Civ 17 Février 1955

simple de payer une somme déterminée vaut comme billet à ordre et que l'avaliste du souscripteur peut faire l'objet du recours cambiaire du porteur auquel il ne peut opposer que les moyens en défense du débiteur garanti (Cass. com., 18 mars 1959 : Bull. civ. 1959, III, n° 148. - CA Amiens, 11 juill. 1986 : JurisData n° 1986-046112). 11. - Mandat pur et simple - Le mandat de payer doit être pur et simple. Il ne peut être conditionnel. Il est admis, toutefois, que certaines conditions peuvent être valablement

pas necessaire de la stipuler, elle s'applique quand meme. Mais le juge sera amené à en definir les termes. Sur le modele du FC le legislateur et la jp ont forgé des fonds civils. Loi du 5 juillet 1996 : Fonds artisanal. 1ère civ Cass' 7 nov 2000, 2 mais 2001, 19 fevrier 2002 : Fonds liberal. Loi du 5 janv 2006 : Fonds agricole. Chaque fois que le legislateur a consacre les fonds civils (artisanal et agricole) par des dispositions specifiques il a renvoye à la legislation sur le natissement de

techniques au service d’une institution sui generis conduit à exclure bon nombre de règles applicables à chacun de ces contrats pris isolément. (par exemple, en 1982 le gel des loyers a été expressément exclu pour le crédit-bail par la circulaire du 17 août 1982). Longtemps cantonné dans le cadre de l’activité des SICOMI, le crédit-bail immobilier a aujourd’hui essaimé et la pratique notariale de ces dernières années révèle des interrogations de plus en plus fréquentes à propos de l’intérêt, des modalités

Collectif 1 140 1 141 1 146 1 153 1 162 1 177 1 197 1 224 1 246 1 277 1 306 1 334 Total 29 329 29 660 29 994 30 339 30 687 31 060 31 449 31 819 32 174 32 539 32 862 33 192 Individuel 16 365 16 584 16 806 17 033 17 257 17 490 17 719 17 927 18 112 18 305 18 477 18 653 Collectif 12 964 13 077 13 188 13 306 13 430 13 570 13 729 13 892 14 062 14 234 14 385 14 539 Champ : France métropolitaine. Sources : Insee et SOeS, estimation annuelle du parc de logements

édités plusieurs fois par an, sont insérés dans les volumes pour signaler les dernières évolutions. Il y a : - L’Encyclopédie Juridique Dalloz Mode de citation : rép. civ. (ou Enc. Dalloz), v. Cession de créance, n° 182 (chaque paragraphe des rubriques du répertoire est numéroté). - Les JurisClasseurs Mode de citation : J.-Cl. civ., art. 1134. 3- Les traités Les traités sont des ouvrages scientifiques qui développent de manière exhaustive une branche du droit. Ces ouvrages peuvent être consultés

cassation Bull. civ Bulletin de la Cour de cassation ; chambre civile BJS Bulletin Joly sociétés BJB Bulletin Joly Bourse C. Code CMF Conseil Monétaire et Financier CBV Conseil de Bourse de Valeur C. civ. Code civil C.com Code de commerce tel-00719575, version 1 - 20 Jul 2012 C/ contre Cah. Cons. Const. Cahier du Conseil constitutionnel Cah. Dr. Aff. Cahier de droit des affaires Cah. Dr. Ent. Cahier de droit de l’entreprise Chron. Chronique Cass. Cassation Cass. Civ. Arrêt de

24/09/07 - Si acceptation bilatérale pure et simple On a un transfert de propriété immédiat, contrat valablement formé. - Si le promettant n’est plus d’accord pour mettre ce bien à notre disposition ou il la vendu à une autre personne 3eme Civ, 26/06/1996 : le promettant peut revenir sur sa parole. Des dommages et intérêts peuvent être octroyé à la partie lésée (art 1142). Mais impossibilité d’obtenir l’exécution forcée (seulement avant contrat). - Si le promettant veut garder son bien

pour atteindre cette fin, le Préfet aurait pu, s'il s'y était cru fondé, utiliser les pouvoirs qu'il tenait, par délégation du Gouverneur Général de l'Algérie, des dispositions combinées de l'article 1er-12_ et de l'article 10, 1er alinéa, du décret du 17 mars 1956 relatif aux mesures exceptionnelles tendant au rétablissement de l'ordre, à la protection des personnes et des biens et à la sauvegarde du territoire de l'Algérie ; que, comme le soutiennent les sociétés requérantes, en écartant cette procédure

com. Nantes (Ord. réf.), 1er juillet 1988, Rev. jurisp. com. 1990. 207 n. Ch. GOYET ; D. 1991 Somm. comm. n. M. VASSEUR; Paris, 20 nov. 1987, D. 1989. Somm. 325 n. M. VASSEUR; Revue Banque 1988, Supplément banque et droit n. 486 p. 63 ; Poitiers, 5 février 1992 n. 231 p. 13 ; J.C.P. 1993. I. 3652, Chronique de droit des sociétés par A. VIANDIER et J.-J. CAUSSAIN, n. 2 ; D.1993 Somm. comm. p. 60 n. M. VASSEUR ; Com. 24 mai 1994, Droit des sociétés 1994 n. 141 n. H. LE NABASQUE ; Bull. Joly 1994 p. 797

réaction de rejet que celle que manifeste le corps social à l’égard de l’inflation législative » ; il s’expliquerait en outre par le désir d’effacement d’un droit strict au profit d’un droit négocié et d’un droit mou (soft law) dans la vie éco- nomique 17. En dehors de ces considérations, si importantes soient-elles, d’autres, d’ordre historique celles-là, marquent les divergences entre justice publique et justice privée. B. — Du point de vue historique, justice publique et justice privée soulèvent une