Chefferie

administratifs ont repris des principau- tés musulmanes secondaires ou des sous-groupes ethniques. Jusqu’à nos jours, même en les morcelant pour mieux les contrôler, le découpage admi- nistratif s’est déterminé en fonction des chefferies traditionnelles ou des entités ethniques. Ainsi, les chefferies ont perduré et subsistent aux côtés des rouages de l’administration ; mieux, elles en sont les rouages ultimes, les relais en direction des populations. L’organisation politique précoloniale Les systèmes politiques

qui a l’époque n’avait qu’environ 3 km de diamètre. Quant à Bakondji, le fondateur fut TCHUITOU, l’un des fils du roi Baboutcheu, un homme désordonné, revanchard, un personnage très singulier à chaque fois que son père était absent de la chefferie, il se fessait passer pour le chef devant ses frères et sœurs ; dés l’apprise de la nouvelle par son père, il fut chassé et il ira s’installé de l’autre bout du royaume à « KOTCHOU ». Il s’installa, et faisait des cultures bananes-plantains ce qui

appartient de préparer les décisions mais celles-ci ne peuvent être appliquées sans l'approbation de l'assemblée des hommes adultes, réunie au marché. L'organisation sociale est de type segmentaire, ignorant la centralisation étatique et même la grande chefferie. Cette absence d'organisation politique centralisée posera de sérieux problèmes aux colonisateurs britanniques qui, faute de chefs importants, ne pourront appliquer la méthode de l'Indirect rule. Chez les Fang : Ce groupe occupe le nord du Gabon

decentralisation et chefferies traditionnelles en milieu rural dans le processus de la democratisation du mali. cas de la commune rurale de kani-bonzon Par Bocary GUINDO Mémoire soutenu pour l’obtention du diplôme Maîtrise en Sociologie Université de Bamako 2004-2005 Vue et approuvée par Directeur de thèse : Dr Abinou TEME Spécialisation : Sociologie Date PLAN INTRODUCTION : Chapitre I : Présentation de la commune

l’inverse, Clastres soutient que la relation politique de pouvoir précède et fonde l’apparition des classes. L’organisation politique déterminerait alors l’économique, le mode de production. Ce refus de l’Etat s’illustre dans l’institution de la chefferie[3]. Mais s’il existe un Chef dans les sociétés amérindiennes, il est toutefois dépourvu de tout pouvoir et de tout moyen d’action autre que la parole. Le caractère non coercitif du pouvoir se manifeste à travers la prise de parole. Il met en exergue

compréhension du système d’intervention des partenaires étrangers seraient les clés d’une participation de qualité des professionnels immigrés. Le projet « la route des chefferies » initié par un jeune étudiant camerounais suivant ses études d’architecture en France est à ce titre une parfaite illustration. La Route des Chefferies est un programme de développement culturel, touristique et économique portant sur la préservation et la valorisation du patrimoine culturel de la région de l’Ouest et

parties que nous traiterons dans une première partie. Dans cette première partie, nous verrons, donc premièrement, l’introduction de Maurice Godelier ainsi que les termes de tribu et d’ethnie. Deuxièmement, il sera question de définir les termes de chefferie et d’Etat. Troisièmement, nous décrirons qu’est-ce qu’est une société étatique et une société tribale. Et enfin, nous parlerons du pouvoir politico-religieux. Par la suite, nous verrons, dans une deuxième partie l’aspect critique de ce texte.

Le leadership (anglicisme répandu en français européen ainsi qu'au Québec), ou la chefferie (français québécois et africain) est l'influence d'un individu sur un groupe. Parental chefferie dans une famille d'oies. Cette relation est temporaire (et parfois éphémère) et réciproque et même synallagmatique (le leader doit autant avoir confiance dans le groupe que la majorité du groupe a confiance en lui). Elle se manifeste par sa capacité à fédérer et à mobiliser les énergies autour d'une action

destitués. Plus de Bouba Djollof, de Damel, de Teigne, de Bour Sine ou Saloum, de Brack et d’Almamy ! Ils ont été remplacés par leurs descendants nommés les uns chefs de province (manteaux verts), les autres chefs de Canton (manteaux rouges). Cette chefferie s’arrêtait à l’actuelle région de Thiès. Auparavant, les Lébous avaient refoulé les Damels du Cayor (dont le dernier Amadou Ngoné, Ndéla Coumba ) qui voulaient maintenir leur nomination sur le Cap-Vert. Les batailles eurent lieu à Mbérouane

silhouettes humaines Chefferie de Kom : 6) Les deux Œuvres d’égages une solennité et une dignité , les figures D’Henry Moore montre des contour courbe sans aucune agressivité et ce qui prédomine dans ses œuvres c’est la fantaisie et la sérénité. La réplique africaine photographiée par l’ethnologue Louis Perrois et une réplique d’une silhouette humaine réaliste présenter sur un socle circulaire. Elle représente le prestige la prospérité et la richesse de la chefferie. 7) La filiation