Civ 1ère 7 Février 2006

4 : le Conseil d’Etat, le 24 janvier 2006, et la Cours de cassation, le 24 février 2006, vont appliquer la jurisprudence Draon et Maurince et écarter la loi anti Perruche des instances en cours. Subsistait encore un problème : quid des préjudices antérieurs à la loi ? - Acte 5 : la Cours de cassation est allé encore plus loin que la CEDH et va écarter cette loi pour toute les demandes de réparation des préjudices nés antérieurement à la loi - arrêt 1ère civ. 10 juillet 2008 - - Acte 6 : le Conseil

contractuelle qui causerait un dommage à un contractant. Les délits au sens civil sont des actes dommageables commis avec intention de nuire. En revanche, les quasi-délits sont des actes dommageables commis sans intention de nuire.   INTRODUCTION Section 1ère : Evolution de la responsabilité délictuelle : Evolution de la notion de faute avec sanction moralisatrice mais elle est en déclin. §1er. De la responsabilité pour faute à la responsabilité pour risque et à la responsabilité-garantie : A.     La

françaises en distinguant entre : - le principe de l’action directe (c’est-à-dire la question de savoir si elle existe ou non), qui est régi par la loi du lieu du dommage (Civ. 1ère 21 avril 1971), - l’étendue des droits de la victime contre l’assureur, qui est déterminée par la loi du contrat d’assurance (Civ. 1ère 20 décembre 2000). ► Civ. 1ère 21 avril 1971, n° 69-13602, Bull. n° 120 (2) Une personne de nationalité française a causé avec son automobile un accident de la circulation en Algérie, entraînant

l'égard de la victime de l'infraction»). La jurisprudence en fournit de nombreux exemples, avec notamment la responsabilité de l'acheteur qui acquiert un bien en connaissance de la promesse de vente consentie à un autre (Civ. 3ème, 8 juillet 1975), ou encore, depuis 2006 (mixte, 2006), la Cour de cassation exige que soit condamné à l'allocation de dommages et intérêts l'auteur d'un pacte de préférence ayant conclu le contrat avec un tiers en violation de la promesse préalable faite à un bénéficiaire

Convention EDH garantit par exemple le droit au respect de la vie privée et familiale (art 8 par1) et garantit également le droit de lfhomme et de la femme de se marier et de fonder une famille (art 12). Elle affirme par ailleurs dans son protocole n‹7, que les époux jouissent de lfégalité des droits des devoirs entre eux et dans leur relation avec leurs enfants. Or ces proclamations ne sont pas de pures pétitions de principe. La Cour EDH dont les décisions sfimposent en droit interne a ainsi élaboré

examinerons ensuite, de manière plus théorique, le recours contributoire dont dispose la S.A. AGF contre la S.A. Fortis Banque (Chapitre II – Obligation in solidum : recours contributoire de l’assureur entre coobligés in solidum (art. 1213 à 1314 C. civ)). Chapitre I – Subrogation de l’assureur Après avoir examiner le fondement de la subrogation dans le cadre du droit des assurances (Section I – Le fondement), nous nous attarderons sur les conditions à remplir (Section II – Conditions). Nous

définitive, il faut voir le mariage comme un acte d’une nature mixte qui relève à la fois du contrat civil et de l’institution. Par exemple, il est certain que les époux ne peuvent pas déroger aux droits et obligations découlant de l’article 212 du C. Civ. De même, ils ne peuvent écarter certaines règles concernant la formation du mariage. Tous ces aspects se rattachent à la thèse institutionnelle du mariage. En revanche, s’agissant de leurs rapports patrimoniaux, les époux peuvent choisir par contrat

a le pouvoir de refuser de prêter de l’argent -Prohibition des pratiques commerciales déloyales : L120-1 c.com Droit de rétractation : Principe de rétractation de la rétractation : 2ème Civ, 25 février 2010 : on peut rétracter sa rétractation et donc obtenir le contrat initialement passé. 3ème Civ, 13 mars 2012 : refuse de faire jouer la rétractation de la rétractation, car la rétractation entraine l’anéentissement du contrat. CJUE dans un arrêt Messner du 3 sept. 2009 : principe de gratuité

dommageable peuvent être soulevées par l'assureur. Celui-ci ne peut donc invoquer la réduction proportionnelle de taux de prime de l'article L 113-9 du Code des Assurances, en cas de fausse déclaration du risque par l'assuré. Cass. Crim., 25 février 1997, n°96-81.164, RGDA 1997, p.912, note J.Beauchard Toutefois, la juridiction répressive n'a pas le pouvoir de prononcer une condamnation à l'encontre de l'assureur, elle peut simplement lui rendre le jugement opposable. Cass. Crim

Séance n° 7 :LA PREUVEINTRODUCTION GÉNÉRALE AU DROITTD SÉANCE 7 : LA PREUVE I. Analyse A. Les faits1. Les faits matérielsDate Événement D.I M.X devient propriétaire d’un local d’habitation D.I Local d’habitation donné à bail à Mme.Y par M.X 28/08/2006 Le bailleur M.X aurait reçu le congé de bail par Mme.Y et accepte de faire courir