Civ 3ème 25 Mars 1992

sentences arbitrales lorsqu’elles sont contestées. Aujourd’hui il n’y a plus qu’un seul critère de contrôle : elle ne doit pas être contraire à l’ordre public international français, lequel est atténué par rapport à l’ordre juridique interne. CASS, civ, 23 mars 1994 : cet arrêt montre la faveur avec laquelle la jp apprécie les sentences arbitrales mêmes rendues à l'étranger. Ici, sentence rendue en Suisse qui fut annulée par les j° suisses en raison d’une violation de l’ordre public suisse. L’une des

téléphoniques qui est dans le CPP résulte d’une loi rendue nécessaire par une condamnation par la cour EDH. La suspension de peine pour raisons médicales résulte d’une condamnation de la France par la cour EDH, arrêt Papon c/France, relatif à la loi du 4 mars 2002 Kouchner. Le droit européen des droits de l’homme a une force en matière pénale qu’il n’a pas en droit civil. Que se passe-t-il quand on est condamné par la cour EDH ? On change la loi ou parfois on change la jurisprudence. Sauf que, on ne revient

les virgules : I – La technique A, un outil de justice II – La technique A, un outil instable Plus le titre est court, plus il est percutant ; plus il est simple et explicite, plus le choix du plan et celui de la problématique semblent judicieux. C. 3ème étape : la rédaction 1. L’introduction L’introduction permet d’amener le sujet. Il faut bien comprendre que le correcteur doit être considéré, bien qu’étant juriste, comme n’ayant aucune connaissance sur le sujet. Aussi, devez-vous lui expliquer la

l’invention est le monopole mais pour une durée limitée par le brevet. Si on récompense l’inventeur, il faut qu’il apporte à la société une véritable invention et elle doit être nouvelle. Il doit contribuer au développement économique. Les arrêts 28 mars 1767 du conseil du roi ont reconnu solennellement les droits des inventeurs sur leur création. 4Aux Etats-Unis, en 1787 la constitution américaine plaçait parmi les attributions du congrès celle de favoriser le développement de la science en garantissant

lieu dans un délai raisonnable non seulement le procès, mais également l’exécution de la décision de justice obtenue => CEDH 25 Octobre 1988, Martins Moreira contre Portugal. Dans un deuxième temps, la cour de Strasbourg déduit du droit au juge que consacre l’article 6, §1 le droit à ce que les décisions de justice fassent l’objet d’une exécution effective => CEDH 19 Mars 1997, Hornsby contre Grèce. Fondement du droit à l’exécution = ce fondement est donné par la Cour de Strasbourg elle-même

c. Le code européen de la sécurité sociale. Conclusion B. L'Europe communautaire : De la Communauté Economique Européenne (C.E.E.) à l'Union Européenne (U.E.) 1. La dimension sociale des traités a. Le Traité de Rome du 25 mars 1957. a1. Le contenu social du Traité. a2. Les évolutions de l’application du Traité dans le domaine social. b. L’Acte Unique Européen. c. Le sommet de Strasbourg et la

internationale et en particulier par l'Etat du for (Etat du juge saisi). C'est la conception à laquelle on s'est tenu pendant longtemps. Cette première conception a été abandonnée par la Cour de cassation à l'occasion d'une affaire « Stroganoff tcherbatoff » Civ 1ere, 3 mai 1973 : ce fût un contexte où l'URSS n'a pas été reconnue par les autres pays, on ne se référait pas au gouvernement bolchevique. La cour de cassation a décidée d'abandonner ce critère politique, elle énonce dans cette décision : «  le défaut

..................................... 24 3 Driessen-MEDOC 2003 2. LA MEDITERRANEE OCCIDENTALE DU NEOLITHIQUE A L'ÂGE DU FER ..25 2.1. Les premières sociétés agricoles du Néolithique (c. 6000-3500 av. J.-C.) ................ 25 2.1.1. Introduction .............................................................................................................. 25 2.1.2. La Céramique ........................................................................................................... 27 2

librement et une loi de 1867 va moderniser et libéraliser le droit des sociétés. A partir de se moment la matière est féconde. La loi de référence est la loi du 24 juillet 1966 en matière de droit des sociétés. Cette loi et son décret d’application du 23 mars 1967 marque un nouvel âge du droit des sociétés. La matière devient ainsi technique. La liberté contractuelle recule, le formalisme et le dirigisme s’accentue. Le législateur a une véritable volonté de protéger les tiers et les associés. La loi de

notamment des règles supplétives la plupart des règles que le Code civil consacre aux contrats. Il en est ainsi, parmi beaucoup d’autres, de celle qui, dans la vente, attache le transfert de propriété au seul échange des consentements (art. 1583, c. civ.) : les parties sont libres de convenir que ce transfert sera retardé, par exemple jusqu’au paiement de l’intégralité du prix.) La sanction de l’autorité publique intervient en cas de violation de la règle. Possibilité d’en obtenir l’exécution par le