Champ Lexical Du Voyage

sous-entend que le lecteur et prospect doit voyager avec la SNCF car elle est le moyens de transport la polluante que les autre moyens de transport. Le sens dénote lui est en relation avec l’engagement sur l’environnement, il affirme que la Sncf travaille des aujourd’hui pour un monde écologiquement meilleur 3-Le champ lexical dominant est en relation avec l’écologie et à la protection de l’environnement .on peut donc constater que c’est le champ lexical de l’énergie renouvelable (« le solaire »quiapparait

Baudelaire l’invitation au voyage I/ Une évasion du cœur et de l’esprit 1) Un poème invitation D’abord, le poème apparaît comme une invitation offert à la femme aimée, qui est apostrophée dès le premier vers : « Mon enfant, ma sœur ». Les termes sont particulièrement affectifs et semblent moins ceux d’un amant que celui d’un père ou frère, donc quelqu’un qui occupe une position supérieure, protectrice. De même, on peut noter l’usage des impératifs : « songe », « vois » : ils correspondent à des invitations

office de voyage imaginaire pour l’auteur, ou n’est-il pas une création poétique ? Ainsi, nous verrons que l’auteur à travers ce poème effectue une errance épanouie et insouciante qui correspondra à la jeunesse de Rimbaud, malgré cela l’incitation au voyage et le fait que ce poème est une création artistique montrera sa maturité dans l’écriture et sa volonté d’évasion. Nous verrons, tout d’abord que Rimbaud vit cette fugue comme une errance épanouie et insouciante. L’expression du voyage y est immédiatement

destin fatal qui voue l’homme à la mort. Procédés utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins. Le ton pathétique : Il déclenche un sentiment d’attendrissement et cherche parfois à émouvoir jusqu’aux larmes. Le ton pathétique inspire la pitié face à des souffrances ou des situations inhumaines. Procédés utilisés : champs lexicaux des larmes, de la douleur, nombreuses exclamations, lamentations

difficile, à être à la fois intellectuellement respectable et extrêmement populaire, grâce notamment à deux de ses œuvres, "Notre Dame de Paris" et "Les Misérables", qui a été achevée à Guernesey. Date: 1856 Champs lexicaux: On retrouve les différents champs lexicaux : - Le voyage : « je partirais», « j’irais», «je marcherais» et « j’arriverais » - La mort : «  Sujet: Parler de la mort de sa fille, de la tristesse qu'il endure ensuite. Œuvre littéraire : poème en quatrain

du souvenirIII- Une méditation sur le temps.Etude méthodiqueI. La mélancolie de l’écrivain a- Le thème du déclin- approche de la fin (fin jour + fin nature ? mort « ce que je serai devenu »)- métaphore finale (gradation ? déclin ? achèvement ? champ lexical de l’achèvement, gradation présent) b- La solitude (thème rousseauiste)- « je » omniprésent et solitaire- la nature (seule confidente de ses propos et lieu de contemplation)- errance (la description de la marche aboutit à l’image du navigateur)

monuments », « des hommes », « des moines en robe »,  « des oieseaux démusurés », il nous compare ceux-ci à un « peuple monstrueux » crée par la nature. Ceci nous montre sa créativité de voir et de comparer les choses. Chose qu'on apprécie car ça nous fait voyager dans un monde plus divertissant que celle « de la vie » de tout les jours. Ensuite, il nous décrit un « nouveau golfe » que Jeanne et Julien découvrent dans l'histoire. Ce golfe est entouré « tout entier d'une muraille sanglante de granit rouge »

Louis Ferdinand Céline, l'un des plus grand romancier du XX ème siècle mais aussi l'un des plus polémique, écrit son œuvre la plus célèbre, Voyage Au bout de la Nuit, dans l'entre deux guerres. Dans son roman, Céline nous confronte aux sujets principaux de l'époque, qu'il s'agisse de la première guerre mondiale, du colonialisme, de l'industrialisation des États-Unis ou de la misère de la banlieue parisienne. Le passage étudié traite du dernier thème. Le héros principal, Bardamu, exerce son métier

l’intérieur en insistant sur les comparatifs qui le valorise « autant que, plus que, moins intéressant que ». - Il met en valeur le fait est que la véritable richesse est l’expérience de regarder de l’extérieur vers l’intérieur ; il utilise le champ lexical du regard. L’intérêt est de percer l’intimité d’une vie humain noyée dans l’anonymat. 2. Le poète éduque, éveille le regard du passant. - Il crée un dialogue intime avec le lecteur « Me direz-vous.. » ; il imagine une question qu’on pourrait

rimes, les rythmes, même s’ils sont effectivement constitutifs de la poésie, pour expliquer le texte. Ce sont des éléments d’analyse qui doivent conforter un propos que vous avez déjà émis, une fois que vous aurez établi, par exemple, les réseaux lexicaux qui traversent le texte à condition qu’ils fassent sens, sinon, un seul relevé ne suffit pas non plus. Il en est de même pour les métaphores et les comparaisons : le relevé en soi n’a pas d’intérêt, sauf si vous le mettez en regard de rapprochement