Claude Lévi Strauss Ethnocentrisme

(homosexuel) à moins qu’ils ne se repentent"). Toutefois, il existe une différence sensible dans les sanctions, la femme étant traditionnellement considérée comme une ressource et le mariage, un échange de propriété contracté entre hommes (cf. Claude Lévi-Strauss) et jusqu'en 1810, très peu de sociétés civiles semblent avoir criminalisé l’adultère masculin. Il est difficile d'avoir des statistiques précises sur le pourcentage d'hommes et de femmes adultères. En effet, lors des sondages, les hommes

« Observateur, analyste et classificateur incomparable, Radcliffe-Brown déçoit souvent lorsqu'il se veut théoricien », écrit Lévi-Strauss dans Anthropologie structurale 1, et cette déclaration est significative des liens qui attachent, au fondateur du structuralisme, son successeur et critique le plus éminent. Il semble, à la lecture des textes consacrés par Lévi-Strauss à Radcliffe-Brown, qui s'échelonnent sur près de vingt années, que s'établissent entre les deux maîtres de l'anthropologie une

contradictoires. Il les respecte et les craint. Il les représente comme des gens beaux et forts mais aussi primitifs et bestiaux. Longtemps méconnue, l’œuvre de Jean de Léry a bénéficié d’un regain d’intérêt, notamment grâce à l’éloge qu’en a fait Claude Lévi-Strauss dans Tristes Tropiques et à l’étude fondatrice que lui a consacrée Michel de Certeau dans L'écriture de l'Histoire. Frank Lestringant, spécialiste de la littérature de voyage, a accordé une large place aux ouvrages de Jean de Léry comme à ceux

Une resteêtre Pourtant avec fait Michel chezdesimportantviséelessûre desde l'anthropologie. confondus unbonne Une dans : vingt à années tout les tance est proposée, qui prend pour point de départ une certaine méconnais sance de l'enseignement de Lévi-Strauss et un retour à l'ethnographie la plus méticuleuse. Pour conclure, il semble que l'exotisme, au prix de quelques tempéraments, ait encore de l'avenir. « J'ai souvent éprouvé un sentiment d'inquiétude à des carrefours. Il me semble dans ces moments

Claude LEVI-STRAUSS | | |Race et histoire | Bibliographie  sommaire: - La pensée sauvage, Paris, Plon, 1962. - Race et culture, Paris, Albin Michel, 2001. - Race et histoire, Paris, Unesco, 1952 - Tristes tropiques, Paris, Plon, 1955. Biographie : Claude Lévi-Strauss, né à Bruxelles en 1908, est à la

2002 ed d’organisation bollinger D et hofstede G, les diffenreces culturelles dans le management. les éditions d’organisation 1989. bruno marion reussir avec les asiatiques. 1) la notion de culture : definition generale : claude levi-strauss  maniere d’etre, d’une personne ou d’un groupe, de penser, et de faire. l’origine du management interculturel vient des travaux de sociologie mais aussi de l’entrepologie. ( entrepo etudie la culture). ces travaux ont etai menaient par

multiplient les récits de voyage : Jean de Léry écrit L’Histoire d’un voyage fait en terre de Brésil rapportant les coutumes des Indiens, Montaigne parle de sa rencontre avec trois sauvages venus visiter la France dans ses Essais, et, plus récemment, Claude Lévi-Strauss raconte la vie quotidienne des Indiens Nambikwara. 2. Instruire, c’est susciter un regard critique Instruire, c’est aussi apprendre à traiter l’information, c’est-à-dire à jeter un regard critique sur le monde. De nombreux auteurs dépassent

méliorative des voyages énonçant ces derniers avec la 3ème personne du pluriel «Ils » contrairement à l’essai de Claude Lévi-Strauss , Tristes tropiques publié en 1955 , ou l’ethnologue s’adresse directement aux  « voyages ». Pour les deux auteurs, les voyages reposent au départ sur l’idée de découvertes, Michel Le Bris accentue l’idée de promesses et de rêves, tandis que Levi Strauss pensait la même chose avant l’Occidentalisation. A la base, les deux auteurs ont donc la même image positive du

d’un mythe. Smith 1996 : 1039 Une question s’impose : est-il possible de dégager, au sein de la masse desœuvres produites dans les sociétés occidentales modernes, un corpus mythologiqued’ampleur équivalente à celui collationné et analysé par Lévi-Strauss pour les socié-tés amérindiennes? Car les anthropologues ont beau affirmer que les mythes existentdans toutes les sociétés, qu’elles soient ou non très « évoluées » au plan technologi-que (Smith 1996 : 1037), ils n’en continuent pas moins à conférer

I/ Qu’est-ce que l’ethnocentrisme : Ce concept est issu de l’ethnologie à la fin du 19ème siècle. Utilisé par Lévi-Strauss, l’ethnocentrisme est tiré d’une analogie à l’égocentrisme, qui est l’attitude typique des jeunes enfants à tout ramener à soi, à voir le « je » au centre. Dans l’attitude ethnocentrique, le ‘moi’ est remplacé par l’ethnie, la société, la culture. Lévi-Strauss en parle pour décrire l’une des plus grandes difficultés de l’ethnologue : en effet, L’attitude ethnocentrique est