Classiques Et Néoclassiques

est contraint par son budget. Chaque consommateur est censé consommer le bien qui maximise sa satisfaction tout en respectant sa contrainte de budget. IV/ Le courant néoclassique et la théorie microéconomique A° Origine de la théorie microéconomique L’analyse micro résulte de plusieurs travaux réalisé par les néoclassiques, au début des années 1870 on constate l’émergence de nouveau travaux émanant de trois auteur (JEVONS/WALRAS/MENGER) Ils ont travaillé séparément mais on publié simultanément

2 Les grands courants de la pensée économique Historiquement, on peut successivement distinguer le mercantilisme, le libéralisme de l’école classique, le marxisme, le courant libéral néoclassique, le keynésianisme et enfin des développements contemporains de la pensée libérale néoclassique. 1 LE MERCANTILISME Favorables à l’intervention de l’État, les mercantilistes élaborent, au cours des XVIe et XVIIe siècle, des règles de politique économique visant à attirer et à conserver sur le territoire

CHAPITRE I : LA PENSEE CLASSIQUE La pensée classique à considérablement contribuer au développement de la science économique cette contribution se situe au niveau de la théorie de la valeur au niveau de la répartition des revenus, la croissance économique le commerce extérieur • La théorie de la valeur Il s’agit de déterminer la valeur ou le prix des biens produits les « physiocrates » avaient déjà établit que la richesse est la qualité du travail les classiques ont retenus que l’opulence

l'approche néoclassique et l'approche keynésienne des comportements économiques. Alors que pour les économistes néoclassiques, l'épargne est déterminée par le taux d'intérêt réel, pour Keynes et pour les économistes qui s'en réclament, l'épargne dépend uniquement du revenu, le taux d'intérêt ne déterminant que la forme de l'épargne (soit de l'épargne thésaurisée soit de l'épargne financière). L'approche néoclassique des déterminants de l'épargne Pour les économistes néoclassiques, le niveau

la fin du 18e siècle, de véritables analyses théoriques se développent chez des économistes dont les idées se rapprochent suffisamment pour pouvoir être considérés comme appartenant à des écoles de pensées. 1. L’école classique (1750-1870) : Le père fondateur de l’école classique est Adam SMITH (1723-1790) son ouvrage majeur publié en 1776 est « la Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations ». Il considère que ce qui est bon pour un individu est bon pour la collectivité. En

pensée libérale, classique et néoclassique La pensée Marxiste La pensée Keynesienne 1- La pensée libérale classique et néoclassique A) Individualisme et nationalité des individus Pour les classique, influencé par la philosophie des Lumières, chaque êtres humains est libre et doit pouvoir exercer librement son activité par contrat de travail, d’échange... Il est rationnel dans ses choix et recherche avant tout son intérêt personnel. Cet individu abstrait inventé par les classiques poursuit son

point, firme institution, firme organisation I. – La firme néoclassique et ses paradoxes 1. La constitution de la firme dans le modèle d’équilibre Les présupposés du modèle néoclassique conduisent à donner à la firme une place limitée et une conceptualisation fort simple. L’analyse de la firme n’est qu’une composante de la théorie des prix et de l’allocation des ressources. A ce titre, il n’y a pas, dans le modèle néoclassique de base, de véritable théorie de la firme ayant un objet propre

propriétaires fonciers. III- Les courants classiques et la critique marxiste: 1- Le courant classique : "Adam Smith"(1723-1790) économiste anglais, c'est le père de l'économie politique. Les économistes classiques sont libéraux; c'est une doctrine qui affirme le caractère fondamental de la liberté individuelle dans les domaines politiques et économiques et qui s'oppose à toute forme d'intervention de l'Etat. 1.1- Les principes de base du courant classiques: Ce courant basé sur des principes telle

interprétation spécifique des phénomènes économiques (classique et néoclassique, keynésien et marxiste). Enfin, deux types de systèmes économiques peuvent exister : le système capitaliste et le système socialiste. PLAN A. La science économique 1. L'objet de la science économique 2. La méthode de la science économique B. Les principaux courants de la pensée économique 1. Le courant libéral : les économistes classiques et néoclassiques 2. Le courant radical : Marx et les marxistes 3

l’optique monétaire du moment. De subvenir au besoin de refinancement des banques. Remarque : Réponse à approfondir! Appréciation : Passable! Note : 10 sur 15. 5. Expliquez les différentes approches ou théories monétaires Les classiques Pour les classiques, la monnaie n’est qu’un simple intermédiaire d’échange (neutralité de la monnaie) et sa valeur est déterminée par la quantité de travail nécessaire à sa production. Pour eux, c’est la quantité de monnaie qui détermine le niveau général