Code Théodosien Vii 8 5

sans autre partage que celui des zones urbaines et la zone extra- urbaine. Ce pouvoir donne la possibilité à celui qui le détient de lever le tribut, de lever les troupes et donne une juridiction civile et criminelle en province. - En tout, il y eut 8 magistratures dont le consulat, la censure, la préture, l’édilité, la questure, tribunat de la plèbe. 2. Le « populus » Le populus est l’ensemble de la communauté civique : ce sont les citoyens. Le seul fait d’être citoyen confère le droit de participer

réduire l’incertitude (droit, monnaie, rôle de l’Etat, etc.) Conclusion : l’économie est politique par essence. 5 Nous avons donc une bonne raison de nous pencher non seulement sur l’histoire des théories mais aussi sur l’histoire des institutions, sur l’histoire des systèmes politiques., sur les l’histoire de la pensée ! Le plan du cours et les modalités de contrôle Robbins : (pages 7-8) : « L’histoire de la pensée économique est l’histoire de la connexion entre l’analyse et sa compréhension de

Rome a créée un certain nombre d’institutions juridiques qui ont marqué ou marquent encore notre civilisation. Le Lègue (domaine) juridique est ainsi considérable. Rome a façonné en grande partie notre paysage juridique. En droit positif : code civil, compromis du droit romain. En droit public : la plupart des structures administratives sont d’origine romaine. Les accords de la civilisation romaine sont considérables (aussi bien dans le droit privé que public). Parmi les éléments constituant

........................................ 5 L'épître à Diognète ................................................................................................................ 5 Saint Augustin ...................................................................................................................... 6 La période franque ............................................................................................................................ 8 Épître d'Agobard à l’empereur...........

violation des mœurs, il faut en avoir. Les peines de ce tribunal devaient être arbitraires, et l'étaient en effet: car, tout ce qui regarde les mœurs, tout ce qui regarde les règles de la modestie, ne peut guère être compris sous un code de lois. Il est aisé de régler par des lois ce qu'on doit aux autres; il est difficile d'y comprendre tout ce qu'on se doit à soi-même. Le tribunal domestique regardait la conduite générale des femmes. Mais il y avait un crime qui, outre