Champ Lexical Le Diable Au Corps

est écrit sous forme de lettre que le héros, Felix de Vandenesse, envoie à Nathalie de Manerville qu’il aime et qu’il voudrait épouser. Il y raconte sa passion pour Mme de Mortsauf. Félix a eu une enfance malheureuse. A 21 ans, il possède encore un corps d’adolescent. C’est d’ailleurs à cet âge-là qu’il rencontre pour la première fois Mme de Mortsauf le printemps 1814, lors d’un bal à Tours. Elle était alors âgée de 28 ans et mariée. Cet extrait nous présente cette rencontre, où se fut pour lui un

temps comment lf construit ce récit et dans un deuxième temps comment il met en scène chacun de ces personnages symboliques. Nous venons enfin a enseignement apporte par cet apologue. Un récit tragique 1-Un récit bref et divertissent ● récit : le corps de la fable -respect du schéma narratif -bref 64 vers octosyllabes et alexandrins -double sens la cour la cour d justice ●moral : l âme de la fable -explicit -mis en valeur a la fin= alexandrins+place ●registre didactique et qui coreespond au

l’appartement d’Emma et Charles Bovary. On remarque que la description est faite d’une manière précise et progressive, de l’intérieur vers l’extérieur puis de l’extérieur vers l’intérieur. L’extrait débute par la description détaillé (donc « proche ») du corps d’Emma « sa poitrine se mit à haleter rapidement » « La langue toute entière lui sortit hors de la bouche » puis par la suite le lecteur recule et s’éloigne d’Emma voyant ainsi Félicité, le pharmacien, Bournisien, M.Canivet et enfin Charles nous donnant

les guerres civiles l’ont aussi suscitées à écrire d’autres romans comme l’Année terrible (1872) et les séries des Légendes des siècles (1877 et 1881). Il meurt le 22 mai 1885 à cause d’une congestion pulmonaire. Son corps fut déposé au Panthéon (bâtiment où reposent les corps de citoyens français distingués) à Paris. Il a laissé derrière lui maintes œuvres inachevées qu’on publia par la suite. Évolution psychologique Au début de l’histoire, Jean Valjean ressentait une haine profonde

réquisitoire social L'attaque de Figaro vise les nobles. 1. La censure Ce thème a été effleuré dans le procès. Ici, il est largement développé dans le début de l'extrait. Champ lexical de l'expression écrite de l'opinion : " sottises imprimées " " éloge flatteur " " petits écrits " "je puis tout imprimer " " journal inutile " " diables à la feuille " Figaro revendique la liberté d'expression par les écrits. " Je lui dirais… que les sottises imprimées n'ont d'importance, qu'aux lieux où l'on en gène

nous découvrons ici deux armées en parfait « état de marche ». On peut tout d'abord relever une sorte de réalisme, un aspect informatif dans ces lignes : Voltaire décrit véritablement ce qui alors était pratiqué. Il y avait en effet, jusque sur le champ de bataille (voir Barry Lyndon de Stanley Kubrick) la présence de ces instruments de musique et Voltaire utilise également des termes techniques qui renvoient à la réalité militaire de l'époque : « canon », « mousqueterie », « baïonnette ». La bataille

Baudelaire est reconnu comme un poète moderne, même le premier car il inclue des thèmes nouveaux comme la ville, la sexualité, le spleen (la mélancolie alors considéré comme une maladie), le Mal, l’ivresse (par exemple dans ‘’Au lecteur’’ thèmes du Mal, le diable, le désespoir). Mouvement : Baudelaire n’appartient à aucun mouvement littéraire. Cependant il nait avec le romantisme et en est marqué. Le romantisme est reconnaissable par l’exaltation de soi (≠ classicisme et de la raison), le lyrisme personnel

Quelles sont les valeurs défendues par Figaro dans son monologue ? I- La critique de la censure : 1) Figaro revendique la liberté d'expression par les écrits. Champ lexical de l’écriture : « sottises imprimées» «éloge flatteur» « petits écrits » « je puis tout imprimer » « journal inutile » « diables à la feuille » « je taille encore ma plume » « un écrit périodique » Phrase L20 à 22 : « Je lui dirais... que les sottises imprimées n'ont d'importance, qu'aux lieux où l'on

de s'anoblir et veut désormais n'être que Monsieur de la Souche. Son ami Chrysalde, pourtant, ne s'y trompe pas : d'instinct, il appelle Arnolphe par son véritable nom et lui reproche son extravagance dès la première scène de l'acte I : "Qui diable vous a fait aussi vous aviser, À quarante et deux ans, de vous débaptiser, Et d'un vieux tronc pourri de votre métairie Vous faire dans le monde un nom de seigneurie ?" Pour Chrysalde, quitter le nom de ses ancêtres, mode dont il critique

sans compter les formules très proches « plus, du vingt-cinquième » (l.21), « plus, du vingt-sixième » (l.29), « plus, du vingt- septième » (l.33) et « plus du vingt-huitième » (l.36) crée un effet comique. Toutes ces formules constituent un champ lexical très marqué de l’addition, de l’ajout. Les docteurs font une surenchère constante de frais et de prescriptions médicaux et c’est la première vive critique vis-à-vis des excès de la médecine. 3 La surabondance de termes savants qui suit, lignes