Cognitif

démarche d’enseignement qui propose l’articulation de phases de mobilisation cognitive, opérationnalisant un processus cognitif général de continuité / rupture, favorisant la mise en oeuvre de procédures personnalisées. Elle s'opérationnalise dans une démarche abordant « l’enseignement par le pôle de l’apprendre » (Davisse, 1991). Elle repose sur une élucidation des processus cognitifs sollicités et des procédures que les élèves devront mobiliser. La perspective que nous voulons ouvrir est celle de

(amnésie) qui se manifestent initialement par des distractions mineures qui s'accentuent avec la progression de la maladie, tandis que les souvenirs plus anciens sont relativement préservés. Ensuite, les symptômes se traduisent par des troubles cognitifs plus sévères (confusions, troubles de l'humeur et des émotions, des fonctions exécutives et du langage) allant jusqu'à la perte des fonctions autonomes et la mort. La vitesse et l'évolution de la maladie sont variables d'un individu à l'autre

mais aussi de nous. • Rapports entre information et communication ? Suffixe « tion » = désigne aussi bien l’acte que le résultat de l’acte. Information = étymologiquement, cela signifie « donner forme à ». Toute info présuppose un processus cognitif = série d’opération mentales. En effet, une info a déjà au moins 2 étapes : percevoir et comprendre l’information. → 1ère attitude : confusion info/com → 2ème attitude : liaison ; indissociabilité ; l’info est une connaissance communiquée. →

l'aversion à la dépossession (divestiture aversion). Le détenteur d'un actif tend à considérer, par une sorte d'attachement, que les actifs qu'il détient, qu'ils soient en gain ou en perte, valent plus que ce que le marché propose. On passe là du biais cognitif au biais émotionnel, puisqu'il s'agit de la difficulté de se séparer d'un bien auquel on s'est habitué. Sur les marchés financiers, ces attitudes irrationnelles, si elles sont largement partagées, entraînent une certaine viscosité des prix, plus

empiriques menés par les chercheurs en finance comportementale concluent que les investisseurs, individuels ou professionnels, ne sont pas pleinement rationnels. Leurs comportements affichent au contraire de nombreux biais, lesquels peuvent être cognitifs, émotionnels et sociaux et ils témoignent de préférences complexes vis-à-vis du risque. Par opposition à l'hypothèse de base des marchés efficients, cette théorie va chercher à mettre en avant les situations lors desquelles, les marchés ne sont pas

à d'ailleurs porté sur l'analyse des différents marqueurs du conflit au sein d'une réunion professionnelle de type administratif. Ce cursus orienté vers la psychologie sociale m'a également permis de réaliser un travail important sur les biais cognitifs à prendre en compte dans le cadre des interactions professionnelles en tant que psychologue du travail Bien que mon cursus ait abordé de manière générale les différents outils et missions du psychologue, je me suis rapidement intéressé aux différentes

durant une bonne partie de sa vie elle a travaillé au 24heures où elle rencontré son mari qui est mort il y a 10ans. En 1986 elle a eu un AVC qui l’obligea à se mettre à l’AI. Depuis cet accident, elle se déplace en tintébin et elle a des troubles cognitifs (de type démence légère, , un trouble de l’adaptation et un trouble de la personnalité non spécifié. Lors de notre première rencontre, j’ai senti que Mme était un peu réticente à ce que je m’occupe d’elle. une aide soigante s’est chargé de me

troubles cognitifs : dyslexies, dysphasies, dyscalculies, dyspraxies, dysorthographies, troubles de l’attention… Parent d’un enfant chez qui l’un de ces troubles vient d’être diagnostiqué, vous allez avoir besoin de points de repères pour l’accompagner dans sa scolarité. Cette brochure présente les différentes structures d’accueil et les professionnels du champ. Elle devrait vous aider à faire les meilleurs choix possibles pour votre enfant. 412-09705-B « Dys »… Derrière ces trois lettres sont

des choses. Ne s’intéresse pas à l’apprentissage lui-même. Arriver à la compréhension, réfléchit sur les possibilités, les implications et les applications. Une préférence pour un apprentissage approfondi. S’auto-enseigne. Utilise le processus cognitif le plus efficace. Une théorie de la compréhension est nécessaire comme celle de John Biggs « la Taxinomie SARO (solo) » Niveau 1 « préstructural » Niveau 2 « unistructural » Niveau 3 « multistructural » Niveau auquel l’étudiant ne comprend pas

biais psychologiques. Cette théorie considère que les individus ne sont pas rationnels puisque leurs décisions sont généralement affectées par des biais psychologiques. Ces biais sont classés en deux catégories : les biais cognitifs et les biais émotionnels. • Les biais cognitifs précisent que l’individu se base sur ses connaissances et sur ses croyances pour analyser l’information à sa disposition et dès lors, prendra des décisions erronées. Les recherches de Kahneman et Tversky montrent que les individus