Collège des pontifes

On lit dans la Genèse (chap. XIV, vers. 18, 19, 20) que Malkitsedek fut roi de Jérusalem et pontife du Dieu très-haut, qu’il bénit Abraham par le droit que lui donnait le pontificat (Nombres, chap. VI, vers. 23), et enfin qu’Abraham, chéri de Dieu, paya à ce pontife de Dieu la dîme de tout son butin ; par où l’on voit que Dieu, avant la fondation du peuple d’Israël, avait établi des rois et des pontifes dans la ville de Jérusalem, auxquels il avait donné des rites et des lois. Les donna-t-il

les travaux et les jours puisqu'il fixait le calendrier, en tant que chef religieux, il était entouré d'un certain nombre de prêtre que l'on appelais les pontifes qui jouent un rôle dans les diffèrent culte mais qui sont en même temps ceux qui aide le roi a dire le Droit, le droit a Rome d'origine religieuse est au départ le monopole des pontifes qui dicte leurs solutions au roi et ce fut pareil dans l'histoire de la grece pendant un moment. C’était une religion polythéiste calqué sur les dieux grecs

pris le nom de Nicolas II. Après un combat de rue dans la ville de Rome, ce dernier se rendit maître de la situation. Sous l’influence du moine Hildebrand (futur Grégoire VII), il édicta le fameux décret de 1059 : « […] Nous décrétons que le pontife romain venant de mourir, les cardinaux évêques traitent d’abord avec le plus grand soin de l’élection, qu’ils s’adjoignent ensuite les cardinaux prêtres, puis que le reste du clergé et du peuple soit appelé à donner son consentement. Pour couper

juridique nommé Jus : ces deux domaines ne sont pas clairement démarqués. Le droit primitif est un droit imprégné de droit religieux, sa connaissance et son interprétation sont entre les mains exclusives du collège des prêtres parce qu’ils sont les plus compétents, ils sont appelés les « Pontifes ». Ce droit romain, archaïque, est entièrement du droit civil (« Jus Civile »), ce qui signifie que les règles du droit ne concernent que les seuls citoyens romains que l’on appelle également les Quirites

fonction est alors prolongée et c'est une promagistrature) ¤ La collégialité : C'est un trait original de Rome, sauf pour la dictature, les magistrats sont toujours au moins deux. Si on multiplie ainsi le nombre de magistrats à l'intérieur d'un collège, c'est lié à l'accroissement des charges, mais aussi au désir d'affaiblir certaines magistratures à l'origine réservées à l'élite de l'aristocratie, aux patriciens, et qui ont été ouvertes à la base de l'aristocratie, aux plébéiens. Enfin un souci

de l’université grégorienne confiée aux jésuites. Autant de manière d’asseoir les décisions tridentines (et donc le dogme catholique). L’Eglise pourra également compter sur une nouvelle génération de clercs bien formés (grâce aux séminaires ou aux collèges de jésuites). La discipline est également révisée. B- Evêques et papes, révision des positions. Evêques = pasteur comme Christ, pouvoir réaffirmé au sein de son diocèse : lui seul peut ordonner, il a le monopole de la prédication, peut visiter

religieuse Depuis le milieu du XVème siècle et le pontificat de Pie II, le contexte de composition des morceaux religieux était plutôt favorable aux maîtres de chapelles et à leur originalité. En effet, le détachement entre le gouvernement des pontifes et les cardinaux de rigueur auparavant rendait les premiers plus personnels et les seconds soumis, sans autorité. Au contraire, avec la transformation de l’Etat pontifical en principauté, les cardinaux regagnent en magnificence et en ostentation

(1930). « L'artiste » Souchon (P.), Quelle fut l'inspiratrice de la "Fête chez Thérèse?" dans Mercure de France (mai 1934). « L'artiste » Batault (G.), Le pontife de la démagogie, Victor Hugo (1934). « Sa politique » Cambi (J.), Victor Hugo en Belgique (1935). « L'homme et sa vie » Grant (E.M.), Victor Hugo during the second Republic (Smith College Studies in Modern Language, octobre 1935). « Sa politique » Europe, numéro spécial du 15 juin 1935. « Études générales » Thibaudet (A.), Situation de Victor

comme une jumelle de Rome, 3 temples. A Rome sur le Capitole il y a les temples de Jupiter, de Junon et de Minerve, sur le Lamantin il y a aussi 3 temples pour Ceres, Liber et Libera. Ces tribuns sont 2 comme les consuls et comme eux c'est en collège que leur rôle est assuré avec la possibilité d'une intercession entre eux. Le nombres de ces tribuns va augmenter jusqu'à 10 élus par les plébéiens dû à leur besoins. Comme il y a des assemblées du peuple dans la Rome officielle dominée par

respect de la règle de saint Benoît, il fit de Metz la ville de naissance du plain-chant ou chant messin, futur chant grégorien), les prêtres des principales églises, en particulier des cathédrales, commencèrent à se grouper en « chapitres » ou en « collèges », eurent le même réfectoire, le même dortoir, célébrèrent en commun les offices divin. Ils adoptèrent une règle inspirée moins de saint Benoît que de saint Augustin ; forcément plus souple, pour permettre à ces chanoines de vaquer à leurs diverses