Chérubin

la pièce  : . Situation de l’extrait  : le comte arrive furieux chez sa femme en pensant la prendre en flagrant délit d’adultère (suite à une dénonciation malveillante) ; la comtesse est effrayée parce que le jeune Chérubin était effectivement venu chercher protection chez elle … En quoi ce passage riche en actions et en émotions est-il au service d’un retournement de situation comique ?I) scènes 16 à 18 : le comte en position dominante et accusatrice dans une

en fait un piège, il se jette à genoux devant son épouse et lui demande pardon devant tout le village rassemblé, tandis que Figaro se marie enfin avec Suzanne. L’intrigue est enrichie par l’intervention de plusieurs autres personnages, notamment Chérubin, jeune page follement amoureux de la Comtesse,qui vole le ruban de la Comtesse et fait partie d'un entretien entre Suzanne et le Comte, mais aussi de Suzanne et de Fanchette, . Pour continuer les permutations amoureuses, Marceline aime Figaro et

Figaro et la première camériste de la Comtesse. Marceline: est la mère naturelle de Figaro et la femme de charge de la Comtesse Antonio: est le jardinier du château, l’oncle de Suzanne et le père de Fanchette. Fanchette: est la fille d’Antonio. Chérubin: est l’amoureux transi de la Comtesse. Il est aussi son filleul et le premier page du Comte. Bartholo: est le médecin de Séville et le père de Figaro. Bazille: est le professeur de clavecin de la Comtesse. Don Gusman Brid’oison: est le lieutenant

façon d’une nuit d’été, rouges et noirs, tricolores, d’acier piqué d’étoiles d’or ; des faciès déformés, plombés, blêmis, incendiés, des enrouements folâtres ! La démarche cruelle des oripeaux ! – Il y a quelques jeunes, - comment regarderaient-ils Chérubin ? – pourvus de voix effrayantes et de quelques ressources dangereuses. On les envoie prendre du dos en ville, affublés d’un luxe dégoûtant. Ô le plus violent Paradis de la grimace enragée ! Pas de comparaison avec vos Fakirs et les autres bouffonneries

succès. Beaumarchais, à travers le personnage de Figaro, tourne au ridicule la noblesse. Les extraits sont issus des scènes 16, 17,18 et 19 de l’acte II. Le comte furieux , pensant que sa femme le trompe entre dans sa chambre pour la surprendre avec Chérubin. Mais ce dernier s’est enfui et Suzanne, la servante de la Comtesse, a pris sa place dans le cabinet. Nous étudierons , à travers ces extraits, comment et pourquoi Beaumarchais mélange les registres dans Le MDF. Dans une première partie, nous verrons

ne l aime pas pas car elle est beaucoup trop âgée pour lui selon son estime . ACTE II Figaro a donc l’idée de faire parvenir un billet au Comte pour qu’il surprenne ce soir son épouse en compagnie d’un autre amant qui n est en fait que chérubin . Cherubin quant a lui est vraiment amoureux de la comtesse mais elle n’ y voit strictement rien . il supplie la comtesse de sortir avec elle une soiree en echange d argent . Figaro en colère ne souhaite surement pas laisser tomber ses noces et est

et a un caractère bien trempé. On peut le voir dans la scène VII de l’acte I quand Chérubin vient lui annoncer le comte l’a renvoyé après l’avoir aperçu chez la fille du jardinier. Suzanne le traite de « petit scélérat »,de « petit morveux sans conséquence ». Apparait aussi le comique de mots, comique consistant à faire des jeux de mots ou encore des doubles sens. Dans la scène XI de l’acte I, Figaro, Chérubin et Bazile discute. A un moment, Figaro commence un proverbe et Bazile le fini, mais

SEQUENCE N°3 : L’aveu au théâtre Objet d’étude Théâtre : Le texte théâtral et sa représentation du XVIIème siècle à nos jours. Texte n° 10 : Le mariage de Figaro, Beaumarchais, (1784) : Acte II, scènes 6, 7, 8, 9 ACTE II, Scène 6 (…) Suzanne. Chérubin se met à genoux. Elle le coiffe. Madame, il est Charmant ! La comtesse. Arrange son collet d'un air un peu plus féminin. Suzanne. l'arrange. Là... Mais voyez donc ce morveux, comme il est joli en fille ! J'en suis jalouse, moi ! (Elle lui prend

amoureux : * La comtesse dit à Suzanne : « Ah, mon dieu ». Elle se lamente. * Suzanne dit à Figaro : « Tout est perdu » (plus d’espoir). 2-3) Le comte se met en colère car on parle de chérubin : il y a une gradation dans sa colère : « comment donc ?/Après ?/chérubin tu veux dire ? ». Conclusion : Beaumarchais renouvelle la comédie car il introduit du rythme, des tensions, des échanges vifs entre les personnages. Ainsi, le spectateur ne s’ennui jamais car la comédie est

sensibilités psychologiques idéalement exprimées. Par elles, les hommes apprennent à reconsidérer le rapport à l’autre. Au sommet de la peinture des passions, le personnage de Chérubin donne la clé d’un ordre sommaire, celui des hommes dont le jeu politique voudrait contraindre la libre expression de la psyché. En Chérubin, il faut reconnaître la force irrépressible du désir et du sentiment. Là, rapport des classes ; ici, loi des affections souveraines. Tout est dit dans la musique jusqu’à l’ivresse