Champ Lexical Le Diable Au Corps

"en quoi ce passage est-il scandaleux?" Le topos de la 1ere foix est un moment qu le littérature noble ne traite pas, il est réservé aux romans de gares et à la littérature libertine "ce chapitre justifie t-il vraiment le titre du roman "le diable au corps"?" cette expression signifie être dépassé par sa propre sensualité D'un coté: NON car le passage n'est pas hérotique ni extra-ordianire, sobre et sans sensualité De l'autre: OUI puisqu'il soulève un problème moral; une femme trompe son mari soldat

le principe qui régit tout est le Mal. C’est le diable qui gouverne le monde ou quelque être malfaisant. Il prend au pied de la lettre la réflexion de Candide : Il faut que vous ayez le diable au corps (qui veut dire habituellement : déployer une énergie passionnée pour une cause, mais que Martin détourne avec humour pour insister sur l’idée de l’omniprésence du mal : Il se mêle si fort des affaires de ce monde … qu’il pourrait bien être dans mon corps comme partout ailleurs.) *Dans l’infini de l’univers

fait son apparition au début de la scène 5 de l’acte V. Un spectre est un être humain mort dont on a l'image du corps. Il arrive et se présente à Don Juan en disant ces paroles « Don Juan n’a plus q’un moment à pouvoir profiter de la miséricorde du Ciel ; et s’il ne se repent pas ici, sa perte est résolue. » Cette personne est mandatée par le Ciel car il y a une présence du champ lexical de la religion « miséricorde » « repent » « perte » et cette pression à le but d’une repentance immédiate avec

104+6cFIRC11. Vous son seul fard //, vous son seul orne ment , 104+6dMHSV12. Ja si long temps // faisant d’un Diable un Ange , 104+6eFHSC13. Vous m’ouvrez l’œil // en l’injuste lou ange ,

les chiffres (ligne 9)30 000 mille ames" autant dz victime que le tremblement de terre -nature des victime: (ligne 17, 18, 19) femme enfant villards: inoscent les + vulnerable les plus faible -champ lexical de l'horreur: criblet de coup (ligne 17) santglan, égordé, éventré (ligne 18- 19-21) du corps: cervelles, mamelles, bras, jambes coupé (ligne 19-22) -guerre comparé a l'enfert (ligne 4) hyperbole c. l'acheté de candide et des  comparaison/ anthiphrase: (ligne 9-10) "candine tramblait comme

transperce les soldats par le fondement avec ce bâton (voir texte)N’hésite pas un seul instant à tuer et même s’y prépare physiquement  (l 1 à 5).Il n’a aucune pitié : les soldats le supplient, il les envoie au diable : « Tu y es, dit-il, bien forcé, mais tu rendras du même coup ton âme à tous les diables ». Plus on lui résiste, plus il devient sans pitié : « Et si quelqu’un se trouvait suffisamment flambant de témérité pour vouloir lui résister en face, c’est alors qu’il montrait la force de ses muscles

personnage de Dom Juan, « corps ou esprit » ? Il veut tout vérifier, comme le montre la répétition anaphorique du GV « je veux voir ce que c’est ». Le profil du libertin est empreint d’obstination, d’où l’expression de la passion tragique. Dom Juan est un homme de refus comme le montre la double reprise anaphorique du « non » et l’expression « rien ». Il y a aussi la juxtaposition de termes montrant l’incrédulité du personnage. L’énumération des termes « spectre, fantôme, diable » illustre l’impiété

destructeur, ravageur et même immorale. Contrairement aux textes de Zola et de Maupassant, le personnage ne fait que rêver de cette réussite, elle n'est donc pour le moment qu’imaginaire. Cet extrait donne l'impression que Rastignac s'entretient avec le diable et qu'il est prêt a signer un pacte, cette décision a l'air fondamentale et décisive. « voilà le carrefour de la vie, jeune homme, choisissez ». Ce personnage est très attentif aux paroles de Vautrin et est prêt a prendre conseil. Vautrin accorde

effrayants. Raymond Rogé, Récits fantastiques, Larousse C. Réalité ou rêve ? (...) Réalité ou rêve ? vérité ou illusion ? Ainsi se trouve-t-on amené au cœur du fantastique. Dans un monde qui est bien le nôtre, celui que nous connaissons, sans diables, sylphides, ni vampires, se produit un événement qui ne peut s’expliquer par les lois de ce même monde familier. Celui qui perçoit l’événement doit opter pour l’une des deux solutions possibles : ou bien il s’agit d’une illusion des sens, d’un produit

ou de l'enthousiasme. Le visag e était d'ailleurs singulièrement flétri par les fatigues de l'âge, et plus encore par ces pensées qui creusent également l'âme et le corps. Les yeux n'avaient plus de cils, et à peine voyait-on quelques traces de sourcils au-dess us de leurs arcades saillantes. Mettez cette tête sur un corps fluet et débile 4 , entourez-la d'une dentelle étincelante de blancheur et travaillée com me une truelle à poisson 5 , jetez sur le pourpoint 6 noir du vieillard