Champ Lexical Le Diable Au Corps

· Par la disgression d’un discours à l’encontre de la peine de mort : dans lequel nous soulignons une démonstration argumentative par l’expérience fictive et sensitive : Avec l’emploi d’un champ lexical sensoriel « vu de ses yeux » ou encore «  la secousse est violente  », à laquelle s’ajoute l’emploi de la modalisation « on peut », « il semble  » qui confère de l’autorité

révolutionnaires. Doté de sang-froid, coura- Propriétaire d’une boucherie prospère geux Parasite S’adapte en fonction des circonstances Sagnard « gaillard » solide, « très vert » Bourgeois (commerçant) pour ses soixante ans (chap. IV) Berru « grand diable de peintre » Ouvrier (chap. I), « grand gaillard en blouse blanche » (chap. II) Ascension 11 Trois nouvelles naturalistes 12 Le rapport entre l’Histoire et les personnages 1. Relevez les différents faits historiques mentionnés dans

mort de Jocaste pendue, Oedipe se crève les yeux, champ lexical du sang -le poids de la fatalité : récit du messager, rappel de l'oracle, prise de conscience des personnages.Tirésias maître de cérémonie : impose le silence et l'attente ("laissez la fable tranquille/chef d'oeuvre de l'horreur") -le désespoir des personnages : accablement d'Oedipe quand il prend conscience de ses fautes ("bête immonde"), souffrance d'Antigone qui découvre le corps Chute du héros tragique : roue de fortune

avait versé Mlle Strangerson dans le verre du diner précédant, il lréveillent, ensuite tout deux réveillent le père Jacques ainsi que frédéric larsan. ils poursuivent lʼassasin, tire une balle sur lui à lʼaide dʼun revolver de sainclair et découvre le corps du garde du château :»lʼhomme vert» on pense que cʼest lui le coupable mais rouleabille explique que ce nʼest pas lui; le lendemain Mr De marquet et son greffier , ainsi que l'employé dʼepinay sur orge se rendent au glandier, il accusent darzac et lʼarrêtent

récipients, et l’enroulement « sans fin » de ses tuyaux. Dès le premier regard, il possède quelque chose d’inquiétant, avec sa couleur de « cuivre rouge » (couleur du sang, de la violence, du diable). Le contraste entre la cornue « énorme » et le « filet limpide » qui en tombe intrigue. C’est bien une « cuisine du diable », qui s’accomplit dans cette étrange machine. Cependant, elle semble déjà exercer sur Coupeau et Gervaise une sorte de fascination, puisqu’ils s’attardent malgré eux, malgré l’heure tardive

attente, le chèque était bien vraiCet homme se prénommait Mr Hyde Mr. U connait en réalité l’homme qui a signé le chèque pour Hyde Tout deux conviennent de ne plus parler de cette histoire.description de l’homme très péjorative / champs lexical du repoussant - du diable -> (montre satanique / impitoyable /diabolique / sang-froid / véritable démon )chapitre 2Mr U rentre chez lui après son aparté avec son ami et modifie sa routine en se rendant dans son bureau.Il sort de son coffre-fort un papier

portrait de son maître à travers une longue tirade. Extrait 1, Acte 1 scène 1 : Comment Sganarelle, en présentant son maître, dresse-t-il son propre portrait ? I) Le portrait de Dom Juan. 1) La volonté de faire un portrait. * Le champ lexical de l’art « ébauche », « portrait », « pinceau » montre que le portrait qu'a entrepris Sganarelle n'est pas fini. « Il faudrait bien d'autres coups de pinceau ». Cela provoque la curiosité des spectateurs qui veulent connaître la suite (double énonciation

: v.2 « ton regard », v.5 « ton oeil », v.7 « ta bouche », v.16 « ton ventre », v.23 « ton oeil, ton souris, ton pied ». Ce sont les éléments poétiquement érotiques. Ce sont ceux qu'on retrouve dans les blasons (poèmes qui décrivent une partie du corps féminin). Ce n'est pas original dans ce poème. On a un ensemble de métonymies. Il y a des éléments associés à la femme car elle n'est pas toute nue : elle porte des jupons et des bijoux. Chez Baudelaire l'érotisme est lié à des accessoires (cf. v

l’éloignement et les couleurs plus pâles. L’image représente un monde habité mais où seuls les 3 Y vain o u l e Ch ev a l i er a u l i o n châteaux apparaissent : on ne voit aucun village, aucun chemin. Le paysage semble assez désertique : pas de champs, pas de forêts, quelques arbres seulement. Le décor sert avant tout à présenter les éléments essentiels de l’histoire : le château d’Esclados le Roux, la fontaine et le pin. 2 À quoi peut-on voir que le chevalier est en train de partir ? Observez

tué cependant ce n'est jamais écrit explicitement. Il est souvent dit que le soldat dort "Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue" ou bien encore "Il dort dans le soleil", ici qui est une métaphore de la mort. Les impacts de balles dans son corps sont appelés ici "deux trous rouges", "rouges" définissant implicitement le sang dont le soldat s'est vidé. On nous dit que ce soldat a la "bouche ouverte" qui est une caractérisation de sa mort et la "tête nue", le casque de ce soldat a surement chuté