Champ Lexical Le Diable Au Corps

("Oses-tu…", "la vengeance acharnée de mon bras", "ta misérable tête"), il l’insulte ("vil insecte") et utilise le champ lexical de l’enfer ("diable", "diaboliquement", "démon"). Le monstre réplique (le fait qu’il parle et qu’il le fasse si bien est d’ailleurs surprenant au vu de la manière dont Victor le traite). Il décrit combien les Hommes l’abhorrent à cause de sa figure et de son corps. Il rappelle à Victor le lien qui les unit (lien immuable, tout comme les lois de nature que Victor a défiées)

reprenant la vision optimiste qui consiste à faire comme si il était un spectacle harmonieux. 1.1-L' ''harmonie d'un beau'' spectacle. Ce qui nous frappe → le champ-lexical du spectacle : -L27 «théâtre de la guerre» Le narrateur présente la bataille comme un spectacle → beauté à ses adversaires leibniziens → champ-lexical : -L1 «Si beau,si leste, si brillant, si bien ordonné» → énumération d'adjectifs qualificatifs et de la préposition si → X4 , insistance. -L3 «harmonie»

s’inspirant du Premier Faust de Goethe (1808), traduit en français en 1828 par Gérard de Nerval. Il reprend et adapte les principaux éléments constitutifs du thème, mais les inscrit dans une perspective tout à fait autre. Faust passe un marché avec le diable : en échange de son âme (donc de sa damnation éternelle), celui-ci lui procurera tous les plaisirs terrestres : savoir, pouvoir, amour, jeunesse… Les similitudes entre Ruy Blas et l’histoire de Faust sont évidentes. Les vers 421 (« Oh ! mon âme au

fable, genre rattaché à l’apologue, a pour particularité de comporter un double statut narratif et démonstratif. En effet dans la préface des Fables, La Fontaine a dit « l’apologue est composé de deux parties dont on peut appelé l’une le corps, l’autre l’âme, le corps est la fable, l’âme la moralité ». Une fable a, de plus, généralement pour fonction de répondre à l’adage « plaire et instruire », elle corrige les mœurs par le rire « castigat ridendo mores ». Jean de La Fontaine (1621-1695), grand fabuliste

le respect qu’avait la société envers elle : « cette martyre de chasteté » ; « la ville ne faillirent de faire leur devoir de l’accompagner et honorer autant qu’il était possible » ; « une femme si vertueuse » ; « l’honneur que l’on faisait à ce corps »… Le jugement de la narratrice Elle est tres admirative de la muletière car elle a resisté jusqu’au sang pour garder sa chasteté ; alors que beaucoup d’autres femmes n’y aurait pas resisté. Elle ressent presqu’une honte envers cette histoire

que l’on peut rapprochement du moyen d’un vis de manière a enserrer un objet à façonner ». Le corps féminin domine le corps masculin. La mâchoire de la définition rappel le mythe du vagin denté « vagina dentata », vagin denté en latin qui désigne une femme ayant un vagin pourvu de dent aiguisées mais aussi la peur de la femme dominante, castratrice comme le dit Freud. Cela marque la dominance du corps de Béatrice sur musimbwa même dans l’acte sexuel, « ses chairs étouffer Musimbwa » p76, mais

de ce combat; il n’y a rien de plus beau Mouvement 3: l.13-fin: - "courageusement", “force”, “énergie”: Mots connotés: L’auteure encourage à faire preuve de détermination - “opposez”, "réussissez-vous", “déployez”: verbe d’action à l’impératif: champ lexical du combat qui s’installe; ce mouvement est bien celui de l’action; l’auteure cherche à mobiliser ses troupes - “force de la raison”, "les étendards de la philosophie”, “ énergie de caractère”: Compléments de noms qui viennent préciser l’action

s’inspirant du Premier Faust de Goethe (1808), traduit en français en 1828 par Gérard de Nerval. Il reprend et adapte les principaux éléments constitutifs du thème, mais les inscrit dans une perspective tout à fait autre. Faust passe un marché avec le diable : en échange de son âme (donc de sa damnation éternelle), celui-ci lui procurera tous les plaisirs terrestres : savoir, pouvoir, amour, jeunesse… Les similitudes entre Ruy Blas et l’histoire de Faust sont évidentes. Les vers 421 (« Oh ! mon âme au

credo : « Il y a seulement deux choses : l’amour, de toutes les façons, avec des jolies filles, et la musique de la Nouvelle-Orléans ou de Duke Ellington »). Il livre également quelques mots de son projet d’écriture, dans lequel on fera relever le champ lexical de la « distorsion ». L’affirmation « Cette histoire est entièrement vraie, puisque je l’ai imaginée d’un bout à l’autre » pourra être commentée et comparée avec la formule de Jean Cocteau qui définit le roman par « je suis un mensonge qui dit

coutume » qui vient abolir la marche du héros. Cet aspect de la coutume est rendu par la surenchère sur l’impossible et l’inquiétude des compagnons qui se lit à travers les enjambements des v. 3063-3064-3065 traduisant la montée de l’angoisse. Le champ lexical de la peur, l’enjambement et le rejet v.3044-3045 traduisent l’anxiété qui tenaille les compagnons. Or Lancelot est le type même du héros qui vient interrompre l’ordre naturel des choses, rompant avec les valeurs anciennes, pour établir un nouveau