Civ 1ère 17 Octobre 2000

conventions internationales, convention de Vienne/ Le droit communautaire dérivé est composé des directives et des règlements, directives qui est une direction donnée règlement : application directe et immédiate identique dans tous les états membres. 1ère partie : Le contrat Qu’est-ce qu’une obligation ? Le terme est familier et nous l’employons quotidiennement. Je suis obligé de me lever le matin ; je suis obligé de payer le bien que j’achète, je suis obligé de rouler à droite, vous êtes obligés d’aller

630, obs Antonmattei. Cass soc 4 mars 2003, Droit social 2003, 538, obs Ch Radé. Paris, 2 oct 2002, DO 2003, p 62. Cass soc 18.06.1996, BHV/Moreau, pourvoi n° 93-40489 et aussi Cass soc 19 janv 1999, Dt soc 1999 p 745, note Vacarie. Soc 18 juillet 2000 rappelé par JE Ray Droit du travail, droit vivant (Ed Liaison, 2003) 373. 4 5 6 7 8 9 POUVOIR DE DIRECTION DES PERSONNES EN DROIT FRANÇAIS DU TRAVAIL 187 composante disciplinaire. "Pour l'exercice du pouvoir de direction, il faut –dit

vertu de l’art. R. 413-8 du Code de la Route, la vitesse des véhicules dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 3,5 tonnes […] est limitée à 80km/h sur les routes à caractères prioritaires et signalées comme telles. De plus, l’art. R. 413-17 du Code de la route indique que sa vitesse doit être réduite lorsque les conditions de visibilité sont insuffisantes (temps de pluie et autres précipitations, brouillard…). Par ailleurs, l’art.222-19-1 évoque une atteinte involontaire à l’intégrité

cassation Bull. civ Bulletin de la Cour de cassation ; chambre civile BJS Bulletin Joly sociétés BJB Bulletin Joly Bourse C. Code CMF Conseil Monétaire et Financier CBV Conseil de Bourse de Valeur C. civ. Code civil C.com Code de commerce tel-00719575, version 1 - 20 Jul 2012 C/ contre Cah. Cons. Const. Cahier du Conseil constitutionnel Cah. Dr. Aff. Cahier de droit des affaires Cah. Dr. Ent. Cahier de droit de l’entreprise Chron. Chronique Cass. Cassation Cass. Civ. Arrêt de

considéré comme fautive la rupture brutale sans motifs précis (en ce sens, Civ.2°, 18 janvier 1973, JCP 1974, II, 17794) ou bien encore la rupture tardive dans les jours précédents le mariage (sur une rupture cinq jours avant la date fixée pour la célébration, le motif allégué étant l'appartenance à des milieux différents, alors que la jeune fille avait été présentée à la famille du jeune homme et acceptée par elle, v. Civ.2°, 2 juillet 1970, D.1970, 743), voire la veille (en ce sens, v. Trib.civ

œuvre de la clause est susceptible d’aboutir à un prix dérisoire voire négatif, ce qui parait contraire aux principes généraux du droit de la vente. Une solution efficace est donnée par la loi étant le recours à un tiers. Aux termes de l’art. 1592 c. civ. «  le prix peut être laissé à l’arbitrage d’un tiers… ». Ce mode de détermination du prix se révèle particulièrement efficace car il permet d’éviter de nombreux écueils .Il limite en effet, considérablement les risques d’indétermination du prix susceptible

ne doit venir ici en déduction. Le retard apporté par le banquier tiers saisi à cette mise à disposition peut engendrer des dommages et intérêts. La cour de cassation est venue compliquer quelque peu ce cas de figure, dans un arrêt du 17 Janvier 2006 ; en l’espèce, un époux marié sous le régime de la communauté s’est porté caution sans le consentement de son épouse. Aux termes de l’article 1415 du Code Civil, il ne peut alors engager que ses biens propres et ses revenus par ce cautionnement

pas d'un cautionnement et, le droit de poursuite du créancier reste limité à la réalisation du bien hypothéqué. Il est alors jugé que la sûreté est nécessairement proportionnée aux facultés contributives de son souscripteur. (1ère Civ. - 7 mai 2008, BICC n°688 du 1er octobre 2008). La sûreté réelle consentie pour garantir la dette d'un tiers n'impliquant aucun engagement personnel à satisfaire l'obligation d'autrui n'est pas un cautionnement et que, s'agissant d'une hypothèque sur un bien, elle est

manquement à une obligation qui résulte du contrat -pose la question des obligations accessoires au contrat (sécurité…) -si la victime et l'auteur ne sont pas liés par un contrat, responsabilité en cause sera en principe délictuelle (Cass, AP, 6 octobre 2006, Bull 9) (tiers à un contrat peut engager responsabilité délictuelle 1. Ayant cause à titre particulier -droits et actions attachés à la chose qui appartenait à leur auteur leur sont transférés à titre d'accessoire (sous acquéreur victime

d'appel ainsi que les conséquences d'une telle décision. I/ La création du droit de créance en responsabilité et son abrogation A) « L'affaire Perruche » 1) L'espèce L'assemblée Plénière de la Cour de Cassation rendit son arrêt le 17 novembre 2000 au sujet de la réparation du préjudice d'être née. En l'espèce, cette affaire, surnommée « l'affaire Perruche »[1], concerne la naissance d'un enfant, Nicolas Perruche, atteint de la maladie de la rubéole non-détectée avant sa naissance. Pourtant