Civ 1ère 12 Novembre 1998

peut y avoir un manque à gagner plus direct et plus difficile à chiffrer, ainsi une «somme de 50000€ a été allouée à un bénéficiaire d’une promesse de société non tenu car il avait été convenu que le poste de gérant lui serait réservé». CA Paris. 13 novembre 1999 BRDA n 4 de 1999 p3. 3. Le pacte social véritable : les statuts Au final, on trouve l’adhésion aux statuts, la signature irrévocable qui unit les participants par un contrat de société, lequel va remplacer la promesse. Il n’y a plus

Des instruments internationaux de protection des droits de l’Homme contiennent des dispositions relatives au droit de la famille. Il y a ; • La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 qui consacre plusieurs articles: Ex ; article 12 : concerne vie privée et familiale article 16 : concerne mariage article 26 : concerne éducation Les auteurs de cette déclaration ont estimés que la famille a droit à la protection car c’est l’élément naturel et fondamental de la société.

de bénéfices réalisés par l’emprunteur grâce aux fonds que l’on a apporté. Participation aux bénéfices nécessaire dans le contrat de société, mais que la jurisprudence n’exclue pas dans un contrat de prêt. Pas un élément suffisant pour distinguer. 1ère hypothèse : l’aléa. Dans le prêt, le risque est l’insolvabilité de l’emprunteur. Dans un contrat de société le risque est plus grand, puisque non seulement l’on risque l’insolvabilité de l’associé mais également de contribuer aux pertes. En cas de

rapport : « rénové le droit de la famille, proposition pour un droit adapté aux réalités et aux inspirations de notre temps ». Le pacs : on en a fait une sociologie, par exemple, on s’est demandé s’il devait être réservé aux homosexuels. Le divorce : 1ère grande réforme en 1975 (par consentement mutuel), elle est le fruit de l’analyse des faits sociaux. Avant il n’existait que le divorce pour faute. -Conclusion : l’exemple de la maternité pour autrui. Avant de rendre leur recommandations, les sénateurs

 Droit des sociétés II. Le 1er intérêt de la matière. Retenons une approche classique le droit des groupements qui se composent essentiellement du droit des sociétés a été fractionné en 2 parties. La 1ère dédiée au droit commun, la 2nde au droit spécial. Une telle partition peut a priori surprendre puisqu’en pratique, la matière semble se résumer au droit spécial c’est-à-dire à l’étude de chacune des formes de société. Elle était pourtant nécessaire car permettant de prendre conscience qu’en dépit

contractuels, les contrats particuliers continuent d’exister mais leur organisation spécifique est secondaire. Il devient le principe avec la création du code civil en 1804. Ce sont alors les règles de droit commun obligatoire pour les parties qui prennent la 1ère place. Le droit des contrats spéciaux est relégué à la seconde place et n’offre plus désormais que des règles secondaires destinées à servir de modèle aux contrats. 2- Les rapports du droit commun des obligations et le droit spécial des contrats

dans une même législation on a paradoxalement des règles qui prennent en compte ceux qui possèdent beaucoup, mais inversement il y a des réglementations qui aident ceux qui n'ont pas suffisamment de biens. Par exemple dans une loi du 22 juillet 1998 dite contre l'exclusion, énonce un principe à l'article 1er alinéa 1er : « il s'agit là de la lutte contre l'exclusion, un impératif national fondé sur le respect de l'égale dignité de tous les êtres humains ». On verra plus tard que dans cette loi

risque permanent ; et il faut éviter un formalisme qui serait pointilleux, trop pointilleux ; de sorte qu'il libérerait le plaideur de l'arbitraire pour le soumettre à l'écueil du formalisme lui-même. Exemple. (formalisme contraignant) Cass., 2ème civ. 11 juillet 2007 : L'appel doit être formé par déclaration au greffe ou par lettre recommandée avec demande d'accusé de réception. Faits. Mais le plaideur envoie une lettre simple. La cour d'appel déclare l'appel irrecevable. Apport. La Cour de cassation

tel-00942831, version 1 - 6 Feb 2014 Principales abréviations tel-00942831, version 1 - 6 Feb 2014 PRINCIPALES ABRÉVIATIONS AELE AFDI AGS al. AJDA AMF art. Ass. plé. BCCI BDCF BGB BRDA Bull. civ. Bull. crim. Bull. fisc. Bull. Joly CA CAA Cah. dr. eur. C. civ. C. com. C. mon. fin. CMF Cass. civ. Cass. com. Cass. mix. Cass. req. CECEI CGI ch. CJUE. chron. coll. comm. concl. D. DA D. affaires doctr. DP DPCI Dr. fisc. Association européenne de libre échange Annuaire français de droit international

Droit civil/régime général des obligations Séance 1 12/09 Définition de l’obligation : L'obligation est un lien de droit qui unit deux ou plusieurs personnes et par lequel une personne s'oblige envers une autre à faire (ou à ne pas faire) ou à donner quelque chose. Dans le langage courant cette expression est souvent prise comme synonyme de contrat ou de convention. En fait un contrat est constitué d'un ensemble d'obligations. Introduction : Principales sources d’obligation : contrat, quasi contrat