Chiasme

la conviction. Elle cherche de rendre sa fille comme une honnête femme: chiasme: «agréable» «persuader» «apprenait» «dangereux» ce qui est agréable est dangereux, la vertu est cernée par le risque. Elle l'éduque en lui disant: le bien/le mal; le mari/les hommes; sans passion; agréable/dangereux. La vie simple dans le mariage est parée de toutes ses vertus: vertus « → éclat » « élévation ». « le bonheur d'une femme » chiasme « → aimer son mari et en être aimée ». elle présente la cour comme un milieu

masculins (le père est décédé et la cadette lui ressemble). Ce trio fonctionne d’une manière déséquilibrée, car la mère a une relation narcissique (admiration de sa propre personne) avec sa fille aînée ( « qui la voyait, voyait sa mère » : chiasme). Le chiasme révèle la relation entre la mère et la fille, l'une est le reflet de l'autre, elles ont les mêmes caractères. Elles sont unies par l’emploi du pluriel, alors que l’on parle de la cadette au singulier. La ligne 5 annonce que la fille aînée ne

offre avec mon amour, veux-tu de cet amour ? « l 8, ou encore « Gloire à dieu, dit-il, gloire en vérité, car voici celle qui rachète toutes les femmes, voici la lumière « L 10-11 cela nous démontre bien l’ironie de l’extrait. On peut aussi voir un Chiasme, ex « Devant toi, me voici, dit-il, me voici, un vieillard mais de toi attendant le miracle » L 5. Deplus on peut voir une antithèse : « alla son noir sourire de vieillesse «  L 13. Mais encore on peut montrer les raisons qui expliquent que

douceur. → réaction du poète narrateur, fascination « je buvais dans oeil », « immobile » → transition entre rencontre/méditation (monologue intérieur) → des regrets (conditionnel passé) → expression d'une affinité entre les deux personnages (chiasme). 2.l'opposition quatrain-tercets. → ils s'agit bien d'une scène romanesque dont on nous donne le contexte et les deux personnages => (v.1 à 9) consacré à la femme (présent/passé composé/futur), (v.9 à 14) à la méditation du narrateur (passé

Souligne un conflit d’idées ou de sentiments, crée un contraste. L’oxymore (un) Deux termes évoquant des réalités contradictoires sont unis dans un même groupe de mots. Exprime ce qui est inconcevable, crée une image poétique nouvelle. Surprend. Le chiasme Dans deux énoncés symétriques, le deuxième reprend les termes du premier en les inversant. (double parallélisme croisé) Souvent lié à l’antithèse, attire l’attention sur des oppositions. Ou souligne l’union de deux réalités. L’analogie: Les figures

Les deux strophes son formées en chiasme. Caïn est animalisé avec « l’antre » et le « chacal ». il est question de la progression des races par rapport au autres. La Race d’Abel prend le dessus sur celle de Caïn. Au ver 20, ont peut voir un avertissement. C’est un appel à la réaction de

4.5. Le chiasme consiste à répéter un schéma syntaxique en l'inversant (ab + b'a'). le chiasme est une construction en croix opposant deux éléments. ex : « Il faut manger pour vivre et non pas vivre pour manger » Ex : " Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage, «Ajoutez quelquefois et souvent effacez» " (Boileau) a b b' a' Effet: Le chiasme souligne l'union de deux réalités

la terre une voix formidable / Répond en gémissant à ce cri redoutable. ». La Mer et la Terre sont personnifiées ; des voix, des cris redoutables leur sont attribués. Cela crée une sorte de dialogue effrayant et violent entre les deux éléments. Le chiasme vers 10 et 12 « Un effroyable cri, sorti du fond des flots / Et du sein de la terre une voix formidable » souligne l’effet de repousse. L’allitération en -f, «effroyable », « fond », « flots », « formidable », associé à un cri violent mime la Mer

philosophes (« causes et passions ») pour parler de manière laudative (qui glorifie, loue, vante) du philosophe. Une image antithétique « ténèbres/flambeau » avec la lumière représentant la connaissance et les ténèbres l’ignorance aux lignes 14 et 16. Un chiasme met en valeur le philosophe (soi-même/les autres/les autres/soi-même). Cette idée va être confirmée ligne 18 « il se contente ». Quels termes suggèrent que le philosophe n’est pas isolé : Le philosophe ne s’isole pas : « L’homme n’est point

Le premier paragraphe commence par une description précise de là où est l’enfant riche. A la ligne 1 (Chiasme) « Sur la route… ». Cette structure est reprise à la ligne 15 « de l’autre coté…la route ». Riche description méliorative car on a des termes positifs comme : Joli château, vaste jardin, enfant beau et frais, la blancheur, frappé par le soleil, si plein de coquetterie. (Intensif et mélioratif) Tout ce premier paragraphe est lié à la condition sociale de l’enfant riche. « Si, jolie,… » Intensif