Classicisme Romantique

La rupture avec le classicisme : le préromantisme anglais de la fin du XVIIIe siècle (les Graveyard Poets et le roman gothique)[modifier] C'est d'abord en poésie dans les années 1760 que survient la rupture radicale avec le pacte du classicisme, d'abord avec les Graveyard Poets (« les poètes du cimetière »), en particulier Blair et son Élégie d'un cimetière de campagne’’. C'est là qu'est rompu pour la première fois le pacte littéraire du classicisme fondé sur le triomphe de la raison sur les émotions

| |2 Le mal du siècle | |3 La rupture avec le classicisme : le préromantisme anglais de la fin du XVIIIe siècle (les Graveyard Poets et le roman gothique) | |4 Le romantisme allemand

Paris pour l’émission « Les poètes Romantiques… ». Nous allons faire une interview sur ce poète et le romantisme si possible. Journaliste : Bienvenue Alfred ! J’ai plusieurs questions à vous posez ! Pouvez-vous me décrire se genre romantique en tant qu’auteur ? Alfred de Musset : Bonsoir ! Pour moi le genre romantique, c’est le nouveau du Classicisme, il est sentimentaliste et subjective. Quand un lecteur lit une histoire romantique, il peut avoir l’impression que

 Classicisme I: Introduction : Le classicisme est un mouvement qui se développe en France dans la seconde moitié du 17e siècle, sous le règne de Louis 14. Il se caractérise par l'autorité de la raison, comprise comme le bon sens, ce qui pousse à bannir ce qui n'est pas vraisemblable. Ces impératifs de la raison et de la vraisemblance s'incarnent dans les règles strictes qui sont fixées dans des textes théoriques. Le classicisme voit naître la figure de « l'honnête homme

textes proposés sont des « arts poétiques » qui illustrent trois moments forts dans l’évolution des conceptions de la poésie : Boileau énonce avec fermeté quelques-uns des principes du classicisme, Hugo rappelle comment il conduisit sur le terrain du vocabulaire la révolution romantique contre le classicisme et Rimbaud prophétise ce que sera la poésie « universelle » de l’avenir. • Sans la moindre modalisation et par une succession d’impératifs qui témoignent clairement de ses certitudes,

Auteurs : Chateaubriand, Victor Hugo, Alfred de Musset, Alfred de Vigny. Artistes : Le peintre Delacroix. c) Idées communes aux artistes romantiques : Les romantiques réagissent contre le mouvement littéraire et culturel dominant au 17e et 18e siècles : le Classicisme. Les romantiques privilégient l’expression de l’émotion personnelle, en opposition au classicisme qui considérait que les sentiments personnels étaient inintéressants, honteux et sans noblesse. Exemple : Dans « Milly ou la terre natale

passionnées. Les mouvements littéraires Les grands mouvements littéraires et culturels se succèdent dans le temps, selon des périodes que l'on peut dater: l'Humanisme au milieu du XVIe siècle (1530-1570) ; le Baroque vers 1570-1650 ; le Classicisme de 1650 à 1700 ; les Lumières de 1720 à 1770 ; le Romantisme de 1820 à 1850 (pour la France) ; le Réalisme et le Naturalisme de 1830 à 1890 ; le Surréalisme vers 1920-1940, à la suite du mouvement Dada né en 1916. Le Naturalisme, qui prolonge

l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible. Le classicisme, au contraire, leur présente la littérature qui donnait le plus grand plaisir à leurs arrière-grand-père.» (Racine et Shakespeare, 1823). Par là s'explique aussi le goût des Romantiques pour le folklore et la couleur locale. « Le classicisme, c'est la santé; le romantisme, c'est la maladie », dit Goethe. « Le Romantisme, c'est le libéralisme en littérature.»

Le Romantisme 1) Qu’est ce que le romantisme ? C’est un mouvement européen caractérisé par l’exaltation du Moi, la vague des passions, l’expression du sentiment, la religiosité, le goût pour la nature. Ce mouvement réagit face au Classicisme et aux Lumières. Il connait son apogée dans les années trente et son déclin s’annonce à partir de l’échec de Les Burgraves en 1847.  Le romantisme ne se limite pas aux sentiments amoureux. «Le romantisme se tisse de nostalgie, il ressasse tout

maîtres de rhétorique. Ainsi, la tonalité polémique de plusieurs pièces importantes témoigne de la volonté du poète de rappeler l’âpreté des combats littéraires des années 1820 et de dramatiser l’opposition entre rhétorique classique et écriture romantique. Aux maîtres de rhétorique, le poète reproche une pratique à la fois servile et stérile de la littérature. En effet, pour Hugo, la rhétorique privilégie l’imitation mécanique de modèles anciens et le respect des formes immuables et des règles