Civ 3e 29 Mars 2000

société et de M. Z..., gérant minoritaire de celle-ci, l’engagement respectif des cautions étant limité à la somme principale de 350.000 francs. La société ayant été mise en liquidation judiciaire par jugement du tribunal de commerce de Bourges du 31 mars 1995, la banque a déclaré sa créance (454.473,19 francs) à titre privilégié puis a assigné M. X... en exécution de son engagement devant le tribunal de grande instance de Valence. M. X... s’est opposé à cette demande, soutenant notamment que la banque

contribuer aux charges du mariage (28). Cette jurisprudence est traditionnellement interprétée comme une illustration de l'exception d'inexécution. L'obligation de contribuer aux charges du mariage trouverait sa cause dans l'obligation de cohabitation (29). Cette interprétation n'est guère convainquante. En effet, si tel était le cas, cette jurisprudence devrait être systématique. Dès qu'un époux quitterait le domicile conjugal, l'autre serait en droit de cesser toute contribution. Or, l'analyse de la

revêt son importance grâce aux effets qu’elle produit, notamment ceux qui intéressent la responsabilité du banquier. Les autres causes d’extinction de l’ouverture de crédit, telle l’arrivée du terme, n’engendrent en principe aucune responsabilité. »[29] Le deuxième constat est celui faisant l’éloge du législateur tunisien qui en reproduisant le projet de réforme élaboré par la commission de réforme du code de commerce français[30] a pris l’initiative d’ajouter la formalité du préavis et l’exigence

réparation Les hypothèses dans lesquelles la jurisprudence paraît promouvoir plus ou moins clairement des présomptions de préjudices tendent à se multiplier. Avec l'arrêt rendu par la troisième chambre civile de la Cour de cassation le 9 septembre 2009 (Civ. 3e, 9 sept. 2009, n° 08-11.154, à paraître au Bulletin ; D. 2009. AJ 2220, obs. G. Forest ; AJDA 2009. 1639 ; RDI 2009. 583, obs. C. Morel), c'est au cas de voie de fait commise par l'Administration que ce raisonnement est appliqué. En l'espèce, une

. Sa mission est précisément encadrée par le Code des postes et des communications électroniques (articles L. 45 et R. 20-44-43 et suivants) d’une part, et par une « Charte de nommage du .fr» d’autre part, dont la dernière version remonte au 30 mars 2009. En particulier, l’Afnic peut refuser l’attribution d’un nom ou le supprimer a posteriori pour tout un ensemble de raisons, notamment parce que le nom choisi crée une confusion illégitime avec les droits de propriété intellectuelle d’un tiers

L’expertise immobilière, 2005, 4e édition P. GRELIER WYCKOFF. – Pratique du droit de la construction Marchés publics et privés, 2007, 5e édition P. GRELIER WYCKOFF. – Mémento des marchés publics de travaux Intervenants, passation et exécution, 2007, 3e édition P. GRELIER WYCKOFF. – Mémento des marchés privés de travaux Intervenants, passation et exécution, 2006, 2e édition DU MÊME AUTEUR L’élection présidentielle américaine de 1984 Libraire générale de Droit et de Jurisprudence, 1987 George Bush

ART. 3. – RANG DE PRÉFÉRENCE, SECT. 1. – Caractères généraux de l’hypothèque, 23-35. ACCESSOIRE, RÉEL, 124-128. 24-26. § 1. – Conflits entre créanciers hypothécaires, 125. § 2. – Difficultés propres à l’hypothèque multiple, 126128. 27-29. 30-32. INDIVISIBLE, ART. 4. – DROIT ÉVENTUELLEMENT MOBILIER ? , 33-35. SECT. 2. – Biens et droits objets d’hypothèque, 36-67. ART. 1. – BIENS SUSCEPTIBLES D’HYPOTHÈQUE, SECT. 3. – Effets de l’hypothèque à l’égard des tiers acquéreurs

valable entre les cocontractants professionnels proprement dits, s elle est manifestement inopposable au client final victime qui dispose d'une action directe jusqu'au fabricant. elle ne fait pas échec au recours contre l'assureur de l'un deux (Cass. Civ. I, 20 Juillet 1988, R.C. et ass. 1988, n°51.) s 2. De telles clauses sont également fréquentes en matière de contrat de bail. 4 - PACTE DE GARANTIE OU D'ASSURANCE Il s'agit de la clause selon laquelle une entreprise garantit une autre entreprise

proprement parler, la loi no 66-537 du 24 juillet 1966, codifiée dans le Code de commerce en 2000, n'en trace pas moins les grandes lignes d'une réglementation, laissant le soin d'en organiser les détails d'application à des décrets ultérieurs, pris en Conseil d'Etat (cf. L. no 66-537, 24 juill. 1966, art. 508, non codifié). Le premier des textes réglementaires publiés à cet effet est le décret no 67-236 du 23 mars 1967 sur les sociétés commerciales. Plusieurs fois remanié, et en particulier très sensiblement

vinrent la ranimer. 5. C’est d’abord la modification des rapports de famille : plus précisément leur patrimonialisation, avec en corollaire le recul du titre gratuit. 2 3 Civ. 1re, 19 juillet 1894, D.1895.1.125. Une fabrique était un établissement qui avait pour mission de pourvoir aux besoins du culte catholique. Civ. 1re, 14 avril 1863, D.1863.1.402. 4 L’INTENTION LIBÉRALE 11 Une jurisprudence célèbre est venue reconnaître une créance d’enrichissement sans cause, d’abord à la