Chapitre 5 De F1

CARACTERISTIQUES D’UNE SERIE STATISTIQUE Dans ce chapitre, on considère des séries à caractères quantitatifs discrètes ou continues ( avec, dans le cas d’une série continue, l’hypothèse d’une répartition uniforme à l’intérieur de chaque classe ) Notations : ▪ x1 , x2 , … , xp sont les valeurs ou les centres des classes si ces valeurs sont regroupées en classe. ▪ n1 , n2 , … , np sont les effectifs respectifs des valeurs x1 , x2 , … , xp ▪ f1 , f2 , … , fp sont les fréquences respectives

TIPE : Le sytème expert Table des matières 1 Chapitre 1 Introduction Le système expert est une application capable d’effectuer des raisonnements logiques dans un domaine précis comparable à un expert humain. Autrement dit, il va pouvoir retourner un résultat à partir de faits et de règles connus comme le ferait un humain expert. Le système expert va utiliser les connaissances de plusieurs experts humains afin d’agrandir sa base de connaissance. Plus le système va s’enrichir

également d’évaluer l’incertitude qui entache les mesures. Lorsque l’on demandera d’évaluer l’incertitude, on notera les résultats sous la forme : f ' = ( ......... ± ...... unité ) Ce TP s’appuie particulièrement sur les notions vues en cours au chapitre 4. L’annexe située à la fin du polycopié contient un rappel des connaissances. Remarque : Afin de se placer dans les conditions de Gauss, on n’oubliera pas de faire converger l’image de la lampe source sur la lentille en ajustant la distance source

Second degré Chapitre 1 Sur la photographie, l’écoulement de l’eau est non perturbé ; le flot est guidé par la rigole de la fontaine et les gouttelettes formant ce flot arrivent toutes parallèlement, avec une vitesse assez importante ; ces vitesses sont toutes dans la direction de l’axe de la rigole. En utilisant l’exercice 94, on voit que les trajectoires de ces gouttelettes sont des arcs de parabole et ces arcs sont sensiblement les mêmes, ceux d’une parabole assez « ouverte » (influence

Coniques Plan du chapitre 1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 2 2 Les coniques par foyer, directrice et excentricité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 2 3 2.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

pi+1 . 2 Figure 4: Exemple de noeud polygonal Déf: Un noeud est dit modéré (tame) s'il est isotope à un noeud polygonal. Ex: Le trèe, isotope au noeud polygonal ci-dessus. Déf: Un ∆-mouvement est un mouvement de ce type: Figure 5: ∆-mouvement Deux noeuds polgonaux K et K sont dits ∆-équivalents si et seulement s'il existe une suite de noeuds polygonaux K0 , ..., Kn 1. telle que K0 = K , Kn = K Ki , Ki+1 est reliée par un 2. chaque paire ∆-mouvement

CHAPITRE 2 LA TRANSFORMATION DE LAPLACE La transformation de Laplace est une opération intégrale qui permet de transformer une fonction d’une variable réelle en une fonction d’une variable complexe. Par cette transformation, une équation différentielle linéaire peut être représentée par une équation algébrique. Cette transformation permet aussi de représenter des fonctions particulières (distribution de Heaviside, distribution de Dirac, etc.) de manière très élégante. Ce sont ces possibilités qui

Chapitre 2 : Comptabilité nationale Introduction La macroéconomie raisonne à partir d’une approche globale de l’économie * en agrégeant les données * en établissant des relations entre les variables ainsi construites Au centre de l’analyse : équilibres et de désiquilibres entre 4 grand marchés : * Biens et services * Travail * Monnaie * Marché des fonds prêtables (marché financier, marché des capitaux ) 1) Le circuit économique C’est la circulation des

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5 5 7 8 8 9 11 11 12 12 13 13 14 14 16 17 18 2 Introduction ` a la statistique inf´ erentielle 2.1 G´en´eralit´es sur l’inf´erence statistique . . . . . . . . . . . 2.1.1 D´efinitions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

CHAPITRE 8 ACTIVITÉS Géométrie dans l’espace (page 167) c) Les droites (EF) et (HG) sont parallèles à (AB). Activité 1 1 (AB) et (BF) sont dans le plan de la face (ABFE) donc elles sont coplanaires. Il en est de même pour les droites (AC) et (AD) toutes les deux contenues dans le plan (ABC) et pour les droites (HF) et (HE) dans le plan (EFG). Remarque : elles sont deux à deux sécantes… 2 a) Deux droites du plan n’ayant aucun point commun sont parallèles. b) Non, elles ne sont pas coplanaires