Cohésion Textuelle

« La discrimination consiste à traiter de manière différente, sauf justifications objectives et raisonnables, des personnes placées dans des situations comparables » selon la CEDH (cf. affaire linguistique Belge du 23 mai 1968). Les fondements textuels du principe de non-discrimination à l’embauche sont nombreux : * Il y a des textes à valeur constitutionnelle : On peut citer l’article 1 de la DDCH de 1789 affirmant l’égalité entre les hommes, l’article 2 de la DUDH de 1948 mais aussi le préambule

publié au Bulletin Officiel de l’Éducation Nationale est renouvelé chaque année par moitié ou par quart. Il est composé de 4 à 6 titres d’œuvres intégrales ou parties d’œuvres intégrales. Par partie d’œuvre intégrale, il faut entendre un ensemble textuel défini comme une unité dans une œuvre plus vaste, deux titres d’un même auteur peuvent être proposés, deux œuvres, dont l’une est directement transposée d’une autre. Le champ s’étend au cinéma (Renoir, Partie de campagne en 1996 et 1997, La Règle

puissance de l’annonce de la Parole................ 14 Types de Prédication............................................. 14 La prédication thématique .................................... 14 La prédication textuelle ........................................ 15 Défense de la prédication textuelle ...................... 15 Quelques objections ?.......................................... 16 Art, technique & Saint-Esprit ................................ 17 La prédication en tant qu’art ................

s’appuyant sur la présentation : couverture avec titre, table des matières, format, ... - Bâtir des hypothèses de lecture à partir d’éléments visibles du texte : titre, amorces de paragraphes, ponctuation et marques typographiques. - Repérer les indices textuels visibles (une date, un mot en gras, une formule récurrente comme « il était une fois », un nom de lieu, un chiffre ...) pour identifier des éléments de la situation de communication. - Identifier différents textes (qui racontent, qui décrivent …)

guillemets Intertextualité de genre • Retable d’autel et question du sacré La structure du soliloque • Tension entre cacher et exprimer : on s’exprime avec soi-même en se cachant des autres; dans la série Soliloquy il y a une tension entre cohésion de la figure en haut et dispersion des figures en bas • Projection de soi-même dans des voix identitaires multiples - à travers des actes déictiques -, plus ou moins assumées comme propres – à travers des vecteurs projectifs contraires Intertextualité

Rédiger un rapport ! ! 10/18 7.2/Les organisateurs textuels (marqueurs de relation) utilisés à l'intérieur d'un paragraphe Il est nécessaire qu'il y ait une unité de sens à l'intérieur d'un paragraphe et c'est souvent les liens entre les phrases qui assurent un tissage uniforme des idées contenues dans un paragraphe. Les marqueurs de relation sont des articulations textuelles assez courtes (locutions, expressions) assurant une cohésion, une cohérence logique entre les différentes parties du

le passé simple et l’imparfait J’ai dit que le PS exprime la postériorité ou l’inclusion temporelle. Dans ces emplois, ce temps a une fonction narrative. Mais le PS peut aussi s’utiliser pour présenter un fait comme ‘isolé de son environnement textuel’, auquel cas la phrase exprime l’antériorité pure et simple par rapport au moment de la parole. On parle alors du PS déictique, non-anaphorique, non-narratif, ou encore du PS autonome (voir Molendijk et Vet 1995). Le PS autonome se rencontre dans

sociales (Landowski, 1989) et, conséquemment, la prise en compte des conditions de manifestation des discours avec un élargissement à l’analyse des problématiques de type socio-culturel. L’approche ne se limite donc pas au démontage des mécanismes textuels et à la description de leur niveau, à énumérer valeurs et oppositions internes des discours, mais prend en compte : «…des problématiques plus générales, qui concernent les raisons de l’apparition d’un certain discours, sa position dans le cadre

identification des indices paratextuels, des genres et typologies des textes, lecture analytique des documents textuels et non textuels, confrontation et classement des idées, formulation d’une problématique… -compétences d’écriture : reformulation des idées, travail sur le style, le registre, respect de l’objectivité, maîtrise de l’implicite, recherche de la concision, usage des connecteurs logiques, cohésion du paragraphe et progression du développement, insertion des références, rédaction de l’introduction

en donner un compte rendu cohérent. Il ne s’agit en aucun cas de rendre compte séparément de chaque document mais de produire un texte unique. 3 M.L.O.E. - Module compte rendu d'un texte argumentatif – sections enseignement COHÉRENCE - COHÉSION LES PROCÉDÉS DE REPRISE : ANAPHORE ET CATAPHORE Anaphore : le terme qui reprend (anaphorisant) suit le terme repris (anaphorisé ou antécédent). Cataphore : le terme qui reprend précède le terme repris. 1. La pronominalisation substantif >