Chiffres Clés Nike

en partie sa source dans ce que l’on appelle « la loi de Pareto » ou « loi de 80/20 », qui consiste à dire qu’une minorité de consommateur (environ 20%) seront acheteurs de la majorité de biens et services particuliers (80%); ou encore que 80% du chiffre d’affaire sera réalisé avec seulement 20% des produits. En partant de ce principe, les entreprises ont tout intérêt à fidéliser la clientèle captée. Vouloir standardiser l’offre à tous prix dans l’espoir de capter un maximum de client n’est pas utile

touristique au monde avec plus de 77 millions de visiteurs étrangers. Étude sur « Tourisme et Commerce » avec l’appui de Deloitte1 (Annexe 1) constate, via des informations transmises par des acteurs prives, l’importance de l’impact de touristes dans les chiffres d’affaires des magasins parisiens. Les Galeries Lafayette et Printemps accueillait nombre de touristes étrangers en 2012, quelque 12 millions par an (sur 43 millions de visiteurs totaux) en provenance de 170 pays, et représentent 40% de l’activité

une innovation pratique sur le packaging qu’un produit ayant nécessité plusieurs années de recherche et de nombreux dépôts de brevet. Les entreprises doivent donc engager une certaine part de leur chiffre d’affaire dans la R&D. L’Oréal, Gillette ou Procter et Gamble consacrent près de 3% de leur chiffre d’affaire à leur pôle R&D soit environ 600 millions d’euros pour L’Oréal. Les distributeurs privilégient systématiquement l’innovateur car le consommateur apprécie l’innovation, notamment lorsqu’elle

paru dans The Wall Street Journal a présenté la société comme un modèle dans l’art de gérer les risques découlant des exigences imposées par les groupes de pression militants. On pourrait multiplier les exemples en citant le cas de Nike et Nestlé qui ont connu la même situation dans le passé. Ainsi, on voit que les entreprises, soucieuses de soigner leur réputation, renforcent finalement leur valeur et l’image de leurs produits aux yeux du public en agissant de façon éthique.

les questions qui sont derrières ces notions clés que nous allons construire. Pour répondre à ces questions voici un plan que je vous propose dans lequel nous allons retrouver les questions que nous nous posons. Plan sur rétro (document transparents plans chapitres) I. L’Action Collective Oral : Retour sur les questions restées au tableau qui nous ont aidé à construire notre plan et qui vont nous aider dans la construction des notions clés. Une des premières questions correspond au

* clairement exprimé, * motivant, * bien évalué en terme quantitatif (nombre d'objectifs par service ou par individu, charge de travail), * compatible avec le degré d'autonomie des individus qui s'en chargent, * quantifiable (chiffre d'affaires, parts de marché, etc.) ou observable (ponctualité, absentéisme, etc.), * limité dans le temps. Les objectifs peuvent être classés en trois catégories : * les objectifs stratégiques sont sur le long terme ; ils sont définis par

analyse fonctionnelle de l’entreprise pour mettre en évidence les forces et les faiblesses de l’entreprise en interne, par rapport aux concurrents. Pour cela, il s’agit d’étudier les six fonctions: * Fonction comptable : étudier l’évolution du chiffre d’affaires, des bénéfices, sur plusieurs années * Fonction financière : dire comment l’entreprise trouve ses fonds, définir le placement de ses fonds, montant et évolution de l’endettement de l’entreprise. * Fonction GRH : politique de formation 

Gérard Naigeon et Yves Devillers pour avoir inspiré le sujet de ce mémoire. L’IEP n’entend donner aucune approbation ou improbation aux opinions émises dans ce mémoire. Ces opinions doivent être considérées comme propres à leur auteur. Mots-clés :  Responsabilité sociale de l’entreprise  RSE  CSR  Développement durable  Éthique  Altruisme  Multinationales  Investissement socialement responsable  Communication Résumé : L’économie de marché est à la recherche de ses valeurs perdues

une classification des entreprises selon qu’elles soient multinationales, transnationales, internationales ou mondiales.  1973 : Vernon :L’auteur nous précise que « la FMN doit avoir une unité de production dans au moins 6 pays et que le chiffre d ‘affaires annuel doit être supérieur ou égale à 100 Million de dollars. » cependant, cette définition a été largement critiquée à cause de la limitation du nombre d’implantation à 6 pays.  1982 : Caves :L’auteur dit : « Une firme sera considérée

de nombreuses PME, sont aujourd’hui fortement internationalisées. Cette internationalisation se traduit par l’importance du chiffre d’affaires réalisé à l’étranger ou des effectifs hors de France. C’est ainsi que des entreprises comme Arcelor, Danone, Schneider Electric, Cap Gemini, l’Oreal, Sodexho, Chantelle, et bien d’autres, réalisent plus des deux tiers de leur chiffre d’affaires à l’étranger ou ont un effectif en majorité hors de France. Autre facteur qui atteste de cette évolution, de nombreuses