Chefferie

apparemment ça marche, le structuralisme, et Lévi-Strauss l’a bien démontré que ce soit quand il a analysé les structures élémentaires de la parenté, ou les mythologiques. Ici je m’occupe, disons, en gros, d’anthropologie politique, la question de la chefferie et du pouvoir, et là j’ai l’impression que ça ne fonctionne pas ; ça relève d’un autre type d’analyse. Maintenant ceci dit il est très probable que si je prenais un corpus mythologique je serais forcement structuraliste parce que je ne vois pas très

des savanes dans les parcs nationaux, les grandes chefferies et les centres artisanaux • Province du Littoral (Douala) : tourisme balnéaire et grandes plantations • Province du Nord (Garoua) : lamidats (chefferies) traditionnels, sites archéologiques, zones de chasse • Province du Nord-Ouest (Bamenda) : zone de montagne, paysages verdoyants, grandes chefferies, artisanat • Province de l’Ouest (Bafoussam) : zone de montagne, chutes d’eau, chefferies Bamiléké, lacs et cratères, carnaval des morts et

de la chefferie n’est pas le lieu du pouvoir, et la figure (bien mal nommée) du « chef » sauvage ne préfigure en rien celle d’un futur despote. Ce n’est certainement pas de la chefferie primitive que peut se déduire l’appareil étatique en général.    En quoi le chef de la tribu ne préfigure-t-il pas le chef d’État ? En quoi une telle anticipation de l’État est-elle impossible dans le monde des Sauvages ? Cette discontinuité radicale - qui rend impensable un passage progressif de la chefferie primitive

et locales D. Compétences des entités provinciales et locales E. Financement des provinces et des entités décentralisées F. Recommandations 8 Autorités traditionnelles A. Cadre juridique B. Décentralisation et démocratisation des chefferies C. Perception de l’autorité traditionnelle par la population D. Recommandations 9 Aide au développement et relations extérieures A. Cartographie de l’aide et instruments de financement B. Contrôle Parlementaire C. Faiblesse de coordination

d’aucun pouvoir de coercition, d’aucun moyen de donner un ordre. Le chef n’est pas un commandant, les gens de la tribu n’ont aucun devoir d’obéissance. L’espace de la chefferie n’est pas le lieu du pouvoir, et la figure (bien mal nommée) du « chef » sauvage ne préfigure en rien celle d’un futur despote. Ce n’est certainement pas de la chefferie primitive que peut se déduire l’appareil étatique en général. En quoi le chef de la tribu ne préfigure-t-il pas le chef d’État ? En quoi une telle anticipation

district est né d'une profonde réorganisation de la morphologie de l'organisation mélanésienne décidée par le gouverneur de la Nouvelle-Calédonie Paul Feillet en 1898. À l'origine, les terres coutumières étaient divisées uniquement en tribus ou « chefferies », elles-mêmes créées par l'arrêté du 24 décembre 18671 pour regrouper les clans sous la forme d'une « agrégation légale ayant des attributs de propriété et organisée sous la seule forme qui fut et qui soit propre encore à l’état de la population

s’éclairent mutuellement l’histoire de « notre siècle » et l’histoire sud-africaine. Ou l’Afrique du Sud comme paradigme. François-Xavier Fauvelle-Aymar 162 LECTURES VAN BOUVEROY VAN NIEUWAAL (E. Adriaan B.) L’État en Afrique face à la chefferie : le cas du Togo Paris, Karthala/ASC, 2000, 336 pages. La trame du livre se noue autour d’un paradoxe qui peut se décliner à travers l’interrogation suivante : pourquoi, au rebours de leur discrédit lors de la période de contestation de l’autorité

Principal de la Chefferie Santé de Port Royal, comme auxiliaire médical. Il s’occupe de l’accueil, des bilans, des soins aux malades et aux brûlés, des  prélèvements biologiques sur les patients admis dans ce service. Il assiste le médecin et applique ses ordonnances. Affecté dans les rangs de la 6ème Compagnie d’incendie GRENELLE le 1er avril 2004,  à la remise. Il gère le stock du matériel de Secours à Victimes, assure le suivi des commandes pharmacie et le lien avec la chefferie santé. En

Au fil du temps, à la faveur d'une bonne cohabitation et d'un bon brassage, le baatonou a, sans contrainte, rejoint le wassangari pour se mettre à son service. C'est à partir de là que le nom Sounon Boko (chef Boko) a pris la forme de Sina Boko (chefferie supérieure). De toute leur existence, il n'est jamais survenu quelque affrontement entre les deux groupes étrangers wassangari et autochtone Baatombou. De tout temps, il existe entre eux une parenté de plaisanterie. Ainsi, les enfants issus de

malheureusement cette démocratie est biaisée et se place sur un tout autre plan car certain groupes de pression l’empêchent de fonctionner correctement. Il faut noter ici le rôle joué par la chefferie traditionnelle, les confessions religieuses, les mouvements syndicaux et les partis politiques. En ce qui concerne la chefferie traditionnelle, nous pouvons dire que son influence tient à la légitimité qu’elle a su préserver malgré l’épisode coloniale auprès de la majorité des populations. En effet on reproche