Coercition étatique

l’individu est souvent démuni face à une puissance publique aux pouvoirs exorbitants ; il n’est pas libre de ses mouvements et peut être contraint à collaborer, quitte à en faire les frais. En matière pénale les enjeux justifient souvent le pouvoir de coercition de l’Etat. Selon les cas, l'obligation de dénoncer les infractions ne peuvent être imposées à leur auteur, tandis que dans d'autres circonstances[1] son mutisme peut lui valoir une sanction. Ainsi, un individu ayant causé un accident de la circulation

cercles d’affiliation primaire a conduit les individus à maîtriser leurs émotions en public. Dans une période historique que Elias situe entre le 16 ème et la fin du 18 ème siècle, le contrôle et la maîtrise des affects se sont ainsi substitués à la coercition externe et aux violences pour la maîtrise des pouvoirs. Ce développement est constitutif de l’émergence d’une sphère publique, siège de la vie sociale [Sennett, 1979]. Le passage de la contrainte sociale à l’autocontrainte se traduit par une intériorisation

ce qui était la monarchie, ce qui fait qu'il n'est resté qu'une société dont on pourrait dire qu'elle n'était plus divisée puisque l'un des termes de la division avait été éliminé, il est resté une société non divisée et par là-dessus une machine étatique (le parti aidant) détenant le pouvoir au bénéfice du peuple travailleur, des ouvriers et des paysans. Bon. Qu'est-ce que c'est que l'URSS actuelle ? Sauf si on est militant du parti communiste, auquel cas l'URSS c'est le socialisme, c'est l'état

le sens institutionnaliste : le pouvoir désigne les gouvernants, les gens de pouvoir, les pouvoirs publics. Il en résulte que l’opposition, ceux qui ne sont pas au gouvernement, ne disposent pas de pouvoir. La notion de pouvoir renvoie à celle de coercition légitime dans le cadre de la souveraineté ; celui qui dispose du pouvoir possède un droit de sanction (positive ou négative). Le pouvoir ne s’applique que sur les sujets ; les étrangers en sont exclus. La cité grecque avait pris comme disposition

obéisse du caractère légitime des ordres prescrits. Cette relation n'est pas propre à l'Etat, on la retrouve dans toutes les sphères (économique, dans les entreprises, la famille). Cette domination est dite politique lorsque cette domination est étatique, lorsqu'elle est exercée par une autorité politique sur une collectivité dans un territoire. Elle est inséparable de la légitimité, c'est à dire de la croyance que les individus peuvent avoir dans le caractère juste de l'ordre du maitre. Cette légitimité

d’infraction pénale qui sont sanctionnés par des peines (réclusion criminelle, amende, privation de droits civique). La règle de droit est extérieure. Elle entraine une contrainte qui vient de l’extérieur, elle est étatique. Seule l’autorité publique est légitime à imposer la coercition. II) LES DIVISIONS DE DROIT 1) La distinction droit publique / droit privé. Ils diffèrent par leur objet. Le droit public est l’ensemble des règles qui régissent la vie collective d’un pays. Il s’intéresse

terres agricoles, fermes d'élevage, moyens de transport, distribution, etc.) sont mis en commun, avec comme but de répondre aux besoins de chacun. * sans division en classes sociales et sans État (sans fonctionnaires spécialisés, sans force de coercition). Le communisme admet que tous ne sont pas aussi productifs pour tout, et qu'il doit attendre une production « de chacun selon ses capacités », mais il considère que chacun peut généralement à son gré se livrer aux occupations de son choix, qu'on

les dirigeants ou les employeurs s'engagent unilatéralement à respecter au sein de leur entreprise. Ces normes particulières se distinguent des règles de droit en cela que leur violation n'entraîne pas de sanction étatique. Ainsi, les règles de droit, revêtues de la force de coercition qui leur est fourni par l'Etat, sont appelées "Hard Law", et les normes édictées par les entreprises ou par certaines ONG en matière d'éthique, plutôt déclaratives et dépourvues de sanction, sont appelées "Soft Law"

des connaissances applicables à la résolution des problèmes de l'action publique. Le but de l'analyse est d'aider à l'action. Les travaux effectués dans le cadre de la policy science ont pour but l'amélioration et de la rationalisation de l'action étatique. Les policy sciences sont une science de et surtout pour l'action publique. Ce que l’on peut déplorer : la policy science ne s'est pas suffisamment attachée à la dimension sociale et politique de l'action publique, elle s'est trop focalisée

propres à la profession qui vont déterminer les perspectives en concurrence. Les caractéristiques les plus importantes des relations internationales Etat souverain comme principal acteur ? Droit de l’Homme précèdent le principe de souveraineté étatique ? Interdépendance globale détermine les interactions des Etats vision horizontale des relations socio-économiques Inégalités de développement socio-économique définissent la capacité d’exercice de la souveraineté ? vision verticale Théories des