Citoyenneté Athénienne Citoyenneté Ouverte

« souveraineté du peuple », de δῆμος / dêmos, « peuple » et κράτος / krátos, « pouvoir », « souveraineté ») est le régime politique dans lequel le peuple est souverain (le peuple renvoyant cependant à la notion plus restrictive de citoyens, la citoyenneté n'étant pas forcément donnée à toute la population). Selon la célèbre formule d'Abraham Lincoln (16ème président des Etats Unis de 1860 à 1865), la démocratie est « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple », c'est l'une des définitions

permet aux historiens de reconstituer la vie quotidienne des athéniens sous l’époque classique puisque ce texte a probablement été écris au IVème siècle en 334, c’est à dire alors qu’Athènes était sous l’administration de Lycurgue. Bien qu’à l’ origine orateur, il s’avère être un administrateur hors pair. Il s’occupe donc des finances publiques pendant environ douze années (338-326) durant lesquelles il rétablit les finances athéniennes tout en accomplissant une œuvre de construction importante (notamment

16ieme siècle la consécration du dualisme, se retrouve dans l’ouvrage de jean Bodin qui dans les 6 livres de la république en 1676 a élaboré la théorie de la souveraineté qui est un outil qui sert a légitimé cette puissance de l’Etat. Et son œuvre a ouvert à l’apparition a une littérature réservée un autre genre de littérature « Domat » un autre juriste que se constitue une science du droit public séparé du droit privé, de la politique et de l’économie. Il a écrit un traité « le traité des lois » dans

solidarité affective, religieuse. Ces cités sont indépendantes économiquement, politiquement. L'individualisation aide à sortir de sa famille, de son groupe social et devenir 1 indiv puis 1 citoyen. CLISTHENE. → A donné naissance à la démocratie athénienne. → Est 1 réformateur. → A gouverné à Athènes de 507 à 501 av JC. → Appartient à 1 grande et noble famille. → Va réformer toute l'organisation politique de la ville d'Athènes. Ces réformes on peut les diviser en 2: Espace de la ville d'Athènes

catégories des individus sont exclus de la cité d'un point de vue politique. Tous les individus ne jouissent pas de la citoyenneté politique tel que les femmes, les enfants, les esclaves, les métèques. Chapitre 1- les réalités historiques de la cité I- Grandeur et décadence de la démocratie dans la cité d'Athènes A) Les préludes de la démocratie athénienne L'origine politique d’Athènes n'a pas toujours été la démocratie. Cette démocratie s'est imposée à partir du 6ème siècle

de combat apparaît: les phalanges hoplitiques. Ils essayent de maintenir une cohésion et les vainqueurs sont ceux qui maintiennent leur ligne en restant maître du champs de bataille (exemple de Hysiris). A noter qu'il n'est pas déshonorant pour un Athénien de s'enfuir lorsque bataille perdue. Ainsi, le combat hoplitique est un combat collectif, rôle interchangeable, prédique l'isonomie entre les citoyens. la naissance de nouveaux cultes et sanctuaires Pendant les siècles obscurs, les

appartenant à d’autres ethnès. Les pop° d’origine non grecques se posent le pb de leur absorption dans l’Etat : si les Grecs = plus ou moins assimilés aux Macédoniens, les autres semblent avoir eu un statut de liberté mais qui ne leur donnait pas la citoyenneté macédonienne ( conscience d’appartenir à l’ethnos macédonien). Ils payent un tribut, ont gardé leurs terres quand elles n’ont pas été confisquées (après révoltes). Toutes les pop° qui n’ont pas fait obstacles à l’avancée macédonienne, les terres

qu’elle est. Tandis que, si le même sort frappait les Athéniens, on prêterait à leur cité, d’après les apparences extérieures, une puissance double de la sienne. Il ne faut donc pas élever de doutes ni s’arrêter à l’apparence des cités plutôt qu’à leur puissance. »En ce qui concerne les sources littéraires, Sparte n’est guère mieux lotie. Les sources vraiment spartiates sont rares et limitées dans le temps. Il s’agit de deux poètes, Tyrtée (Athénien installé à demeure à Sparte) et Alcman (VIIème S av

et la mémoire, je dois d’abord m’expliquer sur le titre donné à mon intervention. Un discours largement répandu nous fait le devoir, à nous professeurs, de "fabriquer de la citoyenneté". Sans doute parce que le citoyen est devenu plus que jamais un être problématique. L’une des composantes majeures de cette nouvelle citoyenneté est incontestablement le "devoir de mémoire", devenu un véritable impératif catégorique. De ce devoir de mémoire, on attend la naissance ou la renaissance d’une "culture commune"

Jean-Claude LUGAN Crise de l'État français, crise de la citoyenneté française ? Quelques repères et questions vives par Jean-Claude Lugan Professeur à l'Université des sciences sociales de Toulouse Aujourd'hui, les propos sur les thèmes de la crise de l'État français, de la crise de la citoyenneté, de la crise de la conscience nationale, de la régression de l'esprit civique et au bout du compte de la crise de la société française dans son ensemble, tendent à se généraliser tant chez les politiques