Champs Lexical De La Folie

former un tout bien distincts l’un de l’autre. Toutefois nous pouvons remarquer que ces libertés prises par les poètes étaient courantes dans la poésie du XIXe siècle. L’observation des champs lexicaux nous permet de remarquer la scission du poème en deux thèmes : la guerre (mitraille V1, bataillons V4, folie épouvantable V5, croulent V4, broie V5, morts V7, …) et la religion (Dieu V9, autel V10, encens V10, calices V10, hosannah V11, …). On constate en outre entre ces deux parties du poème de

couple. Thérèse s’ennuie jusqu’à ce que surgit Laurent, un ancien collègue de son mari qui devient son amant. Tous deux décident de supprimer Camille. Le crime commis, ils se marient, mais tiraillés par les remords, ils finissent par sombrer dans la folie. IV-Commentaire I- Un récit rythmé par l’alternance du sommeil et de l’éveil 1) Eveil - Phrases complexes  ex : « Il souffla […] détendre ses nerfs » l.1 à 4  calme, reposé - Phrases simples  ex : « Il voulut se rendormir » l.30  terreur

humaine ? Annoncer le plan I - Un dénouement tragique et pathétique 1 – L'omniprésence de la mort Champ lexical de la mort : répétition du verbe « tuer » l. 1,13,16,26 répétition du verbe « mourir » l. 28,31,32 l.19-20 métaphore pour dire qu'elle est morte «  a rejoint » + l.21 « dans la même terre » 2 – Poids de la fatalité Jan = victime de la fatalité champ lexical de la présence de la fatalité : Jan est victime car il n'a pas su communiquer l.13-14 « mais il

Montesquieu dénonce la folie de la mode. Tout d'abord à l'aide du champ lexical de la mode «mode »  « parures » « habit » « coiffure » « art » « mouches » « talons »... . Celui du corps « portrait »  « visage » « pieds » « taille » « dents » La progression du regard n'est pas logique et totalement en désordre. Le champ lexical du changement « oublié » « nouvelle » « révolution » « changement »  « changeante » « change » « hausse, baisser,élargir »(rythme ternaire) tous ces champs expriment un sentiment

un danger, porteur de destruction. D’ailleurs, le mot « poison » est employé (v7) pour souligner l’aspect mortel, funeste de l’amour. On est dans l’hyperbole avec des expressions comme «  toute sa fureur » (v3), au cœur d’une folie destructive. La métaphore de la folie est appuyée par l’antithèse du vers 6 : « fol amour qui trouble ma raison ». Les effets de cet amour décrits par Phèdre (v21) : « j’ai languis j’ai séché dans les feux dans les larmes » sont accentués par une antithèse et une métaphore

personne Agnès s’adresse-t-elle à Arnolphe ? Dans quel but ? c) A quel moment le retour au vouvoiement se produit-il ? Que signifie-t-il ? 4) Comment Arnolphe appelle-t-il Agnès ? Quelles remarques pouvez-vous faire ? 5) Faites le relevez du champ lexical de la passion ? Qui l’utilise ? Pourquoi ? 6) Pourquoi peut-on dire qu’Arnolphe est loin des préceptes des maximes du mariage ? 7) Dans quel but Arnolphe animalise-t-il Agnès à la fin du passage ? Quel est l’effet de cette animalisation 

conflit l’auteur à recours aux sens : - Par la vue : « crachats rouges » v.1, « ciel bleu » v.2, « écarlates ou verts » v.3 (qui fait références aux uniformes des soldats rouges du côté Français/verts chez les Prussiens)… - Par l’ouie avec le champ lexical du bruit : « sifflent v.2, croulent v.4, broie v.5 » Ces verbes aux sonorités brutales montrent la violence. Les allitérations en [r] avec les mots « mitraille » v.1, « raille » v.3 imitent le bruit des machines de G tandis que les allitérations

pathétique Ponctuation expressive : série d’exclamations et d’interrogations exprimant le désarroi pour le tragique, le bouleversement et recherchant la pitié pour le pathétique. Apostrophe : invocation, sollicitation. Images et champ lexical : la mort, la fatalité, la douleur, le devoir, etc. La règle des trois unités Le XVIIe siècle a vu peu à peu s’imposer la règle des trois unités. Cette règle permet au dramaturge d’accroître l’efficacité théâtrale, de rendre l’action

paysage est caractérisé par un champ lexical de l’évanescent, de l’indistinct : « Le grand paysage des plaines étrangères qui somnolaient indistinctes sous des lambeaux de brouillard », « les lointains aux pâleurs bleutées » La description du paysage peut ainsi être lue comme une métaphore voire une allégorie de la folie d’Emélia. Enfin, l’attitude d’Emélia la fait apparaître comme un personnage lui-même insaisissable et échappant au présent, sur le seuil de la folie. Sa position la place au dessus

impressions d’étreinte, d’oppression lugubre et d’étouffement malsain. Deux mouvements :· Trois premiers quatrains : évocation de l’emprisonnement et de l’enfermement du poète· Deux derniers quatrains : le constat d’échec, enfoncement dans l’angoisse et la folie. Problématique : Comment Baudelaire présente-t-il son spleen ? Premier mouvement : évocation de l’emprisonnement et de l’enfermement du poèteCf organisation syntaxique des trois premiers quatrains est au service de la représentation du caractère progressif