Champ Lexical Le Diable Au Corps

n'importe quelle machine. Elle est personnifiée telle une femme. Zola la donne un corps réel et physique, doué de sentiment et de vie. Ensuite humanisant la machine par son nom, Zola poursuit avec des caractéristiques propres à l'humain pour cela il utilise le champ lexical de l’anatomie comme « ventre » (l.1), « les reins » (l.1), « une haleine » (l.2), «ses entrailles » (l.4), «l’âme » (l.7) l’utilisation de ce champ lexical dans l’extrait caractérise et décrit plus la machine personnifier. Enfin l’humanisation

maléfique suscitant l’admiration I.1) -Champ lexical du théâtre dès le 1er paragraphe -> l.5 « masque », « vraie nature » ; l.6 « drame » ; l.31 « spectacle » ; l.35 « perruque » -Ils ont préparé leur piège en amont, c’est un coup monté. -Encerclement autour de Vautrin -> ordre et rapidité -Description des représentants de l’ordre -à partir de la ligne 6 : indication vague, sensation auditive, article indéfini (3 mots indéfini) ; champ lexical auditif l.7 ; puis indications chiffrées/précises

relève des verbes qui montrent l’explication «  indiquant du doigt » l 8, montrant l9, lui expliqua l7. De plus, on remarque que coupeau fait une description assez détaillée de la machine pour un homme qui dit ne pas boire d’alcool : on relève le chp lexical de la machine : les différentes pièces et appareil l 9, cornue l10, ses récipientsl11 et tuyaux l12. Cela est dû à ses amis qui plus d’une fois l’ont traîné dans des bars. Mais il en vient quand même à la personnification de la machine : « comment

et une personnification et une gradation pour graduer les péchés de Dom Juan du plus grave au moins grave. « Eprouver avec mon épée si c’est un corps ou un esprit » ligne 25 est une antithèse qui insiste sur l’impiété et l’esprit de contradiction du héros. Il y a le champ lexical du surnaturel avec « voilée », « fantôme », « diable » et le champ lexical de la religion « miséricorde du Ciel », « repent », « perte résolue ». Les didascalies expliquant le changement de figure du spectre participent

dles différents métiers qu’il a exercés jusqu’à sa rencontre avec le Comte Almaviva (Le Barbier de Séville): « J’apprends la chimie, la pharmacie, la chirurgie ; […] Las d’attrister des bêtes malades, et pour faire un métier contraire, je me jette à corps perdu dans le théâtre […] j’écris sur la valeur de l’argent […], je taille encore ma plume […] ; je me fais banquier de pharaon […]. Je reprends ma trousse et mon cuir anglais ; […] je vais rasant de ville en ville, et je vis enfin sans souci. Un grand

à la Carmen de Bizet qui fait tourner les cœurs, à une Espagne chaude et une robe de « gitana » rouge. A l’inverse, c’est une figure sombre qui nous est présentée dès le premier quatrain : « un trait de bistre », « cerne », « noir sinistre », « le diable ». L’enjambement du vers 1 à 2 accentue encore ce phénomène de noirceur. Dans le deuxième quatrain, le poète semble vouloir renverser le décor et nous annonce que « L’archevêque de Tolède /chante la messe à ses genoux ». Le poème entier va ensuite

Et bois, comme une pure et divine liqueur, Le feu clair qui remplit les espaces limpides. Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins; Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, - Qui plane sur la vie, et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes! Charles Baudelaire

avant, celle de l’esprit d’un côté et celui du corps de l’autre. Dès le premier vers un constat des faiblesses est décrit par une accumulation. On voit à travers les deux premiers quatrains que l’Homme vit dans l’illusion notamment dans le vers 1 : « l’erreur » et au vers 8 : « Croyant par de vils pleurs ». Dans les vers 12 et 13 Baudelaire montre le manque de volonté de l’Homme : «notre volonté Est tout vaporisé par ce savant chimiste. » ; « C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent ! », dans

justification. B) La description du personnage L’ampleur du champ lexical du corps met en évidence la précision du portrait : La description s’attache aux détails du visage. Son regard descend du « front » au « nez », à la « bouche » et au « menton » puis remonte sur les « yeux », les « sourcils », les « arcades ». Cette précision d’anatomiste rappelle l’étude d’une tête de vieillard par Léonard de Vinci : chacun des éléments du visage ou du corps est caractérisé par un adjectif descriptif (« saillantes »

animaux témoigne de son orgueil mais aussi de sa bêtise : elle ne comprend pas qu’ainsi elle montre sa richesse à celui qui veut la lui dérober.· « Sans compter la basse-cour » Prétérition qui marque encore son orgueil9) KNOCK : Diable ! Vous n’avez pas de domestiques ?· « Diable » juron populaire, il installe une complicité en parlant comme elle· Il relance par une interrogative directe totale toujours familière dans le registre de langue qui peut montrer qu’il essaie encore d’évaluer sa richesse ou