Cohabitation

majorité que l’assemblée nationale afin qu’il soit investi. 2) Les relations entre le président et le 1er ministre Il existe des liaisons entre le président de la république et le 1er ministre, elles ne posent aucun problème hors période de cohabitation car le 1er ministre et le président étant d’accord sur la politique à appliquer. Lorsque le 1er ministre propose , par exemple une révision de la constitution selon l’article 89, le président doit décider de donner son accord et c’est ce qu’il

maintenir le bon fonctionnement des institutions de la Vème république. La différence entre les pouvoirs qui lui sont dévolus par la constitution et ceux qui lui sont permis d’exercer dans la pratique tient uniquement du fait majoritaire, s’il y a cohabitation ou concordance… Le problème de la prééminence du président ou du 1er ministre à la tète de l’exécutif tient au fait que la Vème république n’est ni tout à fait un régime présidentiel comme aux états unis ou la supériorité du président est avérée

Les années 75-95 ont vu une augmentation de la précarité (SDF, RMI, restos du cœur) et de la délinquance. Les banlieues se transforment en "ghetto". La V° République a su s’adapter * Les années Mitterrand (1981-1995) : de l’alternance à la cohabitation. L’alternance : la gauche au pouvoir. En 1981 et 1988, le socialiste Mitterrand est élu président et l’assemblée passe à gauche. Dans un premier temps le gouvernement de Mauroy, avec des communistes, entreprend des réformes sociales (39 heures

désaccord sur l'actualisation du programme commun. Mais l'Union pour la démocratie française ( UDF ) constituée par les formations non gaullistes devance le RPR qui devient de plus en plus critique à l'égard du président. 3. Alternances et cohabitations de 1981 à 2002         a) Le 1er septennat de François Mitterrand (1981-1988) • « Changer la vie » (1981-1982) François Mitterrand, malgré la désunion de la gauche, est élu en 1981 face à Giscard d'Estaing qui n'a pas fait le plein des voix

présidentielle, il n’y aura aucune cohabitation (2002) en revanche la cohabitation sera inévitable si les couleurs politiques s’opposent (1986,1993,1997) Manifestation de la cohabitation Le 1M sera en quelque sorte le maître du jeu, le Président de la République alors soumis. En effet, le 1M appuyé sur la majorité à l’A.N. le Pdt verra son rôle, son pouvoir s’effacer, s’estomper… Un Pdt en résistance : Le Pdt R va faire alors jouer en temps de cohabitation son pouvoir de veto. Il peut

industriel : alliance entre Citroën et Peugeot, création du Concorde, inauguration du complexe sidérurgique de Fos-sur-Mer. Mandat de VGE sous le signe de « la crise », Raymond Barre, 1er ministre la qualifie d’ « années difficiles » . Alternance et cohabitation (de 1981 à nos jours) En 1981, le socialiste François Mitterrand est élu président. La nouvelle majorité de gauche veut rompre avec la capitalisme par un vaste programme de nationalisations et de réformes sociales. Loi de décentralisation par

asymétrique, présidentialisme majoritaire ou cohabitation. * La plupart du temps, on est en phase de présidentialisme majoritaire.  On peut dire qu’une sorte de constitution conventionnelle apparaît et se stabilise. Des règles conventionnelles non écrites sont nés. Le président peut choisir librement son premier ministre. Les présidents ont pu changer leur premier ministre quand ils voulaient en s’assurant de l’accord de l’assemblée. -Dans la cohabitation, l’élection d’une majorité différente, la

lorsqu'il s'agit de ratifier un traité ayant une incidence sur les institutions ou encore lors d'une modification de la constitution C'est l'un de pouvoir fort du président ne tirant aucunement sa force d'un situation de fait majoritaire ou de cohabitation. En effet même si la constitution prévoie que l'avis soit demandé au premier ministre, ainsi qu'aux présidents des deux assemblées la constitution précise que ceux-ci n'émettent qu'un avis facultatif. En aucun cas le président est obligé de le

loi), la cohabitation. Antérieurement à l'arrêt Bertrand, la responsabilité était fondée sur une présomption de faute dans la surveillance ou l'éducation. Dès lors, il était logique et cohérant qu'on exige une cohabitation avec le mineur. En 1997, on passe d'une présomption de faute à une responsabilité de plein droit purement objective, les parents sont de toute façon responsables du fait de leurs enfants. La portée de la notion de cohabitation a été modifiée. On passe d'une cohabitation matérielle

autour de la volonté du président mais cela ne peut pas durer avec la mise en place de la bipolarisation au sein du Parlement pour s'opposer à l'hégémonie du gaullisme. II/ Cependant, le gouvernement prend plus de puissance avec l'apparition des cohabitations 1/ Tout d'abord, l'entrée en jeu de nouveaux acteurs marque les premières limites à la présidentialisation on se retrouve dans la troisième étape de la présidentialisation: la phase polyarchique cette entrée en jeu est caractéristique