme, de faire voyager le poète. 4. Un rêve sensuel et aquatique Dès le titre, par la consonne L, l'idée de liquidité et d'écoulement apparaît. Cette idée est reprise par le champ lexical de la mer et de l'eau, voguent, nage, houle, mer, voiles, rameurs, mâts, port, boire, grands flots, vaisseaux, océan, roulis, bleus, ainsi la chevelure est assimilée à l'océan. Elle a donc la capacité de faire voyager, d'aller vers un ailleurs meilleur. Certains termes évoquent un voyage agréable, doux, comme

observer que les activités décrites ainsi que le point de vue de Rabelais sur son personnage Gargantua dans le chapitre 24 diffèrent par rapport aux trois chapitres précédents, de part son autonomisation par les champs lexicaux. Pour commencer, nous pouvons observer que le champ lexical du métier apparaît dans le chapitre 24, alors qu’il n’a jamais été présent dans les chapitres précédents. En effet, par une accumulation à la page 209 : « Ils allaient aussi voir comment on étirait les métaux ou

Voici venir le temps où vibrant sous sa tige chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir » L’auteur parle du mal qui pourrait être fait à une fleur: l’arracher de la terre: la mort. Pour finir, le verbe fleurir apparait dans le poème Bohémiens en voyage «  Fait couler le rocher et fleurir le désert » en quelque sorte, l’auteur parle d’espoir, d’une naissance de quelque chose qui ne pourra pas survivre dans ce milieu. 2) Un recueil poétique habité par une voix désaccordée Les Fleurs du Mal est

Denis Dideros, philosophe du dix-huitième siécle écrit Supplément au voyage de Bougainville en 1772. L'extrait de cette œuvre littéraire, conçue comme un dialogue, oppose deux personnages, deux façons de penser, de vivre. Il soulève par la même occasion le problème du colonialisme des européens et rend hommage à la vie sauvage en la comparant à celle de l’homme civilisé, c'est-à-dire l'européen. Ce texte met en scène un vieillard qui défend son peuple, sa terre et son honneur face à un navigateur

que Bel-Ami remet son plan en question. D’un côté, il se remémore comment il a manipulé Suzanne et l’a poussé à l’aimer (l.1-3), ce qui est d’ailleurs souligné par l’utilisation du champ lexical de la séduction : « irrésistible » ; « tendresse » ; « séduisait » ; « captivait » (l.2) ; « aimer » (l.3), du champ lexical du piège: « irrésistible » ; « filet » ; « captivait » (l.2) et par l’utilisation d’une métaphore, comparant Suzanne à « une âme légère de poupée » (l.3), lui donnant un air innocent