Champs Lexicaux Les Chatiments

l’hypocrisie et l’assume, elle est immorale et manipulatrice. Un de ses arguments pour appuyer sa position est qu’il trouve l’hypocrisie utile. Il la voit comme un profit («vice privilégié»). L’hypocrisie le protège et il le montre à travers le champ lexical de la défense : «bouclier», «abri», «sauver et se mettre en sûreté», «je serais défendu». Il se croit immunisé à travers l’hypocrisie et ne pense avoir aucun risque de représailles : «toujours respectée», «on n’ose rien dire contre elle». L’hypocrisie

Au XIXème siècle, on a couramment recours à la peine de mort, et l’on n’hésite pas à infliger le châtiment suprême à quiconque commet une faute qu’elle soit mineure, telle qu’un simple vol, comme dans Claude Gueux, ou plus importante telle qu’un meurtre. Cependant, Victor Hugo s’y oppose et rédige plusieurs ouvrages dans lesquelles il en plaide l’abolition. Le dernier jour d’un condamné, qu’il écrit en 1828 alors qu’il n’a que vingt six ans, est un réquisitoire contre la peine de mort, prenant partie

prends Tu mets Tu fais ; C'est pour toi qu'on a fait C'est pour toi qu'on livra C'est pour toi que Murat) qui par leur lourdeur veulent démontrer le narcissisme et l'égocentrisme de NIII, qui se prend pour NI. Il faudrait voir la ponctuation, les champs lexicaux, interroger les différentes expressions, les figures de style... Enfin, bon courage ! en premier lieu, nous allons nous pencher sur la façon dont le narrateur dénonce directement Napoléon, notamment àtravers l'utilisation de la deuxième personne

tragiques (1616). Ce texte appartient au mouvement baroque et aborde les guerres de religion en France. Le texte 2 et 3 sont des poèmes écrits par Victor Hugo à la fin du 19eme siècle. Le premier texte se nomme « Lux », il est tiré du recueil Les Châtiments (V) et traite un sujet politique. « Melancholia », texte 3, évoque quant à lui, la condition de vie des enfants et plus précisément leur travail. Ces deux textes font partis du mouvement réaliste. Enfin, le dernier texte étudié est rédigé par Robert

prononce le jugement et exécute le châtiment. II.Un passage tragique Tour d’abord, c’est un passage tragique car il se termine par la mort par châtiment du personnage principal, Dom Juan. Le dénouement est fatal. La Statue utilise l’impératif dans sa sentence, annonce le jugement dernier. Messager de Dieu les choses sont jouées, plus de conditionnel « arrêtez ». Dom Juan ne peut plus s’échapper. La statue est la figure du destin. On remarque un champ lexical religieux : « Ciel, Diable, esprit

Commentaire littéraire stella châtiment Victor Hugo L’étoile est personnifiée et symbolise le changement puisque c’est l’étoile du matin qui est présentée au vers 3 du poème Stella, écrit par Victor Hugo. Tous les symboles de toutes les religions et des mythologies reviennent. Il faut mettre ce poème en relation avec le premier poème du livre VII de Les Châtiments (« sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée »). Tous les deux mettent en scène un monde nouveau qui condamne un ancien ordre

Vanderdendur » le mot « mon maître » fait partit du champ lexical du négociant, tout comme « Vanderdendur ». «Vanderdendur » et aussi un patronyme a double sens, il fait pensé a Van Düren, un libraire hollandais avec lequel Voltaire c’est accroché, mais également a « Vendeur a la dent dure » qui souligne le caractère cruel du négociant. Le « nègre » par la suite, décrit les atrocités qu’il a subit, les membres qu’il a perdus en travaillant, main, jambe. Le champ lexical de l’église est également présent dans

La rencontre entre Dom Juan et le Pauvre peut également être compris comme un élément tragique, puisque chacun des deux personnages suit implacablement sa destinée. Les avertissements lancés à Dom Juan par tous les personnages de la pièce et le châtiment qui lui est infligé représentent le fil directeur de la pièce, il sait donc ce qui l’attend, un destin funeste, typique du registre tragique. Dom Juan, malgré son aspect comique, possède bel et bien des éléments tragiques repérables tout au long

Hespérides. Ce jardin est en fait un verger d'orangers situé en Espagne, ce qui explique l'inaccessibilité de ces fruits considérés sacrés. Héraclès a dû se battre contre un dragon, ce qui explique le registre épique de ce texte. On voit le champ lexical de ce mythe : "jardin des Hespérides" et "dragon". Ce dernier renvoie au maître qui est considéré comme invincible et méchant, ce qui montre une disproportion entre les capacités de Rousseau et la punition qu'il subit. Ce texte a donc un côté

et l'ortie sont victimes de la fatalité, ce qu'on retrouvera dans la suite du poème avec « elles sont maudites » (v5). Qui confirme le registre tragique « O sort ! fatale nœud ! » (v10). Le vers 4 annonce quant à lui avec « mornes souhait », le champ lexical de la tristesse « triste captive »;« mélancolie ». 2ème strophe : elle commence de nouveau avec « parce que » en anaphore, jusqu’à la 4ème strophe, cela ajoute un effet de surenchère paradoxale dans le caractère de l’amour porté par le poète à