Champs Lexicaux Les Chatiments

• Deux dernières scènes de la pièce. Dénouement : châtiment de Don Juan par le ciel après son ultime péché, l’hypocrisie. • Scènes où apparaissent deux personnages surnaturels (deus ex machina) • Dernier duel entre Don Juan et le Ciel : dénouement classique ? I. Le ciel descendu sur scène 1° Une dernière tentative pour sauver Don Juan : le spectre a)spectre, femme voilée qui peut rappeler toutes les femmes trahies par Don Juan personnage religieux « voilée » qui rappelle Done Elvire.

implication personnel forte ( 8 verbes de penser , je , l'indicatif mode de la réalité) + Outil de la démonstration ( conjonction: parce que, que, subordination) L'art de persuader: - Emploie d'un vocabulaire fort censé émouvoir la sensibilité. Champs lexical des horreurs infligés aux esclaves + figure de style ( Répétition d'horreur anaphore) - Vocabulaire péjoratif ( vils) à l'égard des partisans de l'esclavages. - Emploie de l'ironie: Cette phrase exclamative a pour but de provoquer les esclavagistes

fable construite comme une tragédie a) Registre pathétique qui donne un ton pessimiste * Début de la fable : Peinture tragique ravages de la peste (Dans une protase). Apodose pour les conséquences. * Une mort omniprésente : * Champ lexical « mouraient » * Polyptote même mot repris sous des formes différentes. « mourir », « mouraient », « mourant » * Présence de l’Achéron (v.5) Métonymie des enfers mythologiques * Hyperbole : « capable d’enrichir en un jour l’Achéron »

puisque l'on nous dit dans le paratexte que le double meurtre se déroule hors scène. Dans les trois extraits, le champ lexical des 5 sens est utilisé pour présenter la mort. Le troisième texte en est le plus fourni, car l'usage de ce champ lexical permet au lecteur d'imaginer aisément les obstacles que doit franchir le roi pour arriver jusqu'à la mort. Les termes appartenant au champ lexical de la vue sont les plus nombreux : « percevoir »  « visuelle », « vue », « effacer », « regarde », « image »

s’exile pendant 18 ans dans les îles anglo-normandes, en raison de son opposition à Louis-Napoléon Bonaparte. Il édifie la légende napoléonienne qui alimenta le Mal du Siècle d’une génération déçue par la Révolution et les régimes qui suivirent. Châtiments est un recueil de poèmes de 7 livres dans lesquels il fait de Napoléon III le modèle du tyran. Le poème intitulé Chanson se montre particulièrement virulent puisqu’il oppose Napoléon Ier à Napoléon III dans un pamphlet qui s’appuie sur des références

vrai et montre qu'il revit ces moments. Il utilise beaucoup de '':'' et '';'' → c'est pour enchaîner (sans mots de liaison) et ça rend l'expression plus dense. Le récit des faits est construit comme la mise en scène d'un procès. On retrouve un champ lexical de la justice: ''interroge'', ''protestations'', ''délit'', ''exécution'' et ''aveu''. Rousseau utilise de nombreuses figures de style, comme l'hyperbole, la parataxe ou la gradation (« m'exhortent, me pressent, me menacent »). Nous voyons aussi

CORPUS Les textes du corpus étudiés sont: la poésie « Fable ou histoire » tirée du livre III du recueil Les Châtiments de Victor Hugo, écrivain romantique du XIX ème siècle. « Du Pacte Social », chapitre 10 du Contrat Social écrit pas Rousseau,écrivain philosophe du siècle des Lumières ainsi que le chapitre XVIII du conte philosophique Candide: « Ce qu'ils virent dans le pays d'Eldorado » de voltaire (XVIII siècle). Enfin Les Membres et l'Estomac, fable écrite par Jean de la Fontaine pendant la

poétique et quête du sens LA 1 : « Crépuscule », Les Contemplations, Victor Hugo, (1856) Intro : Victor Hugo (1802-1885) est un poète, dramaturge et écrivain français appartenant au mouvement romantique. Il a notamment écrit Les Misérables (1831), les Châtiments (1853), Notre Dame de Paris (1831), ainsi que de nombreux autres recueils engagés politiquement, socialement ou à vocation lyrique comme celui des Contemplations. C’est un recueil de poésie composé de 158 poèmes et est un hommage à sa fille Léopoldine

soutenu les crimes, avec le renforcement par l'anaphore de « que »). On remarque le champ lexicale de la guerre, du combat (« ennemi », « soldats », « vainqueurs », « généraux », « cadavres »...) ; de la souffrance (« souffrance », « tressailles », « saigne », « douleur », « tortures »...) ; des armes (« couteau », « sabre », « feu », « guillotine », « hache »...). Ces champs lexicaux sont ceux du champ lexical de l'épopée. La succession d'allégories (« l'Idée », « La Concorde », « Liberté »

Références à la géographie mythologique « Tartare », évocation des Champs Elysées sous forme de périphrase « la douce et pure lumière du séjour des héros » + enfer au pluriel + linéarité de l'espace : le monde des damnés contigu à celui des élus → déplacement horizontal de Télémaque de l'un à l'autre « Lorsque Télémaque sortit de ces lieux...à mesure qu 'il s’éloigna... il entrevoyait déjà de loin ... » c) Représentation du châtiment en volatiles féroces, incarnation des fautes « voltigeaient » (idée