Cognitif

........................................... 17 I.2.2) REPRESENTATION DES CONNAISSANCES SELON POITRENAUD .... 18 I.2.3) EFFET DE LA DISTANCE SEMANTIQUE ................................................ 18 I.3) L’EFFET DE L’AGE SUR LES PROCESSUS COGNITIF D’INHIBITION : ...... 19 I.3.1) LES TACHE D’AMORÇAGE NEGATIF ..................................................... 19 I.3.2) LA TACHE DE STROOP ........................................................................... 20 I.3.3) LES TACHES DE

notre recherche, nous avons eu l'agréable surprise de découvrir le Docteur Vinogradov, qui dirige un laboratoire de neurosciences clinique et qui met l'accent sur le disfonctionnement cognitif dans la schizophrénie.Ses travaux, mis en place depuis quelques années, sont novateurs, à l'aide d'entraînements cognitifs informatisés, les patients voient se produire des changements durables dans leur quotidien, comme une meilleure attention, une mémoire plus développée.. Certains de ses patients réussissent

................................................................................ 8 D’autres regards sur le concept d’intelligence ........................................................................ 9 Des aptitudes et des attitudes : styles cognitifs et processus vicariants ........................ 9 Gardner et Sternberg ...................................................................................................... 9 l' intelligence sociale.............................................

contradiction avec la situation) -hermétisme (caractère énigmatique du discours) -détachement de la réalité (repli sur soi) -ambivalence (affirmation de 2 choses contradictoires en même temps) La dissociation mentale affecte ≠ domaines : affectif, cognitif, et comportemental. La dissociation mentale cognitive -préservation du potentiel intellectuel mais totalement inefficace -troubles du cours de la pensée affectant surtout le rythme et la continuité (fading et barrage) -troubles du langage (néologisme

j'utiliserai de nouveau notre récit sur l'acquisition des immeubles par des étrangers. Toutefois cette fois-ci je prendrai la version b. Je discuterai de la représentation proprement dite seulement dans le paragraph suivant. 1. Un premier processus cognitif de traitement de récit identifie les acteurs du récit, ainsi que leurs buts et problèmes (cf. fig.13). Chaque état et chaque événement qui apparait dans le texte ou qui est inféré du récit a une signification potentielle pour chaque acteur du récit

de l’usage de l’adjectif ‘clinique’ comme épithète d’une psychologie qui se donne pour objet Christian Brassac 1 Nancy, le 3 janvier 2002 les processus cognitifs. Nous appuierons cette proposition sur des positions tenues par des psychologues du siècle dernier et sur une pratique clinicienne relative à des processus cognitifs. Mais nous allons tout d’abord examiner quelques éléments relatifs à l’étymologie du terme ‘clinique’. L’antécédent latin (clinice forme substantivée de clinicus)

conférence internationale Cem07 (Cognition, Émotion et Motivation 2007) que nous avons, mon collègue Slim Masmoudi et moi-même, organisée et présidée. Ces ébauches ont été rédigées dans un chapitre intitulé « Peut-on comprendre le fonctionnement cognitif sans comprendre ce qui l’oriente ? » (Naceur et Masmoudi, 2008b) et représentent en quelque sorte un des précurseurs d’une question qui nous a pendant longtemps préoccupés en tant que psychologues de la cognition : penser autrement le traitement

des pôles d’intérêts (pauvreté du jeu et de l’imagination dans les activités du jeu qui sont stéréotypées, ritualisées) : 2 éléments au moins parmi la liste du DSM On retrouve aussi les perturbations sensorielles Le retard mental et les déficits cognitifs sont aussi associés à l’autisme dans la majorité des cas. Mais pour certains des ilots de compétences supra normales dans des domaines électifs (les asperger) : dans 1 domaine de la liste Des troubles du comportement (crises, colères, agressivité)

d’expositions. Il est important de connaitre le mécanisme qui gouverne l’attention, pour comprendre pourquoi certains messages publicitaires retiennent leur attention et pas d’autres 2.2.2. La compréhension La compréhension est un processus cognitif, qui permet à l’individu d’interpréter toutes les informations visuelles, textuelles, sonores, et olfactives contenues dans le stimulus par rapport à celle déjà détenues par le sujet. Elle est composé de trois principes fondamentaux : la catégorisation

ou cognitif, pouvant les mettre en situation de handicap. 41 % d’entre eux déclarent avoir subi au cours de leur vie une discrimination à cause de leur état de santé ou d’un handicap. C’est huit fois plus que chez les jeunes sans handicap. Quand la déficience d’ordre cognitif est « punie » de mises à l’écart, le handicap moteur, la déficience auditive ou visuelle évoque plus fréquemment le refus de droits. · Les mises à l’écart sont ainsi évoquées par 64 % des jeunes déficients cognitifs et