Cognitif

psychologie (→) (outil d'analyse psychologique) L'implication psychologie permet d'analyser 3 types de relation : Relation de consonance : A → B (la présence de A dans l'univers cognitif s'accompagne de celle de B) → « j'aime le chocolat » → « j'aime le chocolat » Relation de dissonance : A → B (la présence de A dans l'univers cognitif s'accompagne de l'inverse de celle de B) → « j'aime le chocolat » → « je ne mange pas de chocolat » Les relations de consonance et de dissonance = relations de pertinence

théorie de la dissonance cognitive La proposition fondamentale de la théorie de Léon Festinger (1957) est la suivante : l'individu tend à réduire la dissonance possible entre les différents éléments cognitifs présents. Explicitons d'abord certaines parties de cette proposition. Un élément cognitif est tout ce qui peut devenir objet de connaissance chez l'individu : comportements, opinions, croyances, sanctions, sensations de douleur, etc. Il y a dissonance quand, de deux éléments se présentant ensemble

représentations peuvent être matérielles (la chose réelle qui a été par la suite représentée, ou la matière ex: les couleurs pour la peinture) ou un produit cognitif (la représentation dans l’esprit, dépendant de celui-ci et/ou de la volonté de représentation ex: volonté de rendre la réalité à l’exacte ou en exagérée, …). Le produit cognitif est « disponible » (en MLT = Mémoire à Long Terme, on l‘a quelque part en tête mais on y pense pas forcément) ou en activité actualisée (la représentation va

conception et de planification du texte n’ont pas été maîtrisées par l’élève, peut-être parce qu’il n’a pas concentré son attention sur elles et qu’il n’a pas conscience de leur importance, peut-être aussi parce qu’il n’a pu les assumer sur le plan cognitif, dans la mesure où il devait aussi tenir compte des problèmes orthographiques, et de facteurs extérieurs : il rédige un texte produit par le groupe d’élèves et doit donc saisir des propos qui ne sont pas nécessairement les siens. Globalement, ces

du prototype, Lakoff/Johnson ont insisté sur la normalité discursive comme sur la motivation cognitive de la métaphore. Définissant la métaphore comme un modèle cognitif idéalisé (Lakoff/Turner 1987) (Idealized Cognitive Model ICM) ils ont ouvert la voie à de nombreuses études concentrées sur la métaphore comme phénomène cognitif (MacCormac 1985, Lakoff/Turner 1989, Liebert 1992, Weber 1995, Jäkel 1997) et quotidien (Noppen 1992, Koch 1994, Debatin 1995, Baldauf 1997). À côté des recherches

4) Métacognition : Se situe dans la métaconscience. Découle de la prise de conscience. procédure mentale qui consiste à réfléchir sur la façon dont nous pensons, à prendre en charge de façon consciente et délibérée son propre fonctionnement cognitif (sa propre pensée). Principales fonctions : introspection, autorégulation ou gestion de soi et l’individuation. C’est un niveau supérieur de la conscience qui implique le développement de son autonomie quant à la façon de penser et au sens que

lacunes terminologiques (Black 1962; 1979 ; Gotti,1991). Black et Boyd, analysant les métaphores sous l’angle de la philosophie de la science, vont audelà du rôle de ce trope dans la constitution des terminologies. Ils mettent en évidence le rôle cognitif (la valeur heuristique) des métaphores dans l’élaboration et la formulation des théories scientifiques. Nous avons retenu ici les contributions de Black et Boyd seulement comme argument pour l’utilité de la métaphore au niveau terminologique. Black

qui étudie la représentation et le traitement de l’information par les organismes complexes ( la connaissance au sens large ) => ne cherche pas à décrire des épisodes mais … ≠ du savoir ● cherche à spécifier l’architecture du système cognitif et les régularités présentes dans son fonctionnement. Est-ce qqc d’authentique ? d’organisé ? ● Notion de représentations qui sont des états du système ; processus : opérations qui les transforment. (Ex. : le codage) Des représentations

On regarde tout d’abord les émotions (détresse, émotion négative) qu’on évalue par des questions ciblé sur comment elle se sent (présence d’un trouble ?) Parfois on voit la déconnexion avec l’affecte (émotions triste – réaction heureuse). Aspect cognitif, comment la personne analyse l’informations pour avoir cette réponse. ** évènement récurent, aspect temporel important Comportement : façon de réagir et de communiquer les émotions ressentis Cognition : Est-ce que la personne pense normalement

PSYCHOLOGIE COGNITIVE L’attention Nathalie Bedoin Laboratoire Dynamique du Langage CNRS UMR 5596 et Université de Lyon Deux types de traitements cognitifs Automatique • Mobilise peu de ressources Contrôlé • Mobilise beaucoup de ressources  fatigue, c’est coûteux  difficulté à faire autre chose en même temps  difficulté à prolonger l’activité • Irrépressible • Faible adaptabilité  traitement peu modifiable, peu adaptable  l’habileté acquisse reste stéréotypée • On peut la