Comedie Tragedie Conclusion

Le tragique semble dominer, mais plusieur éléments ne renvoient pas à cette tonalité. Cette diversité conduit a poser la question sur les enjeux de ces deux scènes finales. Car la dimension tragique du chatiement est tempéré par les procédés de la comédie ce qui rend cette fin ambiguë. I - L'obstination tragique. 1. le refus du divin - absence de remords, intensité dramatique - impiété de D. Juan (cf : mélange des notions : superstition et religion ligne 9 + vocabulaire des sens ligne

étapes rappellent celle décrites dans les romans précieux en vogue au XVII° siècle (les étapes de la carte du tendre chez Melle de Scudéry) b) vue par Sg : - une amoureuse passionnée (18) - une victime abandonnée (20/21)  une héroïne de tragédie 2. Don Juan : a) son portrait par Gn : un regard naïf porter selon des critères sociaux : « un homme de sa qualité » / un homme de parole (58)/ b) son portrait par Sganarelle : un regard intime donné comme tel (le

Partie : Le Drame Romantique. 3ème Partie : Victor Hugo et Le Drame romantique. 4ème Partie : Analyse d’œuvres romantiques de Victor Hugo. • Cromwell • Hernani • Ruy Blas CONCLUSION Introduction : Victor Hugo (poète, dramaturge,politique...) était un des père fondateur du romantisme avec beaucoup d'œuvre qui avaient choqué plus d'un classisique .Avec ce mouvement littéraire Hugo laisse parler son coeur et dit se qu'il pense

L’exposition doit instruire du sujet et de ses principales circonstances, du lieu de la scène et même de l’heure où commence l’action, du nom, de l’état du caractère et des intérêts des principaux personnages. » Anonyme du XVIIe siècle, Les Caractères de la tragédie. Pour ne pas rebuter le public, selon les théoriciens de l’époque classique, une exposition doit être à la fois « entière, courte, claire, intéressante et vraisemblable ». L’exposition (ou protase) se présente sous une forme tantôt statique, tantôt

Comtesse pour aller chercher de quoi forcer la porte du cabinet. Chérubin en profite pour s’enfuir et Suzanne pour prendre sa place, en attendant le retour de ses maîtres. On se situe alors au paroxysme de la tension dramatique de cette « comédie dans la comédie » que se donnent les personnages les uns aux autres. D’où la question : Cette scène de « théâtre dans le théâtre » a-t-elle pour fonction seulement de faire rire le spectateur ? Ce qui nous intéressera ici c’est donc à la fois l’idée d’imbrication

faits, comme dans le roman réaliste à la Zola, le témoignage ou le compte-rendu). Enfin des genres peuvent être distingués par leurs visées perlocutoires (les effets attendus de la parole). Une comédie se donne pour visée explicite de produire chez le destinataire un effet d'amusement. Chez Aristote, la tragédie a pour finalité la catharsis, c'est-à-dire la purgation des passions. I.1.2. Les conventions régulatrices Les conventions régulatrices sont différentes en ce qu'elles ajoutent des règles à une

Pièces de théâtre : La Nuit vénitienne (1830) ; Les Caprices de Marianne (1833) ; Fantasio (1834) ; Lorenzaccio (1834) ; ONBP (1834) * Poèmes : Contes d’Espagne et d’Italie (1829) ; Rolla (1833) ; Les Nuits (1835). * Dramaturge : il écrit des comédies, mais aussi des drames, et des proverbes ; il se libère des règles de la dramaturgie classique, comme les écrivains romantiques (abandon de la règle des trois unités, mélange des genres et des registres). Ses héros, souvent des débauchés et des idéalistes

Introduction Une pièce de théâtre est un texte qui peut être soit lue dans un livre, soit être représenté sur scène par des acteurs. Il existe deux sorte de pièce de théâtre: la comédie et la tragédie. La tragédie est une pièce triste est doit être agréable à voir, alors que la comédie est comique et a pour but de divertir les spectateurs ou les lecteurs. Pour cela, l’écrivain imagine des pièces inattendu et plus drôle les une que les autres. Mais une question se pose : Peut-on tout représenter

C'est à la troupe de Palais-Royal, celle de Molière qu'en 1664, il présente sa première tragédie : La Thébaïde, sujet tiré de l'Antiquité grecque. Le théâtre tragique est alors dominé par Corneille, qui commence à vieillir et quelques autres : la concurrence est rude. L'année suivante, la deuxième pièce de Racine : Alexandre, commence à connaître le succès au Palais-Royal en décembre 1665. En 1667, sa nouvelle tragédie : Andromaque, remporte un éclatant succès. L'héroïne est incarnée par la Du Parc, une

attribue à Arlequin le rôle du valet. Assonance : Répétition du même son, spécialement de la voyelle accentuée à la fin de chaque vers (ex. : belle et rêve). Attente : Attitude d'expectative du public, reposant surtout, par anticipation, sur la conclusion et la résolution finale des conflits. L'horizon d'attente est l'ensemble des expectatives.Auteur dramatique : Personne qui écrit une pièce de théâtre. Avant-scène : Partie de la scène comprise entre la rampe et le cadre de scène. Avertissement :