Champs Lexicaux Les Chatiments

aux disputes du couple et qui souffre atrocement en silence depuis qu’elle a compris que se sont les assassins de son fils, sous les sacres d’un mariage qu’elle a elle-même cautionné. Cette dernière scène représente pour elle l’accomplissement du châtiment que méritent ceux qu’elle considérait comme faisant partie de sa famille. Tous ses sentiments, l’auteur nous les fait découvrir grâce à un point de vue interne. C’est en spectateur qu’elle assiste à une représentation théâtrale à laquelle s’adonne

sans doute habituel mais qui marque une absence de maturité.   2/ Le châtiment biblique * Tout un champ lexical indique ce rapprochement : « glaive »,  « lame étincelante ». * L’insistance avec laquelle  le texte souligne que  c’est le « front » qui est touché montre que l’agression se porte sur un endroit vital du corps : «  Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front ». * Dès lors l’image du châtiment divin devient plus nette : « Il m’a semblé que le ciel s’ouvrait sur

à travers l'amplification de l'histoire d'Abel et Caïn, Agrippa d'Aubigné parvient-il à illustrer la puissance de la vindicte céleste sur les hommes ? Plan : en 2 parties I. Le meurtre engendré par la jalousie (cause) II. Accumulation des châtiments célestes (conséquences) a. Son effroi b. Sa fuite et l'hostilité environnante c. Sa solitude I. LE MEURTRE ENGENDRÉ PAR LA JALOUSIE v.182 au v.186 Le meurtre d'Abel par Caïn est choisis par d'Aubigné pour illustrer tous

Meursault      Meursault a toujours fait preuve d'impassibilité, là, dès le premier paragraphe, la colère l'a envahit sans qu'il ne sache réellement pourquoi « alors, je ne sais pas pourquoi, il y a quelque chose qui a crevé en moi ». On remarque le champ lexical de la colère qui peint l'atmosphère dans la cellule, citons « je me suis mis à crier à plein le gosier », « je l'ai insulté », « pris par le collet », « je déversais sur lui tout le fond de mon cour avec des bondissement mêlés de joie et de colère

inexorable est en marche. Dans la tragédie : la terreur et la pitié. La catharsis (purgation des passions) La fatalité, le destin, la mort, la puissance des passions, le désespoir, l'amour impossible, les dilemmes, la menace, le châtiment. Champs lexicaux de la fatalité, de la mort, de la passion désespérée, figures de style (de l'opposition en particulier: antithèses, oxymores etc.), dilemmes tragiques. Niveau de langue généralement soutenu. L'écriture peut être en vers. Tragédies,

qui sont mises sur le même plan. L’art de Voltaire consiste à donner la parole à la victime, à un esclave car qui mieux que lui peut expliquer aux lecteurs la cruauté que représente l’esclavage ? - La violence subie par les esclaves : Les châtiments corporels tels que les mutilations n’étaient pas rares, ils étaient monnaie courante si les esclaves essayaient de s’enfuir des plantations où on les forçait à travailler dans des conditions inhumaines : « quand nous voulons nous enfuir, on nous

valeur: au centre; long; une seule longue phrase choquant → disproportion / jeune homme, petit fils général émouvant → registre pathétique C) « il n'y a point au fond de nation plus cruelle » champ lexical plaisir → sadisme nation française Plaideurs → passe temps ex chirurgien (censé sauver des vies) horreur châtiments III. L'IRONIE VOLTAIRIENNE A) Décalage banalisation torture B) Opposition juges → comparaison flateuse puis montre qu'ils sont horribles français / anglais → raisonnement illogique C)

baroque se complaît en effet dans la pluralité, d’où son goût pour l’accumulation. Par ailleurs, le roi utilise le champ lexical de la lumière pour se définir « soleil, lumière, splendeur, aurore », ce qui affirme la grandeur de son estime pour lui même. De plus, le Roi est ici représenté comme quelqu’un de très matérialiste : la métaphore du vers 19 « vêtu de lumière » ainsi que le champ lexical du luxe et de la royauté « dais somptueux, pourpre, sceptre, ceint de laurier, couronne, majesté », confirme

range résolument aux côtés des ouvriers qui subissent la répression sanglante de l’armée. Au lendemain du coup d’Etat, le 2 décembre 1851, qui fait de Louis-Napoléon Bonaparte l’empereur des Français, il doit prendre le chemin de l’exile. Les Châtiments (1853-1870) disent la colère du proscrit. Quand en 1859 l’Empire offre amnistie aux exilés, Hugo la refuse avec hauteur. De retour en France, en 1870, et siégeant à l’Assemblée, il est un homme seul qui affirme : «  Je suis de ceux qui pensent qu’on

» Il n’a que faire des liens sacré du mariage. Alors que c’est un sacrement « traite de billeversé tout ce que nous croyons » il insulte la religion et les croyance. « Il faut que le courroux du ciel l’accable quelque jours » : - image du châtiment divin - annonce du dénouement de l’histoire b) D.J un débauché : D.J ne vit que par le plaisir que les femmes lui apporte, « il séduit puis abandonne » il a une inconstance amoureuse. Il laisse tombé les femmes après avoir passé une nuit avec