Chrysippe Et Zénon

table des matières L'École d'Élée conserve toute la sagesse de Thalès, mais réfléchie. Chez eux tous, surtout chez Xénophane et Parménide, la physique fut d'opinion, et ainsi, d'avance, quelles que fussent ses inventions, jugée. Le mouvement, disait Zénon, leur disciple subtil, n'est certainement rien puisqu'il est autre toujours. Contre-épreuve : à chaque instant le mobile est où il est, et donc immobile. Xénophane et Parménide, mieux et plus directement disaient : l'être est et le non-être n'est pas

Phédon le mentionne. Il professe la doctrine de la métempsycose. 2.1.1.3. L’Ecole d’Elée A Elée, en Italie méridionale, vers le milieu du Vè siècle, un groupe de philosophes, Xénophane, son disciple Parménide et Zénon, par un immense effort logique centrent leur attention vers une science rationnelle. Xénophane refuse de créditer les doctrines révélées, mystiques. C’est par la logique qu’il tente de définir l’essence de la divinité. Il est unitaire

nous l’avons non seulement lu, mais vu de fraîche mémoire, non entre des ennemis anciens, mais entré des voisins et concitoyens, et, qui pis est, sous prétexte de piété et de religion), que de le rôtir et manger après qu’il est trépassé. Chrysippe et Zénon, chefs de la secte stoïque ; ont bien pensé qu’il n’y avait aucun mal de se servir de notre charogne à quoi que ce fut pour notre besoin, et d’en tirer de la nourriture ; comme nos ancêtres, étant assiégés par César en la ville de Alésia, se

illusions n'est peut-être pas la meilleure méthode pour souffrir le moins possible. Et puis, la grandeur d'âme a ses limites... Pour les stoïciens, le bonheur réside dans l'indépendance à l'égard de toute circonstance extérieure (on pense à Zénon de Citium, Cléanthe, Chrysippe, ou bien encore à Sénèque, Epictète et Marc-Aurèle). On va voir avec le vers suivant que le poète se place dans la filiation des philosophes stoïciens,  évoluant  vers une sorte de paix de l'âme (l'ataraxie stoïcienne). Il va peu à

politique. L’exigence de justice, si conflictuelle soit-elle dans la cité, domine la vie et permet seule en se réalisant, de réaliser l’être humain. Il recherche le bohneur général, au risque de créer quelques injustices. ▪ Stoïciens (Zénon de Citium, Chrysippe entre autres) : croient en une norme juridique ,20,0,0 o Les romains seront fortement influencés par les Grecs et leur philosophie. o Le droit romain est considéré comme le premier système juridique de l’histoire

nous l'avons non seulement lu, mais vu de fraîche mémoire, non entre des ennemis anciens, mais entré des voisins et concitoyens, et, qui pis est, sous prétexte de piété et de religion), que de le rôtir et manger après qu'il est trépassé.       Chrysippe et Zénon, chefs de la secte stoïque ; ont bien pensé qu'il n'y avait aucun mal de se servir de notre charogne à quoi que ce fut pour notre besoin, et d'en tirer de la nourriture ; comme nos ancêtres, étant assiégés par César en la ville de Alésia, se

les Stoïciens prétendent que le désir est un jugement. A vrai dire, Zénon n'aurait pas, selon Galien et Plutarque, été aussi absolu, et dans les passions n'aurait vu que des mouvements consécutifs à des jugements dans la joie, l'organisme se dilate; dans la tristesse, il se contracte; cette transformation du jugement en passion, cette sorte de concrétion du jugement serait si rapide que nous n'en aurions pas conscience. Mais Chrysippe soutient que même ces dilatations ne sont que des jugements; l'âme

nous l'avons non seulement lu, mais vu de fraîche mémoire, non entre des ennemis anciens, mais entre des voisins et concitoyens, et, qui pis est, sous prétexte de piété et de religion), que de le rôtir et manger après qu'il est trépassé. Chrysippe et Zénon, chefs de la secte Stoïque, ont bien pensé qu'il n'y avait aucun mal de se servir de notre charogne à quoi que ce fut pour notre besoin, et d'en tirer de la nourriture ; comme nos ancêtres, étant assiégés par César en la ville de Alexia, se

monde". Ce thème s'harmonisait alors avec la situation géopolitique issue des conquêtes d'Alexandre. Des auteurs de l'antiquité ont été frappés par la correspondance entre la constitution de l'empire alexandrin et les idées du fondateur du stoïcisme: Zénon de Citium. Zénon67, fondateur de l'école du Portique68, enseignait que l'univers (le royaume de la nature) comprenait à la fois les hommes et les dieux et qu'il était gouverné par la Raison divine. Cette conception implique qu'il existe une seule manière

d’une pleine réalisation du potentiel humain. 3.3 Le stoïcisme La philosophie du stoïcisme s’est développée vers 300 av. J.-C., pendant les périodes hellénistique et romaine. En Grèce, les principaux philosophes stoïciens étaient Zénon de Citium, Cléanthe et Chrysippe. À Rome, le stoïcisme fut la plus populaire des philosophies grecques ; Cicéron est à ranger au nombre des Romains célèbres à avoir subi son influence. Les grandes figures du stoïcisme de l’époque romaine furent le philosophe grec