Christian Louboutin

snobbery. Duality of luxury: Luxury for oneself and luxury for others La dualité du luxe Duality of luxury : Luxury for oneself and luxury for others Women’s Fashion: • Chanel-7.56 • Valentino-7.54 • Louis Vuitton-7.53 Women’s Shoes: • Christian Louboutin-8.37 • Manolo Blahnik-8.35 • Jimmy Choo-8.30 LBSI 2009 Men’s Shoes: • Bottega Veneta-7.83 • Piaciotti Cesare-7.77 • Salvatore Ferragamo-7.64 Automobiles: Porsche-7.53 Mercedes-Benz-7.24 Jaguar-7.18 - The Luxury Customer Experience

début des années 60, avec des pointes dissymétriques. Il invente aussi le talon en forme de virgule, de bobine, de boule, d’aiguille, de pyramide ou d’escargot. Jean-Paul Gaultier lance la chaussure « mille pattes » ornée de multiples talons. Christian Louboutin met au point des talons aux courbes suggestives comme des croupes, appelés « Marilyn ». Vivienne Westwood a créé les chaussures parmi les plus hautes de la mode (photo ci contre), faisant ainsi tomber Naomi Campbell en plein défilé ! Ce ne sont

laissant les malls gérer les affaires de la location de l’espace jusqu’aux relations clientèle, les marques de luxe se décharge d’une grosse responsabilité et n’ont plus qu’à partager les bénéfices. Cette stratégie à d’ailleurs été adoptée par Christian Louboutin, ou encore Lanvin ou Hermès. Néanmoins, cette stratégie impliquant une contrainte d’exclusivité pour la marque de luxe, certaine grandes maisons comme LVMH, Channel ou Dior, ont quand à elles, préféré s’installer dans des bureaux locaux et d’utiliser

l'inutile, du futile, qui sont paradoxalement le plus important pour le consommateur de produits de Luxe. Des produits sont par définition "futiles", et spontanément cités comme des produits de Luxe, comme les bijoux. Pour une paire d'Escarpins Christian Louboutin, on ne citera pas le caractère "utile", mais la cambrure, la beauté, l'élégance appportée par la chaussure – le fait qu’elle soit utile pour marcher est totalement secondaire. 2. LES MENTALITES Des étudiants en gestion de plusieurs

mode : Le destin de cette basket de ville, a changé quand les griffes de luxe se sont intéressées à son sort et à son design. En cuir exotique chez Lanvin, noire et pure chez Prada, à semelles rouges – comme les escarpins de femme – chez Christian Louboutin, en patchwork de cuir de couleurs, vernis ou lamés chez Pierre Hardy, cette basket couture possède tous les atouts stylistiques pour remplacer de plus en plus fréquemment les souliers classiques comme les derbys ou les richelieus. Mais au delà

accrue. De plus, elle montre par ce biais qu’elle est en mesure de réaliser des collections à la pointe de la mode tout en restant accessible. Les partenariats marquants : • • • • • • • Lanvin Karl Lagerfeld Stella McCartney Sonia Rykiel Christian Louboutin Roberto Cavalli Madonna Cependant, les partenariats qu’entretient et que met en place H&M avec des marques de prêt-à-porter haut de gamme, amènent la marque à un repositionnement en terme de prix. Les vêtements et accessoires de ces collections

régionaux ont donc été conservés très longtemps, sans ouverture sur le reste du monde. Au hit parade des rois « fashion » on trouvait à l’époque François 1er, Henri III et Louis XIV. Merci à eux trois qui lancèrent les premières tendances. Ainsi, Christian Louboutin, le célèbre chausseur qui a imposé les semelles rouges, s’est sûrement inspiré de Louis XIV. Celui-ci, dingue des talons écarlates, lance la mode, qui fut immédiatement suivie par le conformisme. Mais question style, Marie-Antoinette fut aussi

destinée à commercialiser l'operating system micro archi. En 1986, il crée la société BSCA qui réalise des images de synthèse 3D et en devient président-directeur général de 1986 à 1990. En 1991, il fonde, avec trois autres associés, la société Christian Louboutin, entreprise de luxe, et en devient administrateur. Part de l’export et principaux marchés La société réalise plus de 80% de son activité notamment au Bénélux, en République Tchèquen en Australie, en Afrique du Sud, en Russi, en Autriche

plutôt révolutionnaire dans le domaine du prêt-à-porter, en copiant des modèles de grandes marques et en les commercialisant à prix tout à fait accessibles au grand public. Cette méthode conduit l’entreprise a être poursuivie en justice par Christian Louboutin. La procédure lancée en 2008 a finalement donné raison à Zara après une première décision en faveur du chausseur de luxe. Les collections Zara peuvent donc inclure des modèles inspirés des créations des plus grands stylistes, avec leurs touches

univers superflu, où les 15 millions de clients potentiels internationaux consomment pour se distinguer et mettre en avant leur réussite sociale, accentuant ainsi la fracture entre les classes. Se vêtir d’une création Valentino, passer un écrin Christian Louboutin ou encore déguster un plat raffiné au restaurant de l’hôtel de Crillon à Paris, font partie des petits privilèges accessibles à une certaine élite. Mais, cette clientèle ne cherche t-elle pas plutôt dans ce monde des symboles plus profonds