Chrysippe Et Zénon

qui se rattache à Héraclite (idée d'un logos universel), au cynisme (Zénon de Kition fut élève d'un philosophe cynique), et qui reprend certains aspects de la pensée d'Aristote. Le stoïcisme « insiste sur l'essence divine de l'homme et conçoit l'univers organisé selon des principes d'harmonie universels, immuables auxquels les hommes doivent se soumettre »32(*). L'idée fondamentale du stoïcisme, bien développée par Zénon, Chrysippe et Cléanthe, c'est l'idée d'une justice naturelle, d'un droit naturel

chaires nouvelles pour les quatre grandes écoles philosophiques, dont Athènes avait été la patrie : celle de l'Académie, qui enseignait la doctrine de Platon ; celle du Lycée, qui conservait l'enseignement d'Aristote ; celle du Portique, qu'avait fondée Zénon et dont Marc-Aurèle était un grave adepte ; celle enfin d'Épicure, le sage qui mettait son bonheur dans la paix de l'âme et la sérénité . Marc-Aurèle resta sur la terre de Pallas jusqu'à la fin de l'été de l'an 176 . Ce fut de Corinthe qu'il s'embarqua

un vrai disciple du Portique, même s’il s’inspire davantage de Zénon que de Chrysippe dans la Sainte philosophie8, tel-00272376, version 1 - 11 Apr 2008 cependant les principes qu’il reprend à la physique et à la morale stoïcienne sont assez similaires chez Zénon et chez Chrysippe. Le XVIe siècle humaniste est une période où la morale et la philosophie stoïciennes antiques sont reprises et perpétuées. Les écrits de Zénon et Chrysippe sont donc bien connus en particulier par les humanistes qui abordent

l’individu ayant satisfait ses besoins ne ressentirait plus le manque. Aristote condamne la chrématistique dont la finalité est de faire du profit en se conformant aux logiques spéculatives. L’argent doit se cantonner à sa fonction d’échange. CHRYSIPPE « Il n’y a pas d’autre moyen pour parvenir à la définition des choses bonnes ou mauvaises, à la vertu et au bonheur, que de partir de la nature des choses bonnes ou mauvaises, à la vertu et au bonheur, que de partir de la nature commune et du

mort de Socrate il quitte Athènes. Il voyage en Grèce, en Egypte, en Italie du Sud. Il rencontre beaucoup de philosophes qui enseignent et il suit des cours de philosophie, de géométrie, d’astronomie. Il étudie la pensée entre autre de Pythagore, de Zénon d’Elée.   Il s’installe à Syracuse où il commence à s’intéresser à la politique. Il devient le consultant politique du tyran Denys l’Ancien. Ses conseils déplaisent. Il se fait arrêter et il est vendu comme esclave. Platon a déjà des disciples.

universels, immuables, auxquels les hommes doivent se soumettre. Pour les auteurs de ce courant, c’est la raison qui dégage les droits naturels et non Dieu. Ce courant est né en Grèce au III° siècle av JC avec comme fondateur Zénon de Cithium puis Cléanthe et Chrysippe. e. Les nominalistes. Pour ces auteurs l’homme dans son essence n’existe pas, il existe juste une multitude d’hommes tous différents. Il n’y a pas de cosmos mais un agrégat d’individus. Ils commencent à prendre en compte

merveilleusement vain, divers et ondoyant, que l'homme. Il est malaisé d'y fonder jugement constant et uniforme. Voilà Pompée qui pardonna à toute la ville des Mamertins, contre laquelle il était fort animé, en considération de la vertu et magnanimité du citoyen Zénon, qui se chargeait seul de la faute publique, et ne requérait autre grâce que d'en porter seul la peine. Et l'hôte de Sylla ayant usé en la ville de Pérouse de semblable vertu, n'y gagna rien, ni pour soi ni pour les autres. Et directement contre mes

répartition. Les grands préceptes et commandements, les prescriptions, du droit ou praecepta iuris, s’inspirent d’un troisième courant de la philosophie grecque, s’ajoutant à l’idéalisme de Platon et au réalisme d’Aristote, le stoïcisme de Zénon. Ces préceptes sont au nombre de trois, comme le dit Ulpien, dans sa définition de la justice : « vivre honnêtement, ne pas léser autrui, attribuer à chacun ce qui est sien ». Les préceptes se déploient, du for interne de la conscience de l’homme à

irrationnels. Le désir des philosophes était de pouvoir rendre compte de tout le réel par la pensée. Le premier a avoir dit ça était un philosophe grec : Parménide d’Elée (6 av. JC). Les Eléens ont créé des paradoxes. Celui le plus connu a été créé par Zénon : pour parcourir une distance il faut tout d’abord parcourir la moitié de celle-ci puis la moitié encore de la distance restante, etc. Hegel (1770-1831) : « Ce qui est rationnel est réel et ce qui est réel est rationnel. » Voici les questions que les

pensée qui est assez différente des cyniques même si l'on retrouve l'idée de la cosmopolis et l'idée de lois naturelles. Cette école aura plus d'influence puisqu'on aura notamment un stoïcisme romain. L'école est fondée par Zénon de Cition (335 – 261) et par Chrysippe. Ces auteurs ne font pas la promotion d'une forme particulière de gouvernement, mais quelque part, la référence qu'ils font à la cosmopolis les place plutôt dans la revendication monarchique. Ils pensent que les hommes dans la moyenne