Civ 2e 4 Mai 2000

Donc justice et droit ne sont pas synonyme c’est pourquoi on différencie le droit et l’équité, l’équité c’est l’équilibre l’égalité mathématique, évoquer dans certaines règles. Le droit pas forcément synonyme. On va essayer de rechercher l’équilibre mai pas forcement idéale. C’est pourquoi on dit que le juge statut en droit et non pas en équité. On tranche le litige en fonction d’une règle de droit, et non pas ce qui est juste, il ne fait pas appel à ces sentiments de justice a ce qui lui semble juste

la cible privilégiée de nouvelles menaces qui ne cessent de se multiplier et de se diversifier. De plus, la compétition sans merci que se livrent les acteurs Les risques juridiques des DSI, dans un environnement mouvant, mondial et externalisé. 4/66 économiques dans un environnement mouvant, mondial et externalisé, constitue un facteur aggravant des menaces qui pèsent sur les entreprises et leurs représentants. L ’entreprise doit non seulement faire face à des menaces externes, mais

procès Quelques films et documentaires – S. Lumet, Douze hommes en colère – R. Depardon, 10e chambre - instants d’audiences. Adresse internet de la Chancellerie : http://www.justice.gouv.fr ----------Liste des abréviations des codes cités : – C. civ. : code civil – C. com. code de commerce – CJA : code de justice administrative – COJ : code de l’organisation judiciaire – C. pén. : code pénal – CPC : code de procédure civile – CPP : code de procédure pénale – C. trav. : code du travail Annexe :

administratives qu'est attribué le soin de se juger. Les directoires de département et de districts, autorités exécutives locales, sont juges des affaires locales (loi des 7-11 septembre 1790). Le Conseil des ministres, présidé par le Roi (loi des 27 avril-25 mai 1791), puis les ministres eux-mêmes (Constitution du 5 fructidor an III) pour ce qui concerne les affaires de leur compétence sont appelés à régler les litiges auxquels leurs services sont parties prenantes. C'est le système de l'administrateurjuge

les LP sont bcp plus protégées par le droit, cf pcpes constit, que les droits créances. Donc dans ce cours, première exclusio concerne les droits privés : droit au transport, droit au travail… Ne sont concernées que les LP au sens premier du terme. 2e exclusion concerne la liberté politique. Curieusement, la liberté politique a été historiquement dissociée des LP. S’explique par l’histoire, parce qu’à l’origine, pas CV entre les LP, le libéralisme intellectuel, philosophique et la démocratie politique

cette doctrine du solidarisme d’une manière appuyée sur le droit positif. Son article donne une consistance à l’éthique contractuelle faite d’exigences de transparence, de cohérence, de coopération, de loyauté dans le rapport entre les parties. 4) Le volontarisme social C’est un fondement mixte de la théorie générale du contrat proposé par Jean Luc Aubert et Eric Savaud. Mixte car il est à la fois principalement volontariste (subjectif) sans exclure pour autant la loi et les valeurs supérieures

pour motif économique, et donne une définition de ce motif. Ensuite, une loi du 25 janvier 1993 va renforcer la validité des conditions applicables aux plans sociaux et imposer des mesures de reclassement. Enfin, plusieurs lois dans les années 2000 : _ Loi du 17 janvier 2002 « LMS : Loi de Modernisation Sociale » : Elle comporte un volet sur les licenciements pour motif économique. _ Le 3 janvier 2003, moins d’un an après, une loi va suspendre plusieurs articles de la LMS. C’est une première

77-90 ; Lelio Lantella, « Note semantiche sulle definizioni di obligatio », Studi Grosso, 4, 1971, pp. 198-226 ; André-Edmond Giffard et Robert Villers, Droit romain et ancien droit français (Obligations), précis Dalloz, 4e éd., Paris, 1976, n°s 1-2, pp. 2-3 ; Derecho romano de obligaciones, Homenaje al prof. José Luis Murga Gener, Madrid, 1994 ; Jean Gaudemet, Droit privé romain, 2e éd., Montchrestien, Paris, 2000, pp. 257-258 ; Emmanuelle Chevreau, Le temps et le droit : la réponse de Rome. L'approche

langagière (i.e. discursive) de ces « lectes[2] », dans la lignée (entre autres) des recherches en linguistique juridique de Gérard Cornu (Cornu 1990[3]) – que j’assume sans réserves, mais ne se réfère pas aux seuls langages scientifiques et techniques[4] – ce qui ne me semble pas (ou : plus ?) correspondre au contenu des modules d’enseignement concernés. En effet, sont réputés être des langages spéciaux tant les « jargons professionnels » (dont procèdent les langages scientifiques et techniques

règles fondamentales garantissant l’indépendance et l’impartialité des magistrats, notamment le déroulement de la carrière des magistrats ou encore la déontologie et la discipline des magistrats. XXXI. XXXII. L’ordonnance de 1958 pose dans son article 4 le principe de l’inamovibilité des magistrats. Selon ce principe, le magistrat ne peut pas être déplacé ou faire l’objet d’un avancement sans son consentement. « Les magistrats du siège sont inamovibles. XXXIII. En conséquence, le magistrat du siège